L'histoire de la guerre est celle du mensonge. Dernière proposition américaine, dans une série qui remonte -pour le moins - au XIXe siècle : vitrifions la Syrie.
Difficile de survivre quand, sans jugement ni recours, le monde du bien vous classe dans le camp des salauds. De ceux qui rient dans les cimetières d’enfants en venant chicaner la réalité d’un bombardement au gaz sarin opéré par l’armée syrienne. Il faut nous apprendre à vivre avec ce tatouage intime, celui de l’infamie. La (…)