La liquidation de Ben Laden, le Premier mai, ouvre de nouvelles perspectives au président Obama au plus bas dans les sondages mais laisse de grandes zones d’ombre sur les conditions de la mort du N° 1 de la nébuleuse "Al Qaïda" ; son discours aux relents de campagne électorale appelle à l’unité et à une confiance au pouvoir qui continue de traquer le Mal mais occulte le fond réel : au terrorisme intellectuel de l’Occident qui s’impose en modèle unique, avec comme tête de file les États-Unis, (…)