Deux articles traitants de la manière dont le terrorisme d'état est appliqué contre des militants écologistes. Le premier article de Reporterre raconte comment le terrorisme d'état est utilisé contre les écologistes, comme dans toute dictature qui se respecte, séquestration et torture (passage à tabac). Le second article est de Contre Attaque fait l'analyse de la situation et de sa finalité : terroriser.
L'un des arguments les plus constants des médias pro-impérialistes et pro-sionistes a été la violence "innée" et la tendance à la terreur de la part du peuple palestinien, les présentant comme porteurs d'une idéologie médiévale de martyre et de ferveur fanatique pour la mort.
Quand les mensonges atteignent leur but et se pétrifient en statues difficilement démontables, la vérité, qui n’a jamais cessé d’avancer, finit par arriver.
Et donc, si le livre de Maxime Vivas (https://www.legrandsoir.info/qui-est-maxime-vivas-ce-francais-qui-deno...) a pu faire (mars 2024) la démonstration que la campagne sur les Ouïghours est une création de la CIA, il ne pouvait intégrer le document suivant, publié en avril, et qui apporte bien des détails qui corroborent (et plutôt dix fois qu’une) ce qu’il a écrit et qui lui a tellement été reproché par la classe politico-médiatique française.
LGS
Depuis le 11 avril 2019, Julian Assange, journaliste australien et fondateur de WikiLeaks est incarcéré à la prison de Belmarsh près de Londres. La raison pour laquelle ce journaliste, arbitrairement privé de liberté, se trouve à l’isolement complet depuis des années dans un quartier de haute sécurité est que les États-Unis n’acceptent pas que la population soit informée de leurs crimes de guerre.
L’armée israélienne a désigné des dizaines de milliers d’habitants de Gaza comme cibles à assassiner, en utilisant un système de ciblage par IA avec peu de surveillance humaine et une politique permissive en matière de pertes, révèlent +972 et Local Call.
« Qui est Maxime Vivas, ce Français qui dénonce des « fake news » sur les Ouïghours et fait le bonheur de Pékin ? » s’interroge Laurence Defranoux en titre d’un long article dans Libération du 30 mars 2021 (1).
En réponse dans son récent livre, (Ouïghours, l’horreur était dans nos médias, Editions Delga, mars 2024), l’interpellé soutient que Libération fait le bonheur de Washington en diffusant des “fake news”, bonheur redoublé quand sa journaliste choisit Raphaël Glucksman comme préfacier pour son propre livre (2).