J’avais décidé de ne pas mettre les pieds dans le pays de l’oncle Sam tant que Bush fils était au pouvoir. Non pas que je trouve la politique étrangère d’Obama différente de celle de son prédécesseur [1], mais disons que je préfère son discours du Caire, malgré son évidente démagogie, à tous les dégâts provoqués par les deux mandats du président-prédicateur qui a, bien malgré lui, popularisé le lancer de chaussures.
Ainsi, je me suis récemment retrouvé en train de flâner dans les rues de (…)