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Thème : Irlande

Les militants de la paix de Shannon seront jugés cette semaine

Alliance pour la paix et la neutralité
Communiqué de presse Le procès de deux autres militants pacifistes de Shannon, Edward Horgan et Dan Dowling, débutera le mercredi 15 juin au tribunal de circuit de la rue Parkgate à Dublin. Il y a plus de cinq ans, le 25 avril 2017, les deux hommes ont été arrêtés à l'aéroport de Shannon pour avoir prétendument causé des dommages criminels en écrivant des graffitis sur un avion de la marine américaine et pour avoir prétendument pénétré dans le périmètre de l'aéroport de Shannon. Il a été rapporté que les mots « DANGER DANGER NE VOLEZ PAS » étaient inscrits sur le moteur de l'avion de combat, qui était en route d'une base navale américaine en Virginie vers une base aérienne américaine dans le golfe Persique. Plus de trois millions de soldats armés américains ont transité par l'aéroport de Shannon depuis 2001, en route vers des guerres illégales au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, ce qui constitue une violation de la neutralité irlandaise et du droit international. L'aéroport de Shannon a également été utilisé (...) Lire la suite »

Il y a 100 ans : Pâques sanglantes

VILA
Le 24 avril 1916, le lundi de Pâques, alors que depuis près de deux ans l'Europe était plongée dans une guerre cruelle et fratricide, une poignée de travailleurs révolutionnaires et de combattants nationalistes unis se soulevaient dans la capitale irlandaise, occupant quelques bâtiments publics dont la Poste centrale d'où les chefs des insurgés allaient proclamer une République d'Irlande indépendante de la couronne britannique. Les insurgés tinrent tête toute une semaine à l'armée et à la marine britanniques. S'ils restèrent isolés et ne purent entraîner à leur suite les masses ouvrières et paysannes opprimées d'Irlande, s'ils furent écrasés sous les bombes et les obus d'une des plus fortes armées impérialistes, les insurgés de Pâques 1916 n'en annonçaient pas moins la fin prochaine de la domination séculaire de la Grande-Bretagne sur l'Irlande et l'indépendance de la majeure partie du territoire de l'île. Ils ouvraient la première brèche dans l'Empire britannique. La conquête de l'Irlande par l'Angleterre (...) Lire la suite »

Peter Sutherland

Bernard GENSANE

Il est l’un des hommes les plus influents de l’Union européenne. À côté de lui, Hollande, c’est du pipi de chat. Il est proche de la retraite, mais gageons qu’il sera remplacé par un clone aussi dingue que lui de la mondialisation libérale, du capitalisme financier le plus débridé. Selon lui, ne pas accepter cette mondialisation est une stupidité politique et économique, et aussi « une attitude moralement indéfendable ».

Comme tout bon dirigeant « européen » de haut niveau qui se respecte (voir Mario Draghi, Mario Monti, Lucas Papademos), Sutherland a passé vingt ans à la tête de la banque Goldman Sachs. Là, comme dans les instances européennes, il a œuvré, dans la discrétion ou en pleine lumière, au profit de l’oligarchie capitaliste mondiale. Lire à ce sujet La Banque : Comment Goldman Sachs dirige le monde de Marc Roche. À l’origine, Sutherland est avocat. Dans son pays, une Irlande que l’on peut considérer comme l’un des laboratoires préférés de la déréglementation à tout crin, il est nommé procureur général (Attorney General of Ireland), en d’autres termes le premier conseiller du gouvernement en matière juridique. En 2011, il propose – et finit par imposer – au gouvernement irlandais des réductions budgétaires de 3 milliards d’euros. Sa fiche Wikipédia nous dit tout de sa carrière d’homme d’affaires : « Peter Sutherland, né le 25 avril 1946 à Foxrock dans le comté de Dun Laoghaire-Rathdown, est une personnalité des (...) Lire la suite »

Vos tripes vous disent de voter "Non" - faites confiance à votre instinct - (The Irish Times)

Pearse Doherty
Qu'est-ce que ce traité d'austérité signifiera pour vous et votre famille ? Il y aura plus de restrictions sur la ligne de front des services en matière de santé et d'éducation. Cela se traduira par des hausses d'impôts et des taxes plus furtives comme les charges des ménages et la hausse de la TVA. Cela permettra d'accroître le niveau des difficultés financières pour vous-mêmes et votre famille. A une époque où les gens sont déjà pris à la gorge et disent au gouvernement qu'ils n'ont plus rien à donner, le Fine Gael et le Labour viendra leur en demander davantage. Cette austérité supplémentaire nuira également à l'économie locale. Les gens auront moins d'argent dans leurs poches et dépenseront moins dans les produits et services locaux. L'économie nationale est déjà en difficulté. Le commerce a été particulièrement touché, entraînant des pertes de salaires et d'emplois. Arracher six autres milliards d'euros à l'économie nationale ne peut que signifier des pertes d'emplois supplémentaires. Comme si cela ne (...) Lire la suite »

C’est maintenant au tour de l’Irlande de rejeter le fantasme de l’austérité - (The Guardian)

Gavan Titley & John O'Brennan

La France et la Grèce ont montré qu’il était possible de résister à cette idéologie. Ce mois-ci les Irlandais aussi pourraient voter pour arrêter "cette bonne conduite".

Afin d'affirmer sa loyauté envers l'Europe, l'élite politique irlandaise a décidé qu'il était préférable de ne pas accorder trop d'attention à la réalité européenne. "L'Austérité" peut être, comme Joseph Stiglitz l'a décrite récemment, "l'Europe est une catastrophe d'origine humaine", cependant le gouvernement de coalition du Fine Gael et du Labour a misé sur un positionnement de l'Irlande en tant qu'enfant modèle de l'expérience étendue de Francfort et de Berlin du déni des catastrophes. Que ce repli néolibéral par des coupes sombres et axé sur des "réformes" favorables au marché pousserait la récession vers la dépression a depuis longtemps été évident, mais la stratégie officielle a été de placer l'austérité dans des politiques d'un royaume de l'au-delà la comme un sacrifice partagé nécessaire pour rétablir la "confiance" des investisseurs. La confiance est une propriété insaisissable, alors que les coûts d'emprunt irlandais restent beaucoup plus élevés que ceux de l'Italie et l'Espagne, et les politiques de (...) Lire la suite »
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Le 31 mai (referendum irlandais) et le 17 juin ou la partie de dupes ?

desobeissant
L'élite dirigeante grecque se prépare à une épreuve de force avec la classe ouvrière Par Robert Stevens et Chris Marsden 28 mai 2012 http://www.wsws.org/francais/News/2012/mai2012/diri-m28.shtml L'illusion electorale : Syriza en route vers les 50 sièges de bonus 22 mai 2012 Par Okeanos Brève Le Syriza a déposé les documents à la court suprême afin de se déclarer en tant que simpla parti, et non plus comme un rassemblement de diverses couleurs politiques. C'est la seule manière pour la formation de la gauche radicale de pouvoir obtenir les 50 sièges de « bonus » réservé au premier lors des élections et espérer obtenir une majorité au parlement aux prochaines élections. Car les sondages montrent que rien n'est joué, Nouvelle Démocratie et Syriza se partageant la première place à tour de rôle. Seul paradoxe : le Syriza souhaite justement supprimer cette loi qui favorise le premier parti élu aux élections. Il semble donc que pour que cette loi soit remise en cause, il est nécessaire d'en être (le dernier (...) Lire la suite »

Grèce, Irlande et Portugal : pourquoi les accords conclus avec la Troïka sont odieux ?

Eric TOUSSAINT, Renaud VIVIEN
La Grèce, l'Irlande et le Portugal sont les trois premiers pays de la zone euro à être passés sous la tutelle directe de leurs créanciers en concluant des plans d' « aide » avec la « Troïka » composée de la Commission européenne, de la Banque centrale européenne (BCE) et du Fonds monétaire international (FMI). Mais ces accords, qui génèrent de nouvelles dettes et qui imposent aux peuples des mesures d'austérité sans précédent, peuvent être remis en cause sur base du droit international. En effet, ces accords sont « odieux » donc illicites. Comme le souligne la doctrine de la dette odieuse, « les dettes d'États doivent être contractées et les fonds qui en proviennent utilisés pour les besoins et les intérêts de l'État |1| ». Or, les prêts de la Troïka sont conditionnés à des mesures d'austérité qui violent le droit international et qui ne permettront pas à ces États de sortir de la crise. Tout prêt accordé en contrepartie de l'application de politiques violant les droits humains est odieux Comme l'affirme le (...) Lire la suite »

Pourquoi l’Irlande doit s’allier à l’ALBA (Tortilla con sal)

Toni SOLO
Le Premier Ministre d'Irlande, Brian Cowen subit une forte pression de la part de l'opposition parlementaire pour avancer les élections générales prévues pour le 11 mars 2011. L'urgence vient de la chute continuelle de la cote de confiance du Premier Ministre depuis l'accord passé en novembre 2010 avec le Fond Monétaire International et l'Union Européenne sur un paquet de mesures de récupération économique. Ceux qui critiquent ces mesures expliquent qu'elles vont aggraver la position financière du gouvernement irlandais à tel point qu'on aura besoin d'une autre intervention en 2011 ou en 2012. Même ainsi il semble que les partis de l'opposition du parlement irlandais vont soutenir cet accord de leurs voix. La position actuelle de l'Irlande En 1973 l'Irlande s'intégra à ce qui était alors la Communauté Économique Européenne - aujourd'hui élargie sous le nom d'Union Européenne. Depuis lors la politique extérieure de l'Irlande s'est progressivement soumise aux pouvoirs principaux de l'Organisation de (...) Lire la suite »

Islande qui rit, Irlande qui pleure

reprise d’article

Les deux îles ont été entraînées dans la récession par les excès de leurs banques. Mais l’une est dans la zone euro, l’autre pas. Et cela fait toute la différence.

L'économie islandaise a progressé de 1,2 % au troisième trimestre et la reprise devrait se confirmer en 2011. Le pays sort ainsi d'une profonde récession imputable aux "nouveaux vikings" , les dirigeants des banques Landsbanki, Glitnir et Kaupthing, qui ont provoqué l'effondrement du système financier islandais en septembre 2008. A l'instar de l'Irlande, dont les banques se sont également livrées aux pires excès, l'Islande a vu son PIB reculer d'environ 11 % [en deux ans], mais dans un contexte d'inflation qui entraîne une dévaluation de ses emprunts. L'Irlande, elle, est soumise au régime déflationniste de l'Union monétaire européenne qui alourdit le poids de sa dette. Le déficit budgétaire islandais atteindra 6,3 % en 2010, avant de laisser place à un excédent. Celui de l'Irlande s'établira à 13 % (32 % avec le renflouement des banques) et ne devrait guère s'améliorer en 2011. La crise n'a pas non plus frappé partout avec une égale brutalité. En Irlande, le taux de chômage atteint 14,1 %, (...) Lire la suite »

Irlande : le travail obligatoire des chômeurs n’est pas une solution

Marie-Anne
La confédération syndicale irlandaise ICTU (Irish congress of trade unions) dénonce le projet du gouvernement d'introduire le travail obligatoire pour les chômeurs. Selon ce projet, tout chômeur qui refuserait d'effectuer des travaux « communautaires » se verrait refuser le droit à la protection sociale. Le plan élaboré par le ministère de la Protection sociale concernerait environ 10.000 personnes, dans des domaines allant de la garde d'enfants aux chemins forestiers en passant par la collaboration avec les clubs sportifs. Il s'agirait d'aider les chômeurs à conserver leurs compétences....et de lutter contre la fraude. Pour ICTU, le travail obligatoire ne représente pas une stratégie de lutte contre le chômage. Le travail obligatoire sert plus à punir les chômeurs qu'à les aider. Les trois premiers pays -Etats-Unis, Australie et Canada- à avoir introduit ce modèle, l'ont depuis abandonné, tandis que la Grande-Bretagne l'a, depuis, repris à son compte. Selon David Begg, l'un des responsables d'ICTU, (...) Lire la suite »
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