Première partie
Un jeune palestinien pâle et estimé de tous les siens.
Tente par tous le moyens de rejoindre le lieu qui ne dit pas son nom.
Non se dit-il, je dois quoi qu’il m’en coûte remettre ce qui m’a été confié.
Sans cela les bouchers de GAZA enterreront leurs haches..
A vélo les rues sont nues.
Des pluies dessèchent tout ce qui n’est pas humain.
Il prie pour ne pas percuter a même le sol ses semblables.
Il crie d’avoir été arraché de sa terre pour ne pas avoir eu les mêmes sandales..
Quel scandale !
Que d’être coupable de ne pas avoir privilégié le maniement du gaz.
Alors que la terre est son âme... et conscience que n’ont pas ces ânes..
Avant que ne tombe un missile.
Le spectacle est à leur merci.
Assi le temps d’un messi.
Il se dirige vers une destination qui ne veut guère se réveler.
Seule la guerre tonne a ses yeux qui porteur d’un vice.
N’en connait toujours pas les vertus.
Comment les joindre pour les reconnaître.
Et les rejoindre pour renaître...
Peut être...
La radio qui diffuse tous les matins la détresse de ces sous-êtres..
Accueilli dans les locaux de la radio palestinienne comme le sourire d’un nouveau né.
Le messager à vélo était porteur d’une toute petite vis.
Qu’ il fallait absolument remettre à l’animateur radio...
Vice versa.
Son micro était à nouveau fonctionnel...
Le message du peuple gazaoui pouvait être diffusé au monde instituionnel :