12 

La loi Rothschild est la cause de l’endettement de la France

do

La cause de l’endettement de la France, c’est...
La loi Rothschild !

Extraits d’une biographie de Georges Pompidou :

Georges Pompidou fit parti du cercle restreint des proches du général de Gaulle, et cette proximité lui valut d’être nommé chef de son cabinet d’avril 1948 à 1953.

En 1953, il entra à la banque Rothschild, où il occupa rapidement les fonctions de directeur général et d’administrateur de nombreuses sociétés. Ce fut pour lui l’occasion de participer à la vie économique du pays, d’accroître le champs de ses compétences et d’établir un éventail plus large de relations.

Il rédigea néanmoins, durant cette période d’intense activité, trois présentations de classiques illustrés sur Racine, Taine et Malraux.

Le général de Gaulle élu à la présidence, Georges Pompidou retourna pendant quelques temps vers le monde de l’entreprise en réintégrant la banque Rothschild.

Membre du conseil constitutionnel en 1959, il profita également de cette période pour rédiger une anthologie de la poésie française.

Georges Pompidou s’installa à l’Élysée le 15 juin 1969. Son mandat fut écourté par son décès le 2 avril 1974 à Paris.

3 janvier 1973, réforme de la Banque de France

Dans la loi portant sur la réforme des statuts de la banque de France, nous trouvons en particulier cet article 25 très court, qui bloque toute possibilité d’avance au trésor :

« Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la banque de France. »

Ce qui signifie que l’article 25 de la loi 73-7 du 3 janvier 1973 interdit à la Banque de France de faire crédit à l’État, condamnant la France à se tourner vers des banques privées et à payer des intérêts ; alors qu’avant cette loi, quand l’État empruntait de l’argent, il le faisait auprès de la banque de France qui, lui appartenant, lui prêtait sans intérêt.

Autrement dit : auparavant, l’État français avait le droit de battre monnaie, et avec cette nouvelle loi, il perd ce droit qui est du même coup légué aux banques privées, qui en profitent pour s’enrichir aux dépends de l’État en lui prêtant avec intérêt l’argent dont il a besoin.

Cette décision correspond à une privatisation de l’argent et ramène la nation au même rang que n’importe lequel de ses citoyens.

L’accroissement sans fond de la dette publique trouve son origine précisément là . Voici en effet un graphique représentant l’évolution de la dette, avec et sans intérêt. La courbe rouge représente bien sûr la dette constatée, calculée avec les intérêts.

Comme je n’ai pas trouvé le moyen de mettre l’image sur ce site, suivre ce lien pour la voir : http://mai68.org/spip/spip.php?article1245

La dette à fin 1979 était de 239 milliards d’euros (*), déjà injustifiables ; la dette à fin 2008 s’établit à 1327 milliards d’euros ! Ainsi, entre 1980 et 2008, la dette a augmenté de 1088 milliards d’euros et nous avons payé 1306 milliards d’euros d’intérêts.

1327 - 1306 = 21 Milliards d’Euros ! : Si nous avions pu créer notre monnaie " faire exactement ce qu’ont le droit de faire les banques privées ", la dette publique serait quasiment inexistante aujourd’hui.

Georges Pompidou a été le directeur général de la banque Rothschild ; il en était le valet, il n’est par conséquent pas étonnant qu’il ait fait cette loi du 3 janvier 1973 qui interdit à l’État français de battre monnaie et qui a endetté la France d’une façon structurelle et incommensurable auprès de banques privées comme la banque Rothschild.

C’est pourquoi, cette loi, je propose de l’appeler désormais la loi Rothschild.
NOTE (*) : La dette à la fin 1979 était en réalité de 82,8 milliards d’Euros, soit 21% du PIB ; mais en tenant compte de l’inflation, cela fait aujourd’hui 239 milliards d’Euros.

Merci pour votre attention,
Meilleures salutations,
do
http://mai68.org/spip

Post-scriptum :

1°) Voici le lien vers cet article sur mon site : http://mai68.org/spip/spip.php?article1245

Ainsi vous pourrez y mettre des compléments ou des commentaires, ou tout simplement faire circuler le lien.

2°) Voici comment supprimer la dette : http://mai68.org/spip/spip.php?article1048

(N’oubliez surtout pas de regarder la dernière vidéo, qui est très courte)

3°) Quand mai68.org ou mai68.org/spip est censuré, utilisez un proxy :

Voici une liste de proxys gratuits : http://www.free-proxy.fr/

COMMENTAIRES  

22/05/2010 15:18 par norodon

Oui,mais maintenant sarko veut faire de la diversion,il veut une reforme de la constitution pour y inscrire une norme sur le budget.
alors tout le monde va encore tomber dans le piége,ses conseillers et experts vont plaider la cause pour la faire admettre. Moi,j’espere qu’il y aura aussi des specialistes qui plaideront le contraire et montreront que c’est une absurdité d’aller chercher ailleurs quand on sait ou son les solutions.En effet,l’idée de retablir une banque publique qui aurait du recevoir les milliards d’euros versés a des
financiers et oligarchies privées.beaucoups d’industries et d’autres activitées de services n’auraient pas etait obligé de fermé boutique ou,de delocalisée ??.C’est une pure demagogie que de croire que la reforme constitutionnelle apporterai quelque chose dans la lutte contre les deficits et l’assainissements des budgets financiers !!.Si l’on prend l’exemple de -l’autorité des marchés financiers- AMF,qui a une force de loi constitutionnelle,en quoi a t elle pu intervenir lors de l’affaire de delit d’initié EADS-AIRBUS ??,elle a conclut qu’il n’y avait rien de penal alors que Demler Benz et Lagardere ont etaient les premiers a retirer leurs argents avec les honneurs et les facilités de cristine Lagarde pour l’envoyer dans une banque US ??Il faut quand meme rappeller au passage que cette derniere travaille plus pour les interets US que francais.Les problemes financiers ou economiques sont tres simples.ils relevent plus du bon sens que d’une alchimie qu’on veut nommée science et qu’elle a toujours besoins d’experts et d’expertises.Tout çà est fait pour endormir les honnetes gens,leur faire dire que l’etat n’est pas resposable de ce qui vous arrive !!Alors qu’on sait pertinement que nous avons a faire a un pouvoir de classe borgeoise et fasciste qui au final ne sont jamais touchés par les difficultées que rencontre le citoyen dans sa lutte quotidienne pour sa survie.

24/05/2010 16:34 par Desbabas

ca fait longtemps que ce problème est connu. Malheureusement trop peu dit. Et souvent mal dit. Je l’aurais plutôt appelé le problème Giscard.

Giscard est ministre des finances à l’époque et prendra la présidence l’année d’après. C’est la victoire de la droite financière sur la droite morale, et Giscard accompagnera la transformation idéologique de la société, la métamorphose du bourgeois comme le dit Jacques Ellul, libéralisme libertaire pour Michel Clouscard.

Et c’est lui qui va rédiger le TCE, dont son fameux article 104 passe dans la constitution européenne cette dépendance à l’égard des banques.

Giscard est dans la finance publique depuis qu’il quitte l’ENA en 1952. D’où vient l’idée à l’origine de la loi de 1973 ? Je ne sais pas. Mais Giscard est surement un bon candidat.

En revanche présenter les Rothschield comme à l’origine de l’affaire, sur une simple collusion d’intérêt avec Pompidou, ça pue l’extrême droite, qui a toujours voulu résumer à Rothschield le problème financier.

D’autre part si le sujet vous intéresse, j’avais fait un bon récapitulatif il y a quelques temps, qui contient une autre version du graphe mentionné et plusieurs liens sur le sujet, dont un excellent dossier monté par ATTAC Nord.

25/05/2010 19:32 par Anonyme

24/05/2010 à 16:34, par Desbabas :

« En revanche présenter les Rothschield comme à l’origine de l’affaire, sur une simple collusion d’intérêt avec Pompidou, ça pue l’extrême droite, qui a toujours voulu résumer à Rothschield le problème financier. »

Ah bon ? ! ?

Et depuis quand s’attaquer à un banquier est-il d’extrême droite ?

Je me souviens bien quand j’étais gosse, les communistes du PCF n’hésitaient pas à citer divers noms pour désigner leurs ennemis : rockefeller, Rothschild (sans "e" au fait !), Onassis, etc.

Mais, dénoncer les Rothschild, aujourd’hui, d’après Desbabas c’est d’extrême droite ? Tiens, tiens ? ! !

27/05/2010 11:57 par Desbabas

Une analyse marxiste ne se contente pas de dire un nom, qui serait symbolique de l’ensemble du problème.

S’attaquer à un banquier est-il d’extrême droite ? Non. Mais l’extrême droite le fait aussi (voir par exemple "le tournant anti-capitaliste du FN" )

En revanche dénoncer l’emprise de la finance sur les états et/ou les peuples en incarnant la finance à sa simple composante Rothschield, c’est depuis toujours le discours des fascistes.

Précisons aussi en passant que le discours communiste ne consiste pas à réclamer plus de pouvoir de l’état, mais un contrôle populaire sur l’appareil de production. Nous ne voulons pas un état qui contrôle tout, mais que les travailleurs prennent le contrôle. Encore une différence avec l’extrême droite.

A bon entendeur, salut

PS : tiens, tiens, ça voulait dire quoi ?

27/05/2010 19:22 par do

Desbabas,

« Une analyse marxiste ne se contente pas de dire un nom », dis-tu, mais pourtant, si je m’étais contenté de prononcer le nom "Giscard", tu n’aurais pas réagi, puisque c’est sur lui que tu veux qu’on reporte la faute.

Que tu le veuilles ou non, Pompidou était un petit soldat de la banque Rothschild. Et pas d’une autre banque.

Et, il est clair que Giscard était aux ordres de Pompidou, et donc de Rothschild, quand, en tant que ministre des finances, il a signé, et seulement signé, cette loi en 1973.

Alors, vouloir reporter le problème sur Giscard, de ta part, c’est vouloir à tout prix éviter qu’on accuse Rothschild. Aussi, je suppose que la personne qui dit "tiens tiens", à ton sujet, fait allusion à ça, et au fait que tu cherches à protéger Rothschild.

Serais-tu un petit soldat de Rothschild déguisé en "marxiste" afin de mieux être accepté sur un forum révolutionnaire ?

Pourquoi donc tiens-tu tant que ça à protéger Rothschild ?

do

27/05/2010 20:27 par legrandsoir

remarque préventive du Grand Soir à tous les deux : merci de ne pas monter dans les cocotiers et d’argumenter vos propos. On vous voit venir...

28/05/2010 13:49 par Desbabas

Bon, on va essayer de clore avant que la redac en ai marre de nos trollages.

Depuis longtemps, je cherche à démêler ce sujet épineux, en particulier à distinguer le rouge et le brun dans la contestation. Il est fort possible que l’extrême droite, ou une droite devenue extrême, prenne le pouvoir bientôt, avec un soutient populaire important, comme c’est déjà arrivé. Il est possible aussi que quelque soit la forme que prenne la prochaine dictature, il y ai des résistants d’extrême droite, je croie en voir les prémices parfois.

Ensuite, si ce sujet de l’intérêt est capital dans la façon dont on se fait escroquer, il faut bien voir comment s’en sortir.

Donc en faisant de l’antifa un peu basique, j’essaye surtout de tirer au clair ce qui nous sépare d’eux. Parce que les nazis étaient aussi fortement embarqués sur ce sujet. Et pourtant ils étaient au service du grand capital. J’analysais ici cette contradiction : Le nazisme et le capital - Wottan et Mammon .

Pour moi il est clair que certaines critiques ne sont qu’une façade. Comme les traders et les parachutes dorés, qu’on nous a vendu en pâture, comme boucs émissaires, et qui de toute façon sont toujours là . Et derrière cette façade, un seul objectif, souvent unanimement accepté : redonner à l’état la mainmise sur l’économie. Sur l’économie de façade, parce que cet état est au service du capital ! Il veut contrôler toute la population, les riches aussi bien ! Mais pour les asservir eux aussi à la logique industrielle et marchande. Plus personne ne doit être indépendant.

Quand on se rapproche des théories du complot, on n’en est pas loin, il faut être super prudent sur la provenance des idées. De très nombreux écrits critiquent le rôle central des Rothschild dans l’exploitation. OK. Moi c’est la finance dans l’ensemble - dont les Rothschild, soyons clairs - qui me dérange.

Mais je garde toutes mes distances avec les accusations de banquiers juifs. Volontairement. On se bat contre tout un système de vol organisé, avec, et il faut le rappeler, des gens bien réels à sa tête, qui retirent des milliards du jeu. Mais ces gens ne sont pas tous juifs, pourquoi toujours revenir sur cet exemple ?

Surtout que de l’autre côté on nous accuse de judéo-bolchévisme, islamo-gauchisme et autre. Il y a dans le racisme un double mouvement de s’allier insidieusement les uns et les autres sur de mauvaises bases, et de les rejeter dans le même mouvement, tout en balayant avec eux les contestations radicales. Le racisme est pervers et multiple face.

Le fascisme ne supporte aucune concurrence, c’est pourquoi il veut à la fois intégrer musulmans, juifs et communistes dans sa contestation et rejeter absolument communisme et monothéisme qui non seulement le concurrence, mais portent en eux une critique radicale et une explication de son forfait.

Maintenant tu as raison quand même, Giscard est dans la même logique que Pompidou, au service de la finance, et ils ont pu, comme l’article le montre être formé par le réseau Rothschild. Mais est-ce le point capital ?

Et tes accusations, tu seras gentil de les laisser au placard.

28/05/2010 15:16 par Anonyme

Desbabas,

Tu dis :

« Maintenant tu as raison quand même, Giscard est dans la même logique que Pompidou, au service de la finance, et ils ont pu, comme l’article le montre être formé par le réseau Rothschild. Mais est-ce le point capital ? »

Ce qui était capital, dans ce débat, c’est que tu le reconnaisses, au lieu d’accuser seulement le lampiste !

Et dis-moi, à propos d’accusations à laisser au placard, s’il s’était agit d’Onassis, au lieu de Rothschild, tu m’aurais soupçonné de racisme antigrec ? Et s’il s’était agi d’un Chinois, de racisme antichinois ?

Il se trouve qu’en France, c’est Rothschild qui a fait passer cette loi, et qu’elle doit par conséquent en porter le nom.

L’essence de mon article, c’est, évidemment, que la dette de la France étant artificielle, une infame magouille, elle ne doit pas être remboursée.

La dette, c’est avec ça qu’on nous bourre le mou aujourd’hui, pour faire passer tout un tas de salopperies.

Aussi, comme à l’époque de la Révolution de Solon, il faut annuler la dette afin d’annuler l’esclavage par la dette !

Et, en attendant de supprimer l’argent, il faudra faire en sorte que ce soit à nouveau l’État qui retrouve le privilège d’émettre la monnaie, et plus les banques privées, qu’elles appartiennent ou non à Rothschild.

29/05/2010 00:55 par Anonyme

well, man, l’essentiel est tout relatif, vu l’influence que l’on peut avoir sur ces choses là . Vu l’ignorance que l’on a de ce qui vient après.

si la dette est une ignominie, les banquiers des voleurs et la défense de la démocratie une obligation morale et stratégique, il n’en reste pas moins que l’extrême droite placée dans nos pattes est un danger permanent, qui force notamment à une rigueur de langage ne permettant pas d’ambiguïté.

et si l’histoire des Rothschild est à dire, avec certaines autres "théories du complot", celle de leurs utilisaions par l’extrême droite est à dire aussi.

je trouve qui plus est léger le lien donné. S’il faut impliquer quelqu’un dans une page qui dénonce l’escroquerie monétaire, il faut un poil plus qu’une collusion finance-politique, qui n’est que très habituelle. rien n’est apporté qui prouve plus qu’une influence idéologique pendant le temps ou Pompidou est chez eux. Ce qui ne veut pas dire que ce n’est pas vrai. Mais il faut du plus solide.

je suis désolé de t’avoir casser les pieds, mais pour moi c’est essentiel. quitte à tourner un peu en rond .

23/06/2011 23:03 par Ame_Nomade

L’analyse est bonne, mais la conclusion est mauvaise.

Car frapper de la monnaie correspond à la dévaluer, ce qui in fine revient à faire payer de prix de la somme créée à tous, proportionnellement à la quantité d’argent que chacun possède. Dévaluer une monnaie est donc un acte équivalent en terme de volume à un emprunt, sauf que dans le cas de la dévaluation personne ne le choisit, l’Etat l’impose, alors que dans le cas de l’emprunt le prêteur choisit, ce qui est bien meilleur au niveau de la liberté individuelle. Car la confiance est la base de tout acte de prêt, et comment avoir confiance en un Etat qui impose la dévaluation pour subvenir à ses besoin ? Et bien non, il ne faut plus faire comme ça, le monde change et la civilisation évolue, et même les Etats n’échappent pas au jeu global de l’optimisation des échanges, qu’est l’argent.

La dette n’est donc pas un problème d’emprunt ou de banque, mais un problème de gestion, de logistique et rien d’autre. Et ça ne devrait pas vous empêcher vous, lecteurs, de dormir. Si un foyer est endetté, il doit être stressé et il peut mal dormir, c’est légitime, car plus sa dette augmente et plus ses libertés de mouvement sont réduites. Mais le prêteur, lui, peut se frotter les mains car il gagne de l’argent. Non pas qu’il devienne riche, car l’emprunteur peut toujours faire banqueroute, le prêteur rend juste un service et il est payé sur ce service qu’il rend, mais pas plus. Et bien c’est un peu la même chose pour l’Etat : sa dette augmente, son stresse augmente, ses marges de manoeuvre diminuent et les responsables peuvent mal dormir la nuit. Mais vous, lecteurs, et très probablement prêteurs (vous avez bien une assurance vie ? un livret A ? renseignez-vous sur ce qu’ils contiennent... : de la dette nationale, pardi !), vous pouvez vous frotter les mains. Non pas que vous allez devenir riche, vous rendez simplement un service, (etc.)

C’est compris ?

02/11/2011 21:00 par kalish

Moi j’ai compris !!! Sauf que deux points me chiffonnent.1) Vous voulez dire que les banques ne prêtent que l’argent qu’elles ont en banque ? Regardez l’argent dette, ce n’est pas ce que j’y ai appris. 2) Ce ne sont pas les braves gens qui épargnent le plus, puisque selon votre conclusion ce sont les épargnants qui soutiennent les banques par le capital investit et qui devraient être rétribué proportionnellement. Mon oeil les plus grosses capitalisations ne sont bien sûr pas faites par des petites gens, mais par des grosses fortunes. Donc double effet pourri selon ce que vous avez décrit. Plus on est riche plus on gagne puisqu’on touche une plus grande partie des intérêts.(Qui a une grosse épargne ???), on paye effetivement l’émission de monnaie puisque les banques prêtent plus qu’elles n’ont, donc elles dévaluent toute seules les gens... Compris ?

22/05/2012 13:39 par Anonyme

RIGUEUR SCIENTIFIQUE DE LA PENSEE HUMAINE
Les dites "sciences" économiques ne sont pas rigoureuses, donc ce ne sont pas des sciences ; elles confondent la perception individuelle et collective et donc aboutissent à des contradictions aux conséquences épouvantables résumées ainsi "l’abondance crée la misère »
cf. "les quatre visages du réel" de Pierre Simon chez Trédaniel
L’analyse du mot ’coût’ est très éclairante ; collectivement ce qui est un coût c pour un individu acheteur est une recette r pour le vendeur donc c+ r = 0
- les dépenses des uns sont les recettes des autres
- l’argent moderne n’est pas produit. Il est créé d’un simple jeu d’écriture.
- l’argent moderne est constitué de dette d et de créance c
A toute dette d correspond une créance c et à toute créance c une dette d
- En valeur absolue, nous avons :
IcI = IdI
- mais c= +x
et d= -x
Nous avons donc d+c = 0
L’argent moderne n’existe pas ! Son existence est une illusion d’optique !
Ainsi faire des économies d’argent consiste nécessairement à diminuer le pouvoir d’achat collectif, aboutit à une diminution des échanges, à réduire l’emploi donc à accroître le chômage et la misère
"les "dépenses" internes à un ensemble économique sont des recettes !
Que coûte financièrement à une nation libre à l’intérieur d’elle-même ses charges financières ? RIEN ! Donc il n’existe aucune DETTE d’une nation libre pour ses "dépenses" financières internes à l’égard de quiconque !
- L’argent n’entre pas dans la consommation ni dans la production ; donc il ne se consomme pas. Tel un catalyseur, il ressort intact après l’échange économique que pourtant il a permis. Ni la consommation ni la production ne coûte d’argent.
Il suffit de le VOIR pour constater que les "sciences" économiques
sont fondées sur des erreurs, des imprécisions du langage en confondant divers sens dans l’emploi du même mot. La première confusion consiste à employer un mot pour la perception individuelle étendue à l’ensemble
Quand vous achetez quoi que ce soit, ça vous coûte de l’argent ; mais cet argent que vous avez dépensé, ce qui, pour vous, est réellement un coût, est un encaissement pour le vendeur. L’argent dépensé par vous n’a pas été détruit mais transmis ! Et pour la collectivité cet échange n’a pas coûté d’argent ; au contraire, il lui en a rapporté !!!
Les conséquences de ces corrections intellectuelles faciles à comprendre sont immenses.
La "rigueur" imposée au peuple est due à un manque de rigueur intellectuelle et à un aveuglement spirituel
Quiconque comprend ce qui précède VOIT que la question économique change complètement que pourrait-on faire si l’on avait tout l’argent nécessaire ? Car le problème de l’argent ne se poserait plus ! Et demain le plein emploi est immédiatement possible !!! Il suffit de se poser la question : quels sont les vrais besoins des humains ?

Regarder :
http://www.youtube.com/embed/TLjq25_ayWM?rel=0

(Commentaires désactivés)