Pourquoi, me demande Candide, l’émotion est-elle si grande quand un soldat meurt au Mali, un déséquilibré poignarde un passant, un mari bat sa femme, une rivière déborde, une forêt brûle, et si peu quand un ouvrier meurt au travail ?
Ma réponse, lacunaire, est que l’information sur les (…)