Dans la deuxième partie de notre réflexion sur l’errance anthropologique haïtienne, nous avons tenté de prouver que celle-ci n’est ni une calamité, ni une fatalité, ni une singularité shitholique à laquelle est condamné un certain collectif noir, qui serait resté en dehors de l’histoire et du progrès, comme le racontent les narratifs de la bien-pensance internationale. D’ailleurs, il me semble utile de rappeler que cette bien-pensance, parce que ne vivant que des défaillances des peuples, ne (…)