Au départ, c’est le battement d’aile d’un papillon qui ne se doute pas, même s’il l’espérait secrètement, qu’il va déclencher, depuis les USA, une tempête autour de la Chine. C’est une variante de la fiole brandie par Colin Powell à l’ONU pour apeurer la planète atlantiste (laquelle se prend pour « la communauté internationale »).
Cela devient une campagne mondiale, un bobard beuglé par des sites Internet, des journaux, des radios, des télés, des politiciens, des sinologues, des (…)