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Thème : Boycott

Agissez maintenant contre ces entreprises qui profitent du génocide du peuple palestinien

Par Palestinian BDS National Committee (BNC)

Boycotter Israël de manière efficace et compréhensible.

"La plupart des listes prohibitives qui circulent sur les médias sociaux vont à l'encontre de cette approche stratégique et efficace. Elles incluent des centaines d'entreprises, dont beaucoup n'ont pas de preuves crédibles de leur lien avec le régime d'oppression israélien contre les Palestiniens, ce qui les rend inefficaces." Le Comité national palestinien BDS (BNC), la plus grande coalition de la société palestinienne qui dirige le mouvement mondial de Boycott, Désinvestissement et Sanctions (BDS), salue les militants, les organisations et les institutions du monde entier qui ont exprimé une solidarité significative avec notre lutte urgente pour arrêter le génocide israélien en cours à Gaza en intensifiant les campagnes de boycott et de désinvestissement. La généralisation des boycotts des entreprises israéliennes et multinationales complices peut être efficace si elle est menée de manière stratégique. Il est plus urgent que jamais de mettre fin à la complicité des États, des entreprises et des (...) Lire la suite »
Eléments d’information économiques pour les adeptes télévisés du cri ovin et bovin « Venezuelaaaaa ! »

Les preuves du crime économique contre le Venezuela

Alfredo SERRANO MANCILLA

Laisser de côté ce à quoi est confronté le Venezuela aujourd’hui, sous forme d’une multi-agression permanente en matière économique, serait un acte d’irresponsabilité délibérée. Ce serait aussi une analyse partielle et biaisée.

Ce serait la même chose que d'analyser l'économie mexicaine sans considérer qu'elle a les États-Unis comme voisin du nord. Ou supposer qu'un pays a de l’accès à la mer sans l'avoir. Donc, comment une étude ou une proposition peut-elle être lue sur la base de prémisses fausses et inexistantes, éclipsant une bonne partie de ce qui se passe ? 1. Le « risque-pays » accordé par les agences de notation est inadmissible vu le respect du Venezuela concernant le paiement de la dette extérieure. Au cours des quatre dernières années, la République Bolivarienne du Venezuela a honoré ses engagements de paiement pour un total de 73.359 millions de dollars. Toutefois le « risque-pays » ne cesse pas d’augmenter. Ont été repérés 32 mois au cours des 14 dernières années où le « risque-pays » du Venezuela a augmenté malgré la hausse du prix du pétrole. Actuellement, le « risque-pays », donné par JP Morgan (EMBI +), se situe à 4.820 points, soit 38 fois plus de que ce qui est attribué au Chili malgré le fait que ce dernier a un (...) Lire la suite »
L’affaire Orange

Sur l’intimidation et les tentatives anti-BDS (Middel East Monitor)

Samah JABR

L’affaire Orange ici, ce n’est pas l’orange menaçant des victimes de Guantanamo ou de l’État islamique – il s’agit de la société de télécommunication française Orange, et de sa récente affaire avec Israël.

Après avoir annoncé au Caire qu’Orange allait suspendre son contrat avec la société Partner d’Israël, le PDG d’Orange (suite à la pression israélienne sur le gouvernement français) est arrivé en Israël pour y rencontrer le Premier ministre Benjamin Netanyahu. Là, il a exprimé son démenti des articles qui avaient affirmé qu’ « il romprait les liens avec Israël ‘demain’ si les ramifications financières n’étaient pas aussi graves que l’estime sa société ». Le PDG a par la suite écrit une lettre à la ministre adjointe israélienne des Affaires étrangères, Tzipi Hotovely, faisant l’éloge d’Israël en tant que « terre d’innovation et de dynamisme ». Il y déclare qu’Orange ne succombera pas à « la pression politique de certains mouvements ou organisations », et que la société « ne supportait aucune forme quelle qu’elle soit de boycott contre Israël ». Avant cela, le professeur Richard Horton, rédacteur en chef de la revue médicale The Lancet, était lui aussi venu à Haïfa pour exprimer son repentir et son « profond regret » auprès des (...) Lire la suite »

En Grande-Bretagne, les Verts soutiennent le boycott d’Israël (Haaretz)

Haaretz

Natalie Bennett, qui dirige le Parti des Verts depuis 2012, vient de réaffirmer le soutien de son mouvement à la campagne BDS, souligne le journal israélien Haaretz.

Dans une interview au Jewish Chronicle, avant les élections parlementaires du 7 mai, Natalie Bennett déclare« Nous devons faire passer ce message dans tout l’État israélien ; le droit international et les droits de l’homme doivent être respectés... Le boycott d ’Israël fait partie de la politique du Parti Vert. C’est un domaine vraiment difficile, mais j’entends soutenir cette politique ». Le manifeste 2015 du parti, rendu public cette semaine, appelle à suspendre l’accord d’Association entre l’Europe et Israël, en vigueur entre l’Europe et Israël depuis 2000, et qui équivaut à plus de 1,5 milliard de dollars accordés chaque année par l’UE à Israël, selon le Jewish Chronicle. Benett, ancienne journaliste née en Australie, a déclaré au journal que l’accord « doit être subordonné au respect des droits de l’homme et de la loi internationale. Tant qu’Israël ne se plie pas au droit international, nous n’avons pas à respecter cet accord. » « Nous devons arrêter les ventes d’armes à Israël, mais aussi à l’Arabie (...) Lire la suite »

Plus de 40 dessinateurs écrivent au directeur du festival d’Angoulême

BDS France
Dernière info, Tardi vient d'ajouter son nom aux signataires ci-dessous ! Siné, Joe Sacco (lauréat d'Angoulême), Edmond Baudoin (lauréat d'Angoulême), Carali, Chimulus, Ben Katchor, Sue Coe, Eric Drooker, Peter Kuper, Matt Madden, Seth Tobocman, le palestinien Mohammad Saba'aneh, le libanais Mazen Kerbaj, le soudanais Khalid Albaih, la tunisienne Willis From Tunis, l'israélien Amitai Sandy, le brésilien Carlos Latuff, l'espagnol Elchicotriste, l'italien Gianluca Costantini et plus de 40 artistes de plus de 10 pays, protestent contre le partenariat entre le festival et l'entreprise israélienne installée dans les territoires occupés. Cette lettre arrive alors que SodaStream est la cible d'une campagne de boycott international qui a conduit l'actrice Scarlett Johansson à rompre son engagement de sept ans avec l'ONG Oxfam. L'annonce que SodaStream serait un sponsor officiel du Festival d'Angoulême a entraîné une vague de protestation de la part de militants français, rejoint aujourd'hui par les (...) Lire la suite »

Au fil des boycotts, Israël perd ses alliés (Middle East Monitor)

Daud ABDULLAH

En faisant durer les négociations, les dirigeants israéliens s’imaginent qu’ils peuvent convaincre tout le monde qu’ils recherchent effectivement la paix. Mais comme le dit l’adage : « on peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps ».

L’isolement d’Israël sur le plan international est finalement devenue réalité. Ces dernières semaines, ceci a été illustré par l’absence des principales personnalités politiques israéliennes aux funérailles de Nelson Mandela, immédiatement suivie par l’imposition d’un boycott académique à l’encontre des universités et institutions israéliennes par l’Association des études américaines (ASA). Pour de nombreux observateurs, il semble désormais que les nuages activistes se transforment en un déluge de boycotts. Israël est à court d’alliés. Le simple fait que les journalistes israéliens eux-mêmes évoquent l’augmentation du nombre de boycotts dans leurs articles souligne l’importance des événements actuels. La provocation ouvre la voie à une saine réflexion. Les campagnes de boycott qui ont commencé à voir le jour vers la fin de la seconde Intifada revêtent une toute nouvelle dimension. Loin de se limiter aux produits issus des colonies, ils s’étendent désormais lentement mais sûrement aux produits israéliens en général. (...) Lire la suite »

Le boycott fait ses preuves contre tous les apartheids

Loic Dupont et Anna Bouamama

Aujourd’hui, des milliers d’organisations à travers le monde appellent à ce mode d’action contre Israël.

À l’heure où Madiba est réduit à être une icône, il semble nécessaire de réaffirmer quel a été son combat. Rendre hommage à Nelson Mandela, c’est avant tout poursuivre sa lutte : contre le régime d’apartheid, contre le racisme et pour l’égalité entre les peuples. Sa lutte, c’est aussi un soutien avéré à celle du peuple palestinien, comme en témoignent ses paroles : « Nous savons bien que notre liberté est incomplète sans la liberté des Palestiniens. » Il est certain que les liens entre les luttes des peuples sud-africain et palestinien sont forts et nombreux. En 2011, une session du Tribunal Russell sur la Palestine, cour formée par des personnalités, des citoyens et des associations, s’est tenue au Cap. Les conclusions ont montré l’existence, en Israël, d’un régime d’apartheid tel qu’il est défini dans le droit international, à partir de trois critères. Tout d’abord, deux groupes distincts peuvent être identifiés : juifs israéliens et Arabes palestiniens. Des actes inhumains sont commis à l’encontre du groupe (...) Lire la suite »

SodaStream : « Des ’bulles’ israéliennes contestées » (Dagens Næringsliv)

Mathilde Becker Aarseth

« Les sociétés qui opèrent dans les colonies contribuent aux violations israéliennes du droit international, d’un point de vue juridique. En plus, au sein de l’opinion international, la position est claire, les colonies sont un obstacle à la paix »

« SodamStream a progressé de façon importante en Norvège » affirme le conseil du directeur administratif de SodaStream, Maurice Silber. Le fabricant de sodas, que beaucoup associent aux publicités des années soixante-dix et quatre-vingt, a connu un renouveau au niveau mondial. Les machines qui « libèrent les bulles » ont maintenant une conception moderne et plus de cent saveurs différentes. La société israélienne est cotée sur le marché boursier et représente une valeur marchande de 1,3 milliard de dollars. Les produits SodaStream peuvent être achetés dans 60 000 magasins à travers le monde, et ils ont maintenant sérieusement pénétré le marché norvégien. « Nos produits sont très populaires dans les pays nordiques, et ils ont connu une croissance formidable ces deux dernières années » dit Silber. En Suède, un ménage sur quatre possède une machine SodaStream sur le comptoir de sa cuisine, et la société voit les pays nordiques comme un important marché en expansion. Subventionnée par Israël Il n’y a pas que la (...) Lire la suite »

Couverture de la Quatrième Conférence nationale BDS (The Electronic Intifada)

Asa Winstanley

Tutu a dit à propos des Israéliens : « Ils peuvent bien pavaner comme s’ils étaient invincibles, mais ils sont du mauvais côté… un jour, les Palestiniens pourront marcher la tête haute, citoyens libres d’une Palestine libre. »

Les articles sur la Quatrième Conférence nationale du Boycott, Désinvestissements et Sanctions qui s’est tenue samedi à Bethléhem tendent à se focaliser sur la honte du ministre de l’Autorité palestinienne (AP), Jawad Naji, (y compris le premier que j’ai écrit). Mais la conférence elle-même est allée bien au-delà. La principale raison pour laquelle l’assistance a été si en colère contre Naji est que tout au long de la journée, l’accent a été mis sur les initiatives locales de boycott. Des initiatives que l’AP sape par tous ses multiples contacts avec les dirigeants et institutions israéliens. En dépit du départ du ministre en signe de protestation et de l’attaque sanglante de ce voyou contre Nizar Banat (l’homme qui a soi-disant « insulté » le dirigeant de l’AP, Mahmoud Abbas), la conférence s’est révélée être un évènement plein de vie et passionnant. En attendant, le Centre palestinien pour les droits humains a réclamé aujourd’hui une enquête sur l’attaque contre Banat. Une normalisation critiquée avec force (...) Lire la suite »

Un nouveau plan israélien appelle à collecter davantage de "renseignements" pour démanteler le mouvement BDS (Electronic Intifada)

Ben White

La semaine dernière à Jérusalem, le ministère israélien des Affaires étrangères a accueilli la IVème conférence internationale sur l’antisémitisme, le « Global Forum for Combating Anti-Semitism ». Comme expliqué précédemment sur mon blog, il s’agit d’un « rassemblement qui a servi d’axe important dans les efforts en faveur de la lutte contre la solidarité avec la Palestine, et contre les campagnes Boycott, Désinvestissement, Sanctions (BDS). » Le programme de la pré-conférence et les lettres de mission des groupes de travail montraient clairement que la "hasbara" (propagande) allait une fois de plus tenir le haut de l’affiche.

Ci-dessous le "Plan d’action" qui a été présenté aux délégués par le groupe de travail en charge d’examiner "la délégitimisation" et BDS. Il s’agit d’une transcription de documents projetés lors de la conférence (vidéo ici ). Il faut que les activistes lisent, partagent et prennent en compte ce document lors de leur planification de campagnes et de stratégies. Groupe de travail de délégitimisation et BDS - Plan d’action Scindez les responsabilités – Plutôt que tout le monde essayant de tout faire, identifiez les avantages comparatifs de chaque organisation afin de maximiser leur efficacité à répondre aux menaces de délégitimisation, de façon réactive et proactive. L’approche britannique peut servir de modèle. Par exemple, encouragez les groupes qui ont des liens avec les travailleurs à se concentrer sur un travail avec les syndicats, ceux ayant une expertise dans les relations internationales à focaliser leur attention sur les membres des agences des Nations Unies, ceux impliqués dans les médias et les relations (...) Lire la suite »
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