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Le Larzac secrètement couvert de jardins écolos

Soumis à une stricte réglementation qui interdit engrais et pesticides, ces jardins constituent une véritable révolution agricole.

Un arrêté du Conseil départemental de l’Aveyron précise que, même « en complément, et pour les cas difficiles, l’usage des pesticides et des engrais chimiques est totalement interdit ».

Postées au bout de chaque rangée de chaque culture, des plantes sentinelles spécialement choisies montent la garde et font fuir les parasites. Les engrais sont remplacés par du compost spécial : un mélange de terre, de vers et de crottes de chèvres. Le rendement est élevé.

Des ingénieurs agronomes fournissent des conseils. Des vétérinaires veillent à la santé des animaux, bases de l’engrais.

Ce type d’agriculture date de 1994 et si personne n’en parle en France (et surtout pas Bové) c’est qu’il est en réalité en vigueur, non pas au Larzac, mais à Cuba (1).

Théophraste R. (Cultivateur de vérités cachées).

(1) Voir ci-contre : http://www.legrandsoir.info/sin-embargo-paroles-cubaines-sur-le-blocus...

URL de cette brève 4742
https://www.legrandsoir.info/le-larzac-secretement-couvert-de-jardins-ecolos.html
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Commentaires
07/08/2015 à 09:09 par morvandiaux

l’anti-coco qu’est Bové ne va pas faire la pub pour Cuba !! Cuba c’est une dictature !!
Cuba engagée dans l’agriculture biologique - Publié le : juin 5, 2015
http://www.lesamisdecuba.com/cuba-engagee-dans-lagriculture-biologique/

pas plus de publicité pour un médicament :
A Cuba : une autre arme contre le cancer
http://www.lesamisdecuba.com/a-cuba-une-autre-arme-contre-le-cancer/

André Chassaigne : Cuba : une dictature ?
http://www.andrechassaigne.fr/2015/07/cuba-une-dictature.html

l’important c’est qu’une agriculture respectueuse de l’environnement se mette petit à petit en place, le Bové n’est qu’une petite plante vénéneuse à moustache très sensible aux sens des vents !

#117882 
07/08/2015 à 12:22 par LECOMTE

Ne soyez pas injuste - en France existe des voix et des pratiques semblables, la différence étant - peut être - que la-bas les interdictions des pesticides et engrais chimiques sont déterminés par loi et ici c’est plutôt d’initiatives personnelles par prise de conscience et engagement avec des pratiques agricoles saines - un exemple : PIERRE RABHI (entre autres... je cite Claude Bourguignon https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=...,d.d24

#117888 
07/08/2015 à 16:58 par daniel

Le Vexin se trouve en partie dans le Val D’Oise.
Article paru à l’époque


Le parc régional du Vexin se positionne contre les OGM en octobre 2000
Le 31 octobre 2000, le président du parc régional du Vexin, Mr Gérard Claudel, a pris position contre les cultures d’OGM. Il a invité les 94 maires des communes du parc à prendre une délibération. Il a notamment mis à leur disposition un modèle dans lequel il insiste sur la nécessité de prendre des mesures d’interdiction de cultures d’OGM. Seules 19 communes avaient pris une délibération. Toutefois de nombreux sous-préfets ont souligné le fait que les conseils municipaux n’étaient pas compétents pour adopter une délibération interdisant les cultures d’OGM.
Un avant-projet de charte est actuellement en discussion dans lequel figurait un point sur les OGM. Ce document de travail évoque notamment la position du Parc sur les OGM en stipulant qu’il "n’a pas vocation à accueillir des cultures d’organismes génétiquement modifiés en plein champs, y compris celles présentées comme des expérimentations".

#117894 
08/08/2015 à 09:21 par Lulu de la Lune

(Le feuilleton surréaliste de l’été au Grand Soir)
Lulu enfermé dans les commentaires !

Troisième jour : DANS L’ANTRE DE LA BÊTE.

Chers Grandsoireurs,

enfermé comme je le suis dans les commentaires de ce bouillant organe virtuel d’information alternative, ainsi que je vous l’ai raconté d’abord ICI et ensuite , je continue ma visite, après m’être prudemment retiré du champ de tir des commentaires du dernier texte que j’ai visité, une belle foire d’empoigne en faveur de l’information alternative justement, que c’en était un vrai plaisir.

Comme je vous l’ai promis, je me trouve actuellement caché derrière une lourde tenture du living-room de Théophraste R., situé en haut du donjon du château que je vous ai décrit hier, prêt à vous raconter la scène qui s’offrit il y a peu devant mes yeux émerveillés.

En fait, ça a été assez simple d’entrer ici, malgré la hauteur du donjon et mon vertige atavique (un peu comme James Stewart dans Vertigo, d’ailleurs, sans fausse modestie, outre cette phobiette des hauteurs, nous avons quelques traits communs, James et moi. Ça me fait penser à l’épisode de notre ascension de la crémaillère sur la Lune avec Ferdinando). Cela a été simple parce que dans le terrain vague puant et brun adjacent au château, tenu par la Bordella et ses légions de trolls, se trouvent une armée de catapultes destinées à balancer toutes sortes de saloperies vers le château : tombereaux d’ordures et d’insultes, régimes de peaux de bananes, abonnements promotionnels au Nouvel Hebdomadaire de Référence et autres bulletins de voirie, mensonges (a)variés et déclarations faisandées. Bref, en me bouchant le nez, il me suffisait de sauter dans le baquet de l’une de ces catapultes pour être envoyé vers ma destination : le mystérieux cosy du non moins mystérieux éditorialiste en haut à droite (du site), j’ai nommé Théophraste R.

Le catapultage ne fut pas si désagréable : je me retrouvai assis dans le baquet avec trois malabars que je reconnus comme de fervents militants pour la démocratie grâce aux ravissantes ombrelles en papier de soie qu’ils arboraient comme des bazookas.

Quelques secondes plus tard, alors que mes lourds compagnons de baquet s’écrasaient contre la façade du château, je me retrouvai, par un habile salto, sur la corniche d’une porte vitrée donnant sur les appartements du Maître. J’entrai rapidement et me cachai derrière une lourde tenture

Je fus immédiatement pris à la gorge par cette ambiance intense d’intellectualité laborieuse qui saturait la pièce.

À quelques mètres à peine de mon lourd rideau (les tentures me rendent nerveux – ça doit être à cause d’Hamlet et de Claudius), un homme se penchait sur une table et écrivait lentement, dans une extraordinaire concentration. Son large dos, son haut front, ses grandes oreilles, sa perruque, sa veste d’intérieur à pompons et ses pantoufles à motif écossais imposaient un respect irréductible. J’avais l’impression de me trouver à quelques pas du grand Victor Hugo, du sublime Balzac, voire du divin slavophile (Depardieu), peut-être aussi du dieu des représentants de commerce (Strauss-Khan - par sa connaissance inégalée de l’industrie hôtelière), ou même de l’irrésistible Christian Clavier, tous arrondis par le génie (et par la goutte). Je m’en voulais de ne pas avoir cet air supérieur, moi qui suis toujours servi en dernier dans les réunions de famille et qu’on prend en permanence pour un livreur de pizzas.

Et justement, à propos de livreur de pizzas, voilà que dans ce couvoir feutré de bonheur cérébral surgit un véritable zébulon, qui sauta sur la table en faisant une pirouette et en mettant le bazar dans les feuilles soigneusement empilées. J’étais révolté à l’idée du désordre insupportable que mettait cet importun et me demandai bien comment le divin Théophraste allait réagir à une telle intrusion.

Le Maître releva la tête et prit la parole :

- Dis-donc Théo, j’ai bien aimé ta dernière bafouille. Tu la met en ligne ?

Ce à quoi le zébulon répondit :

- Y’a pas l’feu au lac, on va d’abord aller boire un canon !

Et les deux hommes sortirent de la pièce.

Vous n’imaginez pas la confusion dans laquelle me mit cette scène. Il y avait de quoi ruer franchement dans les brocards !. Je ne comprendrai jamais rien à rien ! Et puis je finis par me calmer en me souvenant d’une sage maxime de Maxime :

- l’habit ne fait pas le moine bouddhiste.

Eh oui.

Bon, à demain,

Lulu de la Lune.

#117905 
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