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Thème : CELAC

Coup de théâtre à Bruxelles : Zelensky éjecté du sommet UE-CELAC suite à l’opposition de l’Amérique latine

Le Media en 442.
Selon des sources diplomatiques anonymes citées par EURACTIV, le portail d’informations basé à Bruxelles, un scandale retentissant secoue actuellement les plus hautes sphères de la politique internationale. Les dirigeants de 33 pays d’Amérique latine et des Caraïbes ont contraint l’Union européenne d’annuler l’invitation du président ukrainien Volodymyr Zelensky au sommet UE-CELAC (Communauté d’États latino-américains et caraïbes) qui se tiendra à Bruxelles les 17 et 18 juillet. Les tensions entre Zelensky et les pays d’Amérique latine sont exacerbées par l’attitude du président ukrainien et sa proximité avec les États-Unis. L’Amérique latine affiche ouvertement son soutien au président russe Vladimir Poutine, mettant ainsi en évidence sa position influente et affirmée. C’est une énième défaite pour le président ukrainien puisque les dirigeants de 33 pays d’Amérique latine et des Caraïbes ont insisté pour supprimer tous les paragraphes sur le soutien à l’Ukraine du projet de déclaration finale de l’événement. La (...) Lire la suite »

Intervention de Raul Castro, au IIIème sommet de la CELAC, San José, Costa Rica - 28/01/2015

Raul CASTRO

INTERVENTION DE M. RAÚL CASTRO RUZ, PRÉSIDENT DU CONSEIL D’ÉTAT ET DU CONSEIL DES MINISTRES DE LA RÉPUBLIQUE DE CUBA, AU TROISIÈME SOMMET DE LA COMMUNAUTÉ DES ÉTATS LATINO-AMÉRICAINS ET CARIBÉENS, TENU À SAN JOSÉ DU COSTA RICA, le 28 janvier 2015.

Cher président Luis Guillermo Solís ; Chers chefs d’État ou de gouvernement d’Amérique latine et des Caraïbes ; Chers chefs de délégations et invités qui nous accompagnez, Notre Amérique, qui s’est engagée dans une époque nouvelle, a, depuis la création de la Communauté des États latino-américains et caribéens, progressé vers ses objectifs : indépendance, souveraineté sur les ressources naturelles, intégration, mise en place d’un nouvel ordre mondial, justice sociale et démocratie du peuple, par le peuple et pour le peuple. L’attachement à la justice et au droit des peuples est supérieur à celui de n’importe quelle autre période historique. Ensemble, nous sommes la troisième économie mondiale, nous possédons les deuxièmes plus grandes réserves de pétrole, la plus grande biodiversité de la planète, et concentrons une bonne part des ressources minières mondiales. Développer l’unité dans la diversité, agir à l’unisson, respecter nos différences restera notre premier objectif et une nécessité incontournable, car les (...) Lire la suite »

Brics, Unasur et Celac dessinent une nouvelle carte géopolitique multipolaire (AVN)

Alberto Cova
Caracas, 24 juillet AVN - Le "nouvel ordre mondial", surgi des Accords de Bretton Woods qui ont établi les règles de l'échange financier global et ont mise en place l'hégémonie du dollar à perpétuité dans les transactions internationales est trop vieux et déjà usé pour rester un paradigme de la domination planétaire. Le 22 juillet 1944, il y a exactement 70 ans, s'est terminée la réunion dans un hôtel du New Hampshire dans laquelle les Etats-Unis ont fait prévaloir leurs intérêts devant les délégués de 44 pays et ont imposé le dollar pour remplacer l'or en tant qu'étalon pour déterminer la valeur de chaque monnaie dans le monde. Là sont nés le Fonds Monétaire International et la Banque Mondiale, deux institutions qui, depuis lors ont apporté le standard de l'impérialisme dans le monde avec un artifice économique et qui ont décidé pour longtemps du sort de peuples entiers. Mais la planète a changé pendant ces 7 décennies à la fin desquelles le déclin des Etats-Unis et de ses caniches européens semble inévitable (...) Lire la suite »
Le Sommet du G-77 + Chine s’est tenu les 14 et 15 juin à Santa Cruz, en Bolivie.

Sommet du G-77 + Chine : un pas en avant dans la coopération Sud/Sud

Mémoire des luttes, l'Humanité

A l’occasion du cinquantième anniversaire de cet ensemble composé de 133 pays du Sud [1] (dont, outre la Chine, l’Inde, le Brésil et l’Afrique du Sud -soit tous les BRICS sauf la Russie), les 119 délégations présentes ont adopté une déclaration commune intitulée « Déclaration de Santa Cruz. Pour un nouvel ordre mondial pour "vivre bien" ».

Comportant 242 points, ce document fixe plusieurs objectifs parmi lesquels l’éradication de la pauvreté en 2030, la mise en place d’un nouvel ordre financier international réduisant le pouvoir du Fonds monétaire international (FMI) – dont le président Evo Morales a demandé le "remplacement" – ou la remise à plat des négociations sur le climat. Le président bolivien a également demandé la suppression du Conseil de sécurité des Nations unies. Ce document réaffirme également la primauté de la souveraineté nationale sur les ressources naturelles. Evo Morales a officialisé, au nom du G-77 +Chine, l’invitation faite à la Russie d’intégrer l’ensemble. Mémoire des luttes publie (en espagnol) l’intégralité de la Déclaration EN COMPLEMENT l'article de José Fort dans l'Humanité, lundi, 16 Juin, 2014 Un événement considérable s’est déroulé ce week-end à Santa Cruz en Bolivie : le sommet du G77 + Chine qui propose de mettre sur pied un nouvel ordre mondial plus juste fondé sur une vision différente du développement selon (...) Lire la suite »

Les États-Unis et la CELAC à Cuba : On ne peut imaginer pire (Contrainjerencia)

Iroel SANCHEZ

Nouvelles après nouvelles, les actes allant à l’encontre du bon déroulement du second sommet de la Communauté d’États latino-américains et caribéens (CELAC) à La Havane ont échoué les uns après les autres, contestés par la réalité.

Malgré l’énorme puissance médiatique placée à l’encontre de Cuba longtemps avant que l’événement n’ait lieu et malgré les pressions et les conspirations pour le faire échouer, le résultat a eu l’effet d’un rouleau compresseur qui a écrasé les politiques et les actions qui se sont développées aux États-Unis. Avant l’inauguration, dans les médias et sur les sites internet liés à la politique de Washington contre Cuba, toujours avec « des sources qui demandent à garder l’anonymat », on parlait de l’absence de présidents qui assisteront à l’événement dans sa quasi-totalité. Dans le cas de Panama, l’explication officielle de l’absence du président était l’échéance au premier février de la prorogation des négociations du conflit avec l’entreprise espagnole qui élargit le Canal, mais ils ont envoyé un ministre du gouvernement, démentant les propos de l’agence EFE et des médias de Miami. La tentative de faire une actualité de la présence protocolaire du Secrétaire Général de l’OEA au sommet a disparu face à l’avalanche de (...) Lire la suite »

Cacher le IIème Sommet de CELAC par un rideau de silence

Alberto RABILOTTA
Il y a des silences qui en disent long, qui montrent le manque de réponses et d’alternatives. Je me dis cela après avoir suivi (de loin) le deuxième Sommet des 33 pays qui composent la Communauté des États Latinoaméricains et Caribéens (CELAC) qui a eu lieu à la Havane, Cuba, et de ce qu’ont publié ou pas les puissants groupes de presse en grande partie du monde US ou européen, ceux-ci qui « forment l’opinion publique » mondiale pour confirmer quotidiennement qu’ « il n’y a pas d’alternative » à l’ordre néolibéral, comme le disait Margaret Thatcher [le fameux TINA]. Que 33 pays d’Amérique Latine et des Caribes aient décidé de s’engager pour que dans la région « se renforce une zone de paix, dans laquelle les différences entre les nations se résolvent de façon pacifique, par la voie du dialogue et de la négociation ou d’autres formes de solution, et en plein accord avec le droit international », et qu’ils aient intégré dans ce projet les revendications et les agendas des peuples autochtones et afroaméricains, et (...) Lire la suite »
IIème sommet de la CELAC à la Havane : Retour en force de “l’équilibre du monde” de Bolívar et de Martí

Texte intégral de la Déclaration finale du deuxième sommet de la CELAC, La Havane janvier 2014

Thierry DERONNE
Etape décisive dans la construction d’un monde multipolaire, le 2ème sommet des 33 chefs de gouvernement de la Communauté des États d’Amérique latine et des Caraïbes (Celac) vient de se dérouler à La Havane les 28 et 29 janvier 2014. La CELAC, qui rassemble 600 millions d’habitants, a commencé ses travaux en 2011 sous l’impulsion du Venezuela bolivarien ; elle est l’aboutissement des efforts des présidents Lula et Chavez pour accélérer l’unité politique et sociale des latino-américains, jusque là freinée par une OEA basée à Washington et instrumentalisée par les États-Unis. (1) États membres de la CELAC (2014) Parmi les 83 points de la déclaration finale, on trouve la constitution de l’Amérique latine comme zone de paix – les conflits régionaux se règleront uniquement via le dialogue, en écartant tout recours à la force, la reconnaissance de l’action des peuples indigènes en faveur de la diversité biologique et la nécessité d’éviter la commercialisation de leurs savoirs par les transnationales, un train de (...) Lire la suite »

CELAC : Rendez-vous à La Havane

Atilio BORON
Ce n'est pas un miracle, mais presque. Contre toute attente, la Communauté des États d'Amérique latine et des Caraïbes (CELAC) se consolide comme institution de "Notre Amérique" et tient son deuxième Sommet des Présidents à La Havane. Nous parlons de « miracle » car qui aurait pu imaginer, il y a seulement cinq ans, que le rêve bolivarien d'Hugo Chavez, rêve fondé sur un diagnostic impeccable de la situation géopolitique mondiale et qui cherchait à construire un organisme régional sans la présence des USA et du Canada, pourrait donner des fruits ? Pour ce faire, Chavez et ceux qui l'accompagnaient dans cette entreprise patriotique, ont dû surmonter toutes sortes d'obstacles : la résignation de certains gouvernements, la faiblesse des uns, le scepticisme des autres et l'opposition systématique de Washington, fait tout sauf mineur dans la politique de nos pays. Eppur si muove, dirait Galilée en contemplant la réalisation du projet bolivarien qui rassemble, pour la première fois dans l'histoire, toutes (...) Lire la suite »

Celac à La Havane : montée en puissance des progressistes

José FORT
La Communauté des Etats d’Amérique latine et des Caraïbes (Celac) est réunie en sommet depuis le début de la semaine à La Havane. Tous les pays du continent américain, à l’exception des Etats-Unis et du Canada, ainsi que le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon sont présents dans la capitale cubaine où règne un air de fête : défilé populaire dans les rues de La Havane avec en tête autour de Raul Castro plusieurs chefs d’Etats de la région ; Ban Ki-moon, hilare, se faisant coiffer au milieu de la foule... Ce sommet confirme la montée en puissance du mouvement progressiste latino-américaine face à la déclinante hégémonie américaine sur le continent. « La création d’un espace politique commun est primordial pour notre région. Nous avons affaire à de nombreux défis, à de nombreux dangers pour la paix, mais nous avons été capables d’avancer dans la construction de la Celac », s’est félicité le président Raul Castro. Il aurait pu ajouter que l’événement confirme aussi la solidarité de la plupart des pays de la région (...) Lire la suite »

Les organismes latino-américains et caribéens ont des choses à enseigner au Conseil de Sécurité de l’ONU (MPPRE)

MPPRE - Ministère des Affaires Etrangères vénézuélien

Caracas, 06 août 2013 (MPPRE).- « Le Conseil de Sécurité a beaucoup de choses à apprendre de l’expérience de l’Union des Nations Sud-Américaines, l’Unasur ; du Marché Commun du Sud, le Mercosur ; et de la Communauté Latino-Américaine et Caribéenne, Celac ainsi que de l’Alliance Bolivarienne pour les Peuples de Notre Amérique, l’Alba ».

C’est ce qu’a déclaré le Ministre des Affaires Étrangères vénézuélien, Elías Jaua Milano, dans une interview à Telesur, depuis la ville de New York, après son intervention lors de la Session du Conseil de Sécurité de l’Organisation des Nations Unies, durant laquelle un débat a été mené au sujet de la coopération régionale pour le maintien de la paix et la sécurité. Il a signalé que « les organismes sous-régionaux d’Amérique Latine et de la Caraïbe ont prouvé une majeure efficacité dans la résolution des conflits de façon opportune et sans bureaucratisme ». Elías Jaua a réaffirmé qu’il n’est pas nécessaire de bombarder, d’armer des groupes, d’intervenir militairement, de bloquer économiquement un pays quand il est possible de construire d’autres mécanismes pour la solution de controverses. - - Source : Ministère des Affaires Étrangères du Venezuela Traduction : Luis Alberto Reygada pour Le Grand (...) Lire la suite »
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