C’est l’enfer à Gaza et je me sens à l’heure où l’homme fuit le jour artificiel des médias en folie qui me visent sans sommation avec des phrases qui font frémir comme celle de Pascal Perri, « il y a un antisémitisme couscous » (31 octobre sur LCI) relayé par un chapelet de communiqués de guerre israéliens destiné à faire peur, à terroriser. Et gare à vous si vous ne suivez pas la ligne otanisée qui attise ignominieusement le feu qui consume Gaza.
C’est dans ce concert qui joue la défaite (…)