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Auteur : Esteban LAZO HERNANDEZ
La lutte pour la défense de la vie passe aujourd’hui, indubitablement, par l’abolition du système capitaliste

Discours prononcé par Esteban Lazo Hernandez, vice-président du Conseil d’Etat de Cuba, à la clôture de la Conférence mondiale des peuples sur le changement climatique et les droits de la Terre mère

Esteban LAZO HERNANDEZ
Discours prononcé par Esteban Lazo Hernandez, vice-président du Conseil d'Etat, à la clôture de la Conférence mondiale des peuples sur le changement climatique et les droits de la Terre mère, au stade « Félix Capriles, à Cochabamba, en Bolivie, le 22 avril 2010, « Année 52 de la Révolution » (Traduction de la version sténographique du Conseil d'Etat) Vive la lutte des peuples d'Amérique latine et du monde ! (Vivats) Vive la lutte pour la Terre mère ! (Vivats) Cher frère Evo Morales, président de l'Etat plurinational de Bolivie et -nous nous devons de le dire, du fond du coeur, à l'occasion de ce meeting magnifique" leader indiscutable de ce peuple noble et héroïque de Bolivie, (Applaudissements) Cher président Hugo Chavez, Camarades du gouvernement bolivien, Messieurs les dirigeants présents à ce meeting historique, Participants à la conférence qui s'achève aujourd'hui, Frères et soeurs, défenseurs de la Terre mère, de la Pachamama, vous qui vous êtes engagés envers la cause de la survie de (...) Lire la suite »
"Il s’agit bel et bien d’un problème structurel de l’ordre économique international"

Souveraineté et sécurité alimentaire, aliments pour la vie.

Esteban LAZO HERNANDEZ

INTERVENTION D’ESTEBAN LAZO HERNà NDEZ, VICE-PRÉSIDENT DU CONSEIL D’ETAT DE LA RÉPUBLIQUE DE CUBA, AU SOMMET PRÉSIDENTIEL : « SOUVERAINETÉ ET SÉCURITÉ ALIMENTAIRE. ALIMENTS POUR LA VIE », TENU LE MERCREDI 7 MAI 2008 A MANAGUA (NICARAGUA)

Cher comandante Daniel Ortega, président du Nicaragua ; Honorables présidents et hauts représentants, Les chiffres parlent d'eux-mêmes. En 2005, nous payions la tonne de riz 250 dollars ; aujourd'hui, nous la payons 1 050, le quadruple. Nous payions la tonne de blé 132 dollars ; aujourd'hui, nous la payons 330, deux fois et demie plus. Nous payions la tonne de maïs 82 dollars ; aujourd'hui, nous la payons 230, quasiment le triple. Nous payions la tonne de lait en poudre 2 200 dollars ; aujourd'hui, nous la payons 4 800, presque le double. C'est là une situation perverse et intenable. Cette réalité a des retombées internes sur les marchés de la plupart des pays de notre région et du monde, touchant directement la populaire, en particulier les plus pauvres, et poussant à l'indigence des millions de personnes. Certains pays, voilà à peine quelques décennies, se suffisaient à eux-mêmes en riz et en maïs, mais les recettes néolibérales du FMI les ont incités à libéraliser leur marché et à importer (...) Lire la suite »