Si j’étais Nicolas Sarkozy, je dormirais mal. Je me lèverais très tôt, et toute la journée je me verrais obligé de sourire à des gens qui m’énervent, ou pire à des gens qui m’indiffèrent. J’aurais un tas de rendez-vous plus ou moins importants auxquels je serais obligé d’aller, je serais contraint de prendre des décisions engageant des millions de personnes autour de moi. Le soir, je serais épuisé, et cela me rendrait sans doute agressif ou impatient.
Si j’étais Nicolas Sarkozy, je me (…)