Vous me voyez extrêmement embêté. Je dois rendre compte d’un livre de Maxime Vivas qui fait l’objet d’une réédition (il était paru en 2003 sous le titre un peu abscons et qui se voulait peut-être drôle de La cathédrale au fond du jardin). Or ce court ouvrage, qui m’avait échappé il y a vingt ans, est formidable, roboratif, brillantissime.
Donc, par peur d’en rajouter, je vais essayer de me calmer et de trouver des défauts (un, en tout cas) à cette quasi perfection, œuvre d’un homme de (…)