RSS SyndicationTwitterFacebookFeedBurnerNetVibes
Rechercher
Thème : CANAL PLUS

2297 journalistes et professionnels des médias tués depuis 1990

Fédération internationale des journalistes

On lira ce tableau effrayant et on le comparera à la propagande du Petit Journal de Canal + (ah, ce Bolloré !), au classement de RSF (ah, ces dollars !), qui est un bidonnage que les médias promeuvent, au grand dam des journalistes.

Un exemple de la fumisterie du classement de RSF : Un item mesure « la capacité laissée aux médias de fonctionner en toute indépendance du pouvoir ». Mais aucun ne mesure « la capacité laissée aux médias de fonctionner en toute indépendance des banques et des industriels ». En clair, un média public est réputé partial et il perd des points tandis que les médias privés, comme Canal + et i télé de Bolloré, Aujourd'hui / Le Parisien, Les Echos de Bernard Arnault, Le Figaro de Serge Dassault, Libération, L'Express, BFM de Patrick Drahi, Le Monde, l'Obs de Xavier Niel, Le Point de François Pinault, Europe 1, JDD, Paris-Match de Lagardère, en gagnent. Plus le nombre de médias appartenant à des oligarchies est grand, plus les citoyens qu’ils enfument sont nombreux, plus la liberté de la presse est garantie, d’après RSF. Par cette escroquerie, les pays où l’on assassine en masse les journalistes sont mieux classés que ceux ou aucun n’est tué. C’est ainsi que Cuba (la bête noire de RSF et de la CIA), qui compte plus (...) Lire la suite »
Raúl Castro sera à Paris le 1er février 2016.

Le treillis du guérillero rencontre les pantoufles de l’énarque (et les robes de chambre des journalistes ?)

Maxime VIVAS

Le 26 juillet 1953, 150 guérilleros (dont Fidel et Raúl Castro), échouaient dans l’attaque de la caserne Moncada, à Santiago de Cuba. Beaucoup périrent lors de l’assaut, d’autres furent fait prisonniers, torturés, exécutés. Avant de se replier dans le maquis de la Sierra Maestra, les survivants erraient dans les rues où les soldats les repéraient à leur accent de La Havane avant de les abattre.

Parmi les passants égarés, un assaillant qui passa inaperçu grâce à sa petite taille et à son visage enfantin (on lui donnait 15 ans). C’était Raúl Castro (photo). Le 2 décembre 1956, 82 guérilleros, partis du Mexique sur un bateau nommé Granma, débarquaient sur une plage cubaine où les attendaient en embuscade les soldats du dictateur Batista. Il y eut seulement 22 survivants, dont Fidel et Raúl Castro, le Che, Camillo Cienfuegos. Le 8 janvier 1959, ces trompe-la-mort et 5000 barbudos entraient triomphalement à La Havane. Raúl Castro fut aussitôt chargé de créer une armée, tâche vitale devant les menaces des USA (Cf. entre autres, l’invasion de la Baie des Cochons). Il le fit avec l’autorité que lui conféraient son héroïsme dans la guérilla et les fonctions de N° 2 du gouvernement qui lui furent attribuées pour réussir : premier vice-président du Conseil d'Etat, deuxième secrétaire du Parti communiste cubain. C’est donc par « méritocratie » et non par népotisme, qu’il a succédé au N° 1, Fidel Castro (1). (...) Lire la suite »

Ursula Gauthier est en France, hélas !

Vladimir MARCIAC

Lundi 5 janvier 2016, j’ai regardé la journaliste de l’Obs, Ursula Gauthier, à l’occasion de sa prestation au « Petit Journal » de Yan Barthès sur Canal Plus.
http://www.canalplus.fr/c-emissions/c-le-petit-journal/pid6515-le-peti...

Elle est interviewée (entre 11mn20 et 17mn56) soit plus de 6 mn pendant lesquelles elle ne prononce pas le mot « Ouïghour », ni n’explique son différend avec les dirigeants chinois. Sur question « Que vous reprochent-ils ? » elle a cette réponse : « Ils me reprochent de parler librement. Ils voudraient que je parle en reprenant leur propre langage… Ils ont été évidemment incapables de me montrer un mot dans mon article qui était exagéré ou faux ». Elle ment. Sinon, en toute logique, on doit comprendre que les articles des centaines de correspondants étrangers en poste à Pékin sont des reprises du langage des autorités. Elle seule, après des années passées en Chine, a brusquement refusé d’écrire sous la dictée (A partir de novembre 2015 : avant, ils renouvelaient son visa). Par ailleurs, il suffit d’aller sur les sites chinois pour voir que son affirmation « Ils ont été évidemment incapables de me montrer un mot… » est inexact. Je laisse le lecteur y aller voir. Et lisez l’article du GS : (...) Lire la suite »
Le rédacteur en chef adjoint de Spécial Investigation ne sera pas liciencié

Non, M. Bolloré, tout n’est pas permis

SNJ-CGT

Dès l’annonce de la déprogrammation par Vincent Bolloré de l’enquête sur le Crédit Mutuel, en juin dernier, Jean-Baptiste Rivoire, rédacteur en chef adjoint de l’émission Spécial Investigation avait demandé des explications à la direction de Canal+.

Cette enquête sur la banque « mutualiste » qui évoquait un système d’évasion fiscale et de blanchiment d’argent organisé par la banque, par ailleurs partenaire financier du groupe Bolloré, avait été censurée sur demande de son dirigeant et ami de Bolloré, Michel Lucas. Finalement diffusée sur France 3 le 7 octobre, l’émission a bénéficié d’une importante audience. La réponse de Bolloré, après la mise au pas des équipes de Canal+ (licenciement des directions intermédiaires et des auteurs des Guignols de l’Info, menace sur le zapping et de Patrick Menais son responsable) n’a pas tardé. Convoqué à un entretien préalable, sans aucun motif écrit, en vue d’un éventuel licenciement le lundi 19 octobre à 15h, la direction de Canal+ a finalement informé Jean-Baptiste Rivoire qu’elle avait décidé de ne pas poursuivre la procédure initiée à son encontre. En effet, le licenciement de J-B Rivoire, nommé représentant syndical CGT au comité d’entreprise de Canal +, aurait nécessité l’accord de l’inspection du travail. Sans parler (...) Lire la suite »

Canal + : Maïtena Biraben est dans le coma, vous le saviez ?

Vladimir MARCIAC

De 1 100 000 téléspectateurs lorsqu’il était présenté par Antoine de Caunes qui savait montrer ses fesses et mettre son nez en direct dans celles d’une strip-teaseuse ICI, « Le Grand journal » est tombé aujourd’hui à 529.000. Les prix des spots de publicité plongent, la rentabilité de l’émission n’est plus assurée. Maïtena Biraben est tombée dans le coma (médiatique).

CHIFFRES D'AUDIENCE DE CANAL PLUS - Le Grand Journal. Vendredi 16 octobre : 529.000 Jeudi 15 octobre : 537.000 (2.8% de part de marché entre 18h50 et 20h05). Mercredi 14 octobre : 539.000 Mardi 13 octobre : 608.000 Lundi 12 octobre : 637.000 (avec Xavier Mathieu) Vendredi 9 octobre : 552.000 Jeudi 8 octobre : 573.000 Mercredi 7 octobre : 525.000 Mardi 6 octobre : 577.000 Lundi 5 octobre : 608.000 Vendredi 2 octobre : 540.000 Jeudi 1er octobre : 475.000 Mercredi 30 septembre:558.000 Mardi 29 septembre : 505.000 Lundi 28 septembre : 570.000 Comme j’éprouve quelque sympathie pour Bolloré (merci au Grand Soir de laisser passer cet aveu, j’ai aussi des qualités par ailleurs, j’ai publié pas mal d’articles dans la ligne éditoriale, etc.) je vais lui donner des conseils (gratuits) pour sa recherche des causes et pour remédier à la catastrophe : 1- Laissez tomber vos investigations sur le rythme, le punch de l’émission, bref sur des raisons techniques. 2- Evitez les mensonges à l’antenne car, s’ils (...) Lire la suite »
13 

Lettre ouverte à Canal +

Michel TAUPIN
CANAL + 26 février 2014 : Suite Emission du Petit Journal de Yann Barthes et du "reportage" particulièrement malhonnête de Martin Weill sur les événements dramatiques du Venezuela. Le Mouvement Français de solidarité avec la Révolution Bolivarienne du Venezuela a manifesté son mécontentement et son exaspération ce mercredi 26 février devant le siège de CANAL + à Issy-Les-Moulineaux ! Avec nos camarades, nous avons fait part de notre indignation devant le traitement infâme et injuste que CANAL + réserve à la Révolution bolivarienne du Venezuela, et nous avons remis à M. Bertrand Meheux, Président du Directoire, une lettre exigeant le respect de tous les abonnés et ce qui devrait être un minimum, de faire preuve d'impartialité dans l'information diffusée. Voici le texte de la lettre remise à CANAL + : Objet : Reportages de Martin Weill sur les évènements au Venezuela dans le "Petit Journal" de Yann Barthès Monsieur le Président, Loin de présenter les évènements dramatiques survenus au Venezuela en toute (...) Lire la suite »

Boycotter le « Petit Journal » de Canal+ et soutenir Maduro

Cercle Ouvrier du Bassin Minier Ouest du Pas-de-Calais
comibase@gmail.com - http://joukov.eklablog.com/ Nous appelons à boycotter le « Petit Journal » de Canal+, pour dire halte aux média-mensonges. La nouvelle « tête de Turc » de Canal + semble être Nicolas Maduro, le Président vénézuélien, élu démocratiquement en 2013 suite au décès (ou l’assassinat) d’Hugo Chavez. En effet depuis une dizaine de jours, le « Petit Journal » présenté par le sémillant Yann Barthès, fait de la propagande active en faveur de la bourgeoisie vénézuélienne qui prépare la contre-révolution par le déclenchement d’émeutes dans plusieurs villes du pays. La phrase choc de cette matraquage médiatique fût certainement « peut-il y a avoir le chavisme sans Chavez ? » ou plus clairement « Maduro est-il à la hauteur ? ». Des micros reportages montrent des étudiants manifestants qui exigent du papier toilette, des files de gens qui attendent du lait..., des produits devenus rares depuis des mois à cause d’une forme d’embargo mené par l’opposition. Voilà donc quelques produits introuvables qui servent de (...) Lire la suite »

Quand l’aile gauche de Canal plus rejoint les "merdias"

Chien Guevara

Je me suis toujours demandé comment une chaine de télévision, privée et bourgeoise, pouvait passer au travers de la censure, alors qu’elle fait grincer les dents de tous les gens de pouvoir.

Déjà, dès le début, je voyais un anachronisme entre la bourgeoisie de cette chaîne, et l’engagement clairement à gauche qu’elle voulait afficher. Je crois que j’ai trouvé ma réponse : la propagande post-séductrice ! On se crée une réputation de rebelle, puis une fois un large public conquis par les messages humoristiques rassembleurs, on dérive discrètement vers la diffusion de la pensée unique. Le petit journal de Yann Barthès, où comment passer de l'humour au sérieux ... GRAVE ... très grave ! p>31 janvier (pré-Russie) : Le Petit Journal du 31/01 - Martin Weill part à Sotchi 6 février (Russie) : Le Petit Journal du 06/02 - Martin Weill à Sotchi 19 février (Ukraine) : Le Petit Journal du 19/02 - Romain Hary à Kiev 19 février aussi , quelle fructueuse journée (Vénézuela) : Le Petit Journal du 19/02 - Martin Weill à Caracas 21 février (Caracas / Vénézuela) : Le Petit Journal du 21/02 - Martin Weill à Caracas (Part. 2) Avant, le 23 janvier, il y avait eu un reportage en Thaïlande, toujours avec le même (...) Lire la suite »

Désarroi de la France neocon

Philippe GRASSET

On sait que Le Grand Journal (LGJ pour les initiés) de Canal Plus est notre meilleure référence pour mesurer la bassesse en cours de cette époque.

Car il n’y a “nulle part ailleurs” où les choses sont plus basses qu’en France, à Paris plus précisément, par rapport à ce qu’est la France et ce que devrait être la France.

En général, le LGJ est intéressant seulement d’une façon indirecte, par antithèse et selon le principe de l’inversion, en montrant avec une sorte de jubilation presque indécente ce qui est détestable et bas dans la France d’aujourd’hui, c’est-à-dire la futilité de l’esprit qui pose au sérieux, le refus d’affronter les vrais symptômes de la Grande Crise d’effondrement du Système, le parisianisme, le côté bouffon qu’a introduit le nouveau présentateur Antoine de Caunes qui est talentueux dans ce domaine, le côté si l’on veut "Bouffes parisiennes" que nous signalions le 7 novembre 2011 pour le cas US, – mais la chose vaut pour tout le bloc BAO [1] : « [U]ne sorte d’esprit d’autodérision, d’irresponsabilité, de ridicule affiché presque comme une vertu qui serait celle de la dissolution des mœurs civiques et de la psychologie. Jacques Bainville saisit bien cela lorsqu’il décrit la France de l’immédiat avant-1870, plongée dans les “folies Offenbach”, elle-même (la France) symbolisée par le succès qu’on fit à La Grande (...) Lire la suite »
Une politique rabougrie, une majorité recroquevillée, une France isolée du monde, hachée par la kalachnikov « Vote-utile » et anesthésiée par le Parti de la Presse et de l’Argent

Les Echos, L’Express, Le Monde et Le Grand Soir : cherchez l’intrus.

Vladimir MARCIAC

Le principe du référendum révocatoires existe dans des pays comme la Suisse, la Bolivie, le Venezuela et dans certains États des USA, mais pas en France.

Par suite, un candidat peut attirer les suffrages des électeurs sur un programme alléchant dont il sait qu’il se démarquera aussitôt élu. Jean-Jacques Rousseau avait dénoncé (il y a 250 ans !) les limites d’une telle démocratie : « Le peuple anglais pense être libre, il se trompe fort ; il ne l'est que durant l'élection des membres du parlement : sitôt qu'ils sont élus, il est esclave, il n'est rien. » (Extrait du contrat social, livre III, chapitre XV). La presse bénéficie de la même dispense de rendre compte, elle qui capture lecteurs occasionnels et abonnés au nom d’une impartialité, d’une objectivité, du droit à informer qui ne sont que des leurres. Il n’y a pas en France une seule télévision de gauche, pas une seule radio de gauche, pas un seul « grand » journal qui ne soit propriété partielle ou totale d’un groupe industriel ou bancaire. Hormis ceux qui vivotent et s’adressent à un public restreint de convaincus, tous (ou presque) sont argent. Et leur impunité est totale. La sanction des lecteurs est (...) Lire la suite »
afficher la suite 0 | 10