C’est maintenant que le problème se pose. Les ex-prisonniers débarquent à Madrid. Pendant quelques jours, la presse est là et les accueille. Avec un peu de chance, ils vont commencer à vivre de leur travail et non de leur activité subversive qui était très bien rémunérée. Il se peut que l’un d’eux parvienne à décrocher une place dans la guerre du cyberespace. Mais ce n’est pas facile, comment nous disons, nous, les Cubains, en pleine crise. Je ne sais pas combien vont leur rapporter les (…)