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Thème : Zoé VALDES

Lettre ouverte à Zoé Valdés

Viktor DEDAJ

En 2004, Zoé Valdés avait écrit à Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’intérieur, pour lui faire part de sa crainte pour sa propre sécurité (pour cause d’agents castristes qui rôdaient à Paris). Voici ma réaction à l’époque.

Chère Zoé, C’est avec une émotion non dissimulée, alors que je tente de contrôler le tremblement émotionné de mes doigts, que je vous écris cette lettre. Un certaine gêne s’empare de moi, sachant que cette lettre n’a pas un caractère privé. Mais c’est mon seul espoir d’entrer en contact avec vous. Alors au diable les considérations d’ordre orgueillistiques, je dirai ce que j’ai à dire, à visage découvert et face au monde entier. Bien entendu, je suis un lecteur assidu de vos oeuvres. J’ai failli dire "livres", mais ce terme n’aurait pas suffi pour rendre toute leur dimension à vos créations brutes, sans fards, cruelles et profondes (surtout dans les scènes de sodomie entre frère et soeur - pratique très courante à Cuba où la promiscuité et le castrisme s’allient pour pervertir la jeunesse). Vous avez écrit une lettre, qui dis-je ? vous avez lancé un appel au secours à Sarkozy, Ministre de l’Intérieur de la France. Vous avez commencé par le féliciter pour sa politique répressive. Sage précaution. Vous lover à (...) Lire la suite »

Zoé Valdès menace Le Grand Soir, la littérature et le bon goût

Vladimir MARCIAC

Ecrivaine, Zoé Valdès réside en France depuis plus de 30 ans sans avoir réussi à apprendre le français ni avoir compris qu’il existe des correcteurs automatiques d’orthographe.

Sous la menace d’un procès, LGS a publié son « droit de réponse » ci-contre. Lisez-le et demandez-vous comment cette femme, dont la haine et la bêtise suintent de chaque phrase peut être docteur honoris causa de l’Université de Valenciennes, auteur chez Gallimard et Actes Sud, Médaille Vermeil de la Ville de Paris, chevalier des Arts et lettres (1) et couronnée par plusieurs prix littéraires. Imaginez que Zoé Valdès se soit présentée chez un éditeur avec un manuscrit, sans la recommandation d’un anticastrisme au front de taureau. Pesez ses chances d’être publiée si, dans sa prose de comptoir, elle avait remplacé Cuba par Chili, Castro par Pinochet. Imaginez avec quel haut-le-cœur les éditeurs, même les plus anticommunistes, l’auraient éconduite en l’entendant expliquer : « J’ai toujours pensé que Fidel Castro les méprisait [ses partisans] et transformait leurs villas en latrines, en leur mettant entre les mains une balayette pour nettoyer les cabinets… » et en évoquant « le slip plein de merde du dictateur ». (...) Lire la suite »