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Thème : le Nouvel-Observateur

Cela devait arriver : enivré par son succès, Le Grand Soir lance un hebdomadaire avec des conditions d’abonnement hallucinantes.

Enfin, on peut s’enrichir en s’abonnant au Grand Soir

Vladimir MARCIAC

Pour un abonnement à l’hebdo Le Grand Soir, recevez chez vous :
  Un smartphone écran XL panoramique 6 pouces (15,24 cm) dans son étui rigide de protection, haut- parleurs stéréo, appareil photo 5 millions de pixel (valeur 119 euros).
  Un sac à dos en cuir d’agneau, souple et imperméable, doté de nombreuses poches, d’un filet porte-bouteille, de bretelles réglables, idéal pour ballades (valeur 35 euros).

Vous venez d’économiser 154 euros. Mais ce n’est pas tout : L’abonnement d’une valeur de 200 euros vous est proposé, à VOUS, à 129 euros. Le total de nos cadeaux est de 225 euros. Mais ce n’est encore pas tout. Le Grand Soir ajoute : – Une lampe LED télescopique aimanté mesurant de 17 cm (fermée) à 46 cm, très pratique pour un éclairage de précision dans les endroits inaccessibles, – Une parure de 3 stylos : bille, roller, mine. Le plus formidable est ici : Le prix en kiosque du Grand Soir est de 3,95 euros le N°, soit 205,2 euros pour 52 N° annuels. Par abonnement classique, il en coûte (voir plus haut) 200 euros, soit 3,846 euros seulement par N°, mais pour VOUS, 129 euros, soit 2,48 euros. Pas d’embrouille, pas d’entourloupe : vous allez être prélevés de 129 euros pendant l’année fastueuse où vous recevrez non seulement 52 N° du Grand Soir, mais aussi 154 euros de cadeaux (plus la lampe LED, plus la parure de stylos, non comptabilisées). Si vous avez bien (…) Lire la suite »
Voyage en Chine musulmane

4/4.Choses vues et enjeu international du Xinjiang

Maxime VIVAS

Le gouvernement chinois observe un de ses flancs, une région frontalière avec 8 pays, dont 2 pays musulmans. On sait que l’islamisme radical a été attisé par les USA et par l’OTAN à la suite de l’attentat contre deux tours à New-York le 11 septembre 2001. Depuis, les bombes ne cessent de pleuvoir sur le monde arabe, sauf bien sûr sur les pires dictatures esclavagistes et misogynes comme le Qatar et l’Arabie Saoudite, considérées comme des pays amis par les dirigeants de « La plus grande démocratie du monde » et du « Pays des Droits de l’homme ». On évalue à 7000 ou 8000, dont 2500 à 3000 combattants, le nombre d’Ouïghours qui ont rejoint la Syrie avec la complicité du gouvernement turc.

Là, les Ouïghours, dont des enfants, apprennent l’art de la guerre, ou plutôt : du terrorisme. La Chine est un patchwork : 56 « ethnies » (souvent appelées « nationalités ») dont 53 ont leur propre langue, 21 possèdent leur propre écriture. La tentation de ceux qui voudraient la voir rétrograder dans les malheurs de naguère est de la déchirer aux jointures. Comment freiner la Chine ? Les barrières de toutes sortes dans la compétition économique et les échanges commerciaux n’ont pas été efficaces. L’option militaire pourrait s’avérer mortelle pour qui s’y risquerait. Reste la guerre médiatique. Elle bat son plein. Elle vise à conditionner l’opinion mondiale pour qu’elle condamne toute réaction de la Chine en cas de remise en cause de son intégrité territoriale. Je suis parti au Xinjiang avec le même bagage médiatique que celui que j’avais emporté au Tibet en 2010 (1) : la langue et la culture sont anéanties, les minorités opprimées, la religion interdite ou réprimée. Ajoutons (…) Lire la suite »
Terrorisme : tuerie indiscriminée, organisée et intentionnelle, dirigée contre des civils innocents

La lutte contre le terrorisme nécessite la coordination internationale, non le double standard

Ruolin ZHENG

Le terrorisme est un mal qui menace l’ensemble de l’humanité. Ceux qui promeuvent une politique de double standard sabotent la lutte concertée nécessaire à son éradication.

Le 4 janvier, Le petit journal, de Canal+, recevait une invitée très spéciale : Ursula Gauthier, ancienne correspondante de L’Obs à Beijing, “expulsée” par les autorités chinoise “à cause de son article” signé juste après les attentats de Paris : « Après les attentats, la solidarité de la Chine n’est pas sans arrière-pensées. » Curieusement durant toute l’interview, on n’entend ni le mot “terrorisme”, ni celui d’“extrémiste islamiste”. Et en répondant la question “La Chine vous reproche quoi exactement”, elle a osé dire que la Chine la reproche de “parler librement”. Cette réponse volontairement à côté de la plaque, surtout son article en question, constitue en fait une injure envers les Chinois qui ont éprouvé une profonde sympathie à l’égard des victimes des attentats de Paris et qui ont exprimé leur soutien en masse. Ursula Gauthier a profité explicitement de cette tragédie pour chercher à justifier les organisations et les éléments terroristes auteurs d’atrocités en Chine, (…) Lire la suite »

Ursula Gauthier est en France, hélas !

Vladimir MARCIAC

Lundi 5 janvier 2016, j’ai regardé la journaliste de l’Obs, Ursula Gauthier, à l’occasion de sa prestation au « Petit Journal » de Yan Barthès sur Canal Plus.
http://www.canalplus.fr/c-emissions/c-le-petit-journal/pid6515-le-petit-journal.html?vid=1347250

Elle est interviewée (entre 11mn20 et 17mn56) soit plus de 6 mn pendant lesquelles elle ne prononce pas le mot « Ouïghour », ni n’explique son différend avec les dirigeants chinois. Sur question « Que vous reprochent-ils ? » elle a cette réponse : « Ils me reprochent de parler librement. Ils voudraient que je parle en reprenant leur propre langage… Ils ont été évidemment incapables de me montrer un mot dans mon article qui était exagéré ou faux ». Elle ment. Sinon, en toute logique, on doit comprendre que les articles des centaines de correspondants étrangers en poste à Pékin sont des reprises du langage des autorités. Elle seule, après des années passées en Chine, a brusquement refusé d’écrire sous la dictée (A partir de novembre 2015 : avant, ils renouvelaient son visa). Par ailleurs, il suffit d’aller sur les sites chinois pour voir que son affirmation « Ils ont été évidemment incapables de me montrer un mot… » est inexact. Je laisse le lecteur y aller voir. Et lisez (…) Lire la suite »
Celle qui appelle gentiment « minorité remuante » les auteurs d’attentats aveugles 

Pourquoi Ursula Gauthier, de l’Obs, a dû quitter la Chine et pourquoi on s’en f...

Maxime VIVAS

Pour lire sans a priori ce qui va suivre, il faut avoir remarqué que l’auteur d’un article sur les USA (un film, un livre, des inondations, le Grand Canyon du Colorado...) n’a jamais à préciser au préalable qu’il se démarque du génocide des Peaux Rouges ou des massacres de l’armée US au Vietnam (ou en plein d’autres endroits, il n’en manque pas).

De même, il devrait être possible d'écrire sur l'engagement russe en Syrie sans commencer par une longue dénonciation du goulag. Par conséquent, il devrait être admis d'écrire sur un événement précis survenu en Chine sans être obligé de prendre ses distances avec la Révolution culturelle, Mao, le culte de la personnalité, le système politique, médiatique, policier, judiciaire chinois, sans jurer que l'auteur n'y voit pas un modèle dont il souhaiterait l'importation en France. Oui, il devrait être permis d'éviter pareil préambule mais, en vérité, il est préférable d'y faire une halte, faute de quoi les menteurs, les tricheurs, les enfumeurs attaquent sur une étiquette, sur une supposée allégeance politique, pour ne pas avoir à contre-argumenter sur le fond. Parlons maintenant d'Ursula Gauthier. Le 18 septembre 2015, des extrémistes ouïgours (que le ministre sarko-socialiste Kouchner appela les « Yoghourts ») habitants du Xinjiang, République autonome chinoise « (…) Lire la suite »
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Le parquet de Paris ouvre une enquête pour "crimes de guerre" contre George W. Bush Bachar el-Assad.

Syrie : un scoop de presse qui tombe à pic

Chien Guevara

Bachar el-Assad est-il un tortionnaire ? Le Grand Soir avait répondu oui à l’époque où les chefs d’Etat lui déroulaient le tapis rouge et où les médias regardaient ailleurs. Nous avions signalé la Syrie parmi un des pays dans lesquels les USA sous-traitaient la torture.
Il y a donc peu de chance que, dans les circonstances actuelles, les Droits de l’Homme soient devenus une priorité dans un quelconque camp en Syrie.
La question que nous avons toujours posée, et que presque tout le monde se pose aujourd’hui est : faut-il remettre le Pouvoir à des fous de Dieu d’un fanatisme effrayant et d’une cruauté sans limite ?

Ici se mesure la bêtise(1) d’un hebdomadaire satirique qui nous désigna pour cela comme des nazis et ne voulut pas en démordre.

LGS

A l’heure où les nations unies se sont réunies pour statuer sur la situation en Syrie ; à l’heure où la France vient de commencer à bombarder Daesh (espérons qu’ils visent bien !) ; à l’heure où Vladimir Poutine a intelligemment proposé une solution, il n’est pas anodin qu’un livre à charge contre Bachar el-Assad sorte d’un chapeau médiatique. Dans le nouvel obs, qui semble avoir "l’exclusivité" de l’auteur, on pouvait lire hier matin, ce titre : « SYRIE. 45.000 photos d'atrocités : "Ce livre montre le vrai visage de Bachar el-Assad" » En lisant ce titre, je me suis dit que ce livre allait nous parler du président syrien, d’une façon différente de ce que nous ressassent en boucle tous les médias occidentaux dominants. « le vrai visage de Bachar » : on s’attend à autre chose, à quelque chose qui nous surprendrait, quelque chose à découvrir, et pourquoi pas carrément une désintox sur le sujet. Que nenni, le titre de cet article n’est qu’une montagne qui accouche d’une souris. (…) Lire la suite »
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Étrange « Nouvel Observateur »…

Richard LABÉVIÈRE

Adolescent, nous attendions chaque semaine la sortie de sa nouvelle édition comme une indispensable respiration.

Notre professeur de Lettres utilisait des articles de Gilles Martinet, de Claude Bourdet ou d’Hector de Galard pour ouvrir nos consciences à la complexité du monde. Référent de la vie politique, intellectuelle et culturelle, Le Nouvel Observateur indiquait le cap de nos intelligences en gestation... Pas un événement d’importance n’échappait à cette tour de guet donnant sens à l’histoire immédiate. Maurice Clavel y inventait le journalisme transcendantal... Et lorsque des drames comparables aux dernières tueries de Gaza éclataient, les envoyés spéciaux et les éditorialistes du journal y proposaient les principaux éléments de compréhension pour « remonter aux causes » à la manière de Spinoza. En date du 24 juillet dernier, l’éditorial du Nouvel Observateur ose renvoyer les protagonistes israéliens et palestiniens dos à dos : « si le droit de riposte se révèle trop supérieur aux provocations de l’agresseur, alors celui qui l’exerce et celui qui le subit ne valent pas mieux l’un que (…) Lire la suite »
La jeune femme s’empare du micro, elle dit sa détresse, provoquant rires et mensonges

Un enfumage médiatique démontré en cinq étapes.

Vladimir MARCIAC

Le jeudi 30 mai 2013, Jean-Luc Mélenchon était l’invité de l’émission de divertissement "Touche pas à mon poste" animée par Cyril Hanouna sur D8.

Sophie Tissier, 34 ans, opératrice prompteur, a surgi sur le plateau pour dénoncer les baisses de salaires (25 % en ce qui la concerne) que subissent les intermittents depuis le rachat de la chaîne par le groupe Canal Plus.

1 - Le Nouvel Observateur, Le Plus, le 31-05-2013. « Une intermittente interrompt Hanouna sur D8 : pourquoi Mélenchon reste-t-il silencieux ? Par Bruno Roger-Petit, Chroniqueur politique ». L’article commence par : « Une intermittente qui travaille pour l'émission "Touche pas à mon poste" sur D8, a interrompu l'animateur Cyril Hanouna pour faire passer un message dénonçant les pratiques sociales de la chaîne. Invité de l'émission, le leader du Front de Gauche, Jean-Luc Mélenchon, n'est pas intervenu. Pourquoi ? Bruno Roger-Petit y voit une faute politique » et finit par : « … le politique, confrontée à un drame social et humain, en direct, sur un plateau de télévision, ne peut rien contre la télévision de l'émotion et du divertissement, qu'il en subit les us et coutumes, règles et lois, fût-il Jean-Luc Mélenchon, dénonciateur des travers du système dont il est pour un soir l'acteur objectivement complice ». Donc, Jean-Luc Mélenchon silencieux et complice. 2 - (…) Lire la suite »
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Le papier ne sent pas bon ! (communiqué du SNJ-CGT)

SNJ-CGT

Que Mme Marcela Iacub éprouve le besoin d’étaler sa nauséeuse aventure sentimentale et sexuelle avec Dominique Strauss-Kahn, c’est son affaire.

Que Mme Marcela Iacub éprouve le besoin d'étaler sa nauséeuse aventure sentimentale et sexuelle avec Dominique Strauss-Kahn, c'est son affaire. Qu'elle ait trouvé un éditeur, Stock, et un magazine pour en faire la promotion, en l'occurrence Le Nouvel Observateur, ne grandit ni l'un, ni l'autre, mais l'opération est symptomatique des moeurs des mondes de l'édition et de la presse pour « faire des coups éditoriaux ». Les médias se sont déjà largement fourvoyés en étalant les turpitudes sexuelles de l'ancien patron du FMI et, aujourd'hui, ils persévèrent. Au nom de la nécessaire amélioration de la vente de papier ! Ceux qui se gaussaient de TF1 utilisent les mêmes ressorts, raillés par les Guignols de l'info sur Canal + : « Du cul, du cul, du cul ». Faut-il s'en étonner quand on sait que le patron du Nouvel Observateur a fait fortune (déjà ) dans le Minitel rose ! Le rôle des journalistes n'est pas de faire des coups, mais de hiérarchiser l'information. Or, « l'oeuvre » de (…) Lire la suite »
Celui qui paie l’orchestre choisit toujours la musique…

Rue89 quitte le Spiil sur ordre de son propriétaire Claude Perdriel (Nouvel-Obs).

Vladimir MARCIAC

Le site Rue89, racheté (7,5 millions d’euros) il y a un an par Claude Perdriel, propriétaire du groupe Nouvel Observateur et inventeur du Sanibroyeur, a reçu l’ordre de quitter le Spiil (Syndicat de la presse indépendante d’information en ligne).

Le Spiil y voit une « décision autoritaire » et une « tentative dérisoire de faire taire une voix qui dérange ».

Dans une lettre au Spiil, Pierre Haski, président de Rue89, écrit : « A la demande de son actionnaire, qui a souhaité que Rue89 se mette en cohérence avec sa nouvelle situation au sein du groupe Nouvel Observateur, Rue89 se retire du Spiil à compter du 1er janvier 2013. » A la demande de son actionnaire ou sur ordre de son propriétaire, choisissons les mots justes.… Fondé en 2009, le Spiil a pris des positions qui déplaisent à la presse traditionnelle adossée aux industriels et aux banques et arrosée par des aides gouvernementales. En particulier, il dénonce les subventions d'Etat à la presse et revendique la carte de journalistes pour les directeurs de publication et les rédacteurs en chef des sites d'information Internet. Dans un article publié le 11 novembre 2011 (http://www.legrandsoir.info/rue89-article-11-lgs-et-les-autres-conference-sur-les-medias-alternatifs.html), LGS avançait que « Les médias électroniques ne sont pas, de facto, des médias plus honnêtes, plus (…) Lire la suite »
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