« Ils pensaient que j’allais arriver avec une carte leur indiquant qui étaient les bons et les méchants », déclare un ancien conseiller anonyme d’une équipe des forces spéciales [américaines] à l’agence Sigar en 2017. « Il leur a fallu du temps pour comprendre que je n’avais pas ces informations entre les mains.
Au début, ils n’arrêtaient pas de me demander : “Mais qui sont les méchants ? Où sont-ils ?[1]” ».
« Ils se sont délivrés du Malin, mais les méchants sont restés, et le Mal est (…)