Les technocrates de Bruxelles ayant imposé à la Grèce de signer, « Mon-adversaire-c’est-la-finance » s’est écrié : « Je pense que ç’a été pour l’Europe une bonne nuit, […] une décision historique de l’UE ».
Valls a exprimé sa « fierté d’être aux côtés de François Hollande, et de réussir aujourd’hui ce qui semblait impossible ».
DSK, qui serait président socialiste (sic) s’il n’avait « troussé une soubrette » (dixit Jean-François Kahn) dans un Sofitel de New York se démarque : accord proprement effrayant, fondamentalement néfaste, presque mortifère, dévastateur, diktat allemand qui peut mener l’Union européenne à sa perte. Pour lui, l’Allemagne a voulu saisir « l’occasion d’une victoire idéologique sur un gouvernement d’extrême gauche (1) au prix d’une fragmentation de l’Union ».
Il lit LGS, DSK, en plus de Playboy et de Lui ?
Théophraste R. (Chef du bureau des Enfonceurs de coins entre socio-démocrates, section : « Sait-on jamais ? »).
(1) D’extrême gauche ? Il est vrai qu’Aube dorée n’en fait pas partie, contrairement à ce que tweete Arnaud Leparmentier (Le Monde, France Inter) retweetant BHL (tous médias).