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Thème : Le Figaro
Le Figaro interviewe une journaliste que les « Free Ouïghours ! », instruits par Le Monde disaient inventée par la Chine.

Ouïghours : catastrophe éditoriale pour "Le Monde" et les experts pacsés avec l’OTAN.

Jacques-Marie BOURGET

Sous le pseudonyme de Laurène Beaumond, une journaliste française qui a vécu 7 ans au Xinjiang, et s'est mariée là-bas, a publié une tribune sur le site de CGTN, la télévision chinoise. Sacrilège puisque le témoin contredit tous les propagandistes, ceux qui ignorent même où se trouve Ürümqi. La contre offensive de l'armada, affirmant que la journaliste n' n’existe pas, va sombrer. Ce qui nous donne une histoire drôle et une belle leçon de presse.

Le 28 mars, sous la signature de Laurène Beaumond, le site de la télévision chinoise CGTN publie une tribune intitulée « Mon Xinjiang : halte à la tyrannie des fake news ». Et le media précise que l’auteur est « une journaliste indépendante basée en France ». En voilà assez pour crier « au feu les pompiers », et alerter tous les propagateurs de certitudes sur le Xinjiang et la Chine. Le Monde, le quotidien qui n’écrit que la vérité, va tout de suite tenter de nous convaincre que cette journaliste n’existe pas, qu’elle est une invention de la propagande chinoise. Mais le fantasme du Monde va crever comme un chien au fil de l’eau, comme une vulgaire « fake news ». Un fausse nouvelle dans Le Monde ? Impossible. Aucun des sicaires, mobilisés pour attaquer la Chine a tout prix, n’a jamais mis le pied dans cette vaste contrée peuplée de multiples ethnies. Mais cela ne compte pas : s’informer peut vous déformer. Tout propos sur les Ouïghours n’ayant pas reçu le chrême de Glucksmann, BHL ou Clémentine Autain (grande (...) Lire la suite »
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L’article du Figaro qui a provoqué la rage de Macron

Liban : le pas de deux d’Emmanuel Macron avec le Hezbollah

Reprise d'article du Figaro

Ce n’est pas tous les jours que Le Grand Soir donne à lire un article du Figaro.
Mais vous vous demandez sans doute ce qui a provoqué l’incroyable engueulade publique de Macron à Georges Malbrunot.
https://twitter.com/i/status/1301204197187227648
Lisez donc.
LGS

Le chef de l’État rencontrera, mardi, le chef du bloc parlementaire du mouvement chiite pro-iranien, convié à la résidence des Pins parmi d’autres responsables politiques. Par Georges Malbrunot 31 août 2020 à 20:09 De notre envoyé spécial à Beyrouth, Le Hezbollah a encore du mal avec la métaphore macronienne. « Il faut arrêter de discuter du sexe des anges », avait enjoint Emmanuel Macron aux chefs de parti, reçus à la résidence des Pins à l’issue de sa première visite le 6 août dans un Liban, meurtri par la tragique explosion qui avait tué près de 200 personnes, deux jours plus tôt au port de la capitale. Sur un ton très ferme, le président de la République avait sommé ses interlocuteurs de s’engager sur la voie des réformes indispensables à la survie d’un pays au bord de la faillite. Parmi eux, Mohammed Raad, chef du bloc parlementaire du Hezbollah, demanda ensuite à des proches de lui décrypter cette image auquel un pieux musulman chiite n’est guère familier. Mais le représentant du Parti de Dieu (...) Lire la suite »
Avec 3 dessins de Plantu sur les syndicalistes avinés, la gentille Marine et le méchant Jean-Luc

Air France : salariés et syndicats victimes du « lynchage » médiatique

Benjamin Lagues, Frédéric Lemaire (Acrimed)

Lundi 5 octobre, le directeur des ressources humaines d’Air France a été pris à partie par les salariés en marge du comité central d’entreprise, qui a annoncé 2 900 licenciements d’ici 2017. Un spectacle qui a fait perdre aux éditorialistes leur sang-froid. Retour sur un « lynchage » médiatique : celui des résistances syndicales.

Une presse écrite (presque) unanimement scandalisée L’occasion était trop belle et Le Figaro n’a pas manqué de s’en saisir. En « Une » de son édition du mardi 6 octobre, le quotidien de Serge Dassault s’interroge : « Les extrémistes d’Air France vont-ils tuer la compagnie ? » Cette « Une » tonitruante s’accompagne d’un éditorial signé Gaëtan de Capèle qui donne le la de la couverture médiatique des incidents du 5 octobre. On aurait ainsi assisté au « lynchage en règle » du DRH d’Air France, qui ferait écho à de précédentes « prises d’otage de dirigeants ». Des actes criminels, donc, qui « doivent être réprimés avec la plus grande sévérité ». Mais au-delà de ce seul événement, c’est bien le rôle des syndicats qui est pointé du doigt, responsables du « blocage social dont souffre la France ». Qu’il s’agisse des retraites, du droit du travail ou encore de l’assurance chômage, « il se trouve, à chaque fois, une opposition syndicale pour interdire de mettre en œuvre des solutions d’avenir ». Le Monde emboîte le pas au Figaro. En « (...) Lire la suite »

Syrie : Le Figaro censure un message à caractère humanitaire

ipj.ch
Dans un communiqué du 16 mai 2013, l’Institut international pour la paix, la justice et les droits de l’homme (IIPJHR) exprime sa consternation en apprenant que la rédaction du quotidien Le Figaro refuse de publier son annonce. Communiqué Engagé dans le combat difficile pour la résolution pacifique des conflits, notre Institut international pour la paix, la justice et les droits de l’homme (IIPJHR), une ONG basée à Genève, tente activement de venir en aide aux victimes de la terrible guerre qui sévit en Syrie. Dans le cadre de nos projets humanitaires tournés vers ce pays déchiré par une guerre fratricide, nous avons décidé de publier une annonce dans le quotidien français Le Figaro, invitant les parents des jeunes qui partent se battre en Syrie à prendre contact avec notre ONG pour les aider à retrouver leur enfant. Nous travaillons en partenariat avec de nombreuses ONG syriennes et internationales ainsi qu’avec des médecins et des volontaires civils actifs notamment dans les camps de réfugiés (...) Lire la suite »

Le spectre des « casseurs » et des « extrémistes » hante Le Figaro

ACRIMED

A peine une nouvelle journée de mobilisation syndicale et sociale était-elle prévue le 12 février par la CGT et FO à l’occasion d’un comité central d’entreprise de la société Goodyear (dont on rappelle que la direction a décidé le 31 janvier dernier de fermer son usine d’Amiens-Nord qui emploie 1173 salariés) que retentit le tocsin figaresque : attention aux casseurs !

Certes, alors que se multiplient les conflits sociaux, nul ne s'étonnera de lire dans Le Figaro, quotidien d'opinion et engagé, des éditoriaux violemment anti-syndicaux … Là où le bât blesse, c'est que le contenu des articles destinés, en principe, à informer sur les mobilisations en cours, est à peine différent, véhémence mise à part, des articles de commentaire. Le 31 janvier, dans un article au titre évocateur, « Les pyromanes de l'industrie », l'éditorialiste Gaëtan Capèle décrivait avec acrimonie « une lutte des classes d'un autre temps (...) bernés par une poignée d'extrémistes (...) quelques dizaines d'excités vandalisent l'usine [PSA-Aulnay] et terrorisent en toute impunité les non-grévistes (...) défenseurs autoproclamés de la classe ouvrière (...) imprégnés de corporatisme et murés dans leur conservatisme (...) Combien de temps encore tolérera-t-on les outrances de ces pyromanes de l'industrie ? » Ce genre de diatribe intemporelle, qui fleure bon la peur du « péril rouge », n'a pas pour principale vertu (...) Lire la suite »
Ca, c’est de l’information !

Dassault, au nom de tous les patrons, vend la mèche du 18 janvier

FILPAC-CGT

Serge Dassault s’est contenté de naître. A part des avions à réaction pour milliardaires, l’homme-Dassault vend des armes volantes. L’Etat demeure son seul client. Dassault dépend totalement de l’Etat. En effet, pas le moindre émirat pour acheter son avion phare, le Rafale, pas même un pays émergent, genre Brésil. Personne !

Alors l'Etat Sarkozy, bonne fille, éponge l'excédent au frais des contribuables en achetant des escadrilles supplémentaires du chasseur bombardier. Rien de plus urgent… Mais toujours pas suffisant pour combler d'aise et de profits Dassault fils ! Du coup, il y a quelques semaines, Sarkozy choisit, au hasard Balthazar… Dassault pour fournir l'armée de l'Air en Drones, ces avions de guerre sans pilote (cf. photo). Pourquoi parler de tout ça, alors qu'en ce 2 janvier le pays réel est partagé entre la GDB et l'assommoir de la politique de hausse généralisée des prix ? Parce que Dassault n'est pas seulement le vendeur d'armes officiel et exclusif de l'Etat. Il préside l'un des puissants groupes d'information du pays, le Figaro. Et là , ça plane plus haut que les ustensiles de combat de l'armée de l'Air ! Car le président des bombes volantes et du Figaro réunis éditorialise le 2 janvier dans les colonnes du très respectable organe du gouvernement. 1. Et c'est qui qui va nous sauver la France, hein ? « (...) Lire la suite »

Les médias rongés par des taupes de sites-alternatifs-libres-et-non-payants.

Vladimir MARCIAC

La presse archaïque est-elle manipulée par des sous-marins radicaux des sites-alternatifs-libres-et-non-payants ? On ne compte plus, dans les organes de presse traditionnels, les barbons qui prétendent fallacieusement avoir rompu avec le trotskisme et le maoïsme.

Il ne nous appartient pas d'alerter Lagardère, Dassault et Bouygues, mais ils devraient regarder d'où viennent Etienne Mougeotte, Alexandre Adler, Edwy Plenel, Robert Ménard, Serge July, Michel Field, Bernard Guetta et bien d'autres qui déconsidèrent les médias avec une telle force que l'hypothèse de l'arrogance inconsciente cède devant celle de l'entrisme comme outil d'un complot gauchiste. Certes, un de ces tigres de papier a déjà été obligé de fuir à l'étranger (au Qatar), mais, dans une sournoise impunité, les autres continuent leur travail de sape des intérêts de nos plus prestigieux marchands d'armes, entrepreneurs des travaux publics, voire du MEDEF tout entier (1). Les faux charniers. Les charniers de Timisoara en décembre 1989 démontrèrent au monde entier la férocité du régime communiste roumain. Charniers intéressants de Timisoara La presse unanime nous parla d'une dizaine de milliers de morts. En vérité, les cadavres avaient été sortis de la morgue d'un hôpital local et leur nombre était (...) Lire la suite »
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