La cheville ouvrière de la destitution de Nancy Morejón de la présidence du Marché de la poésie pour sa quarantième édition consacrée à la poésie caribéenne s’appelle Jacobo Machover.
Un jour de juin 1922, le Président Poincaré arpentait un cimetière militaire et il eut un sourire capté par un photographe. Le quotidien l’Humanité diffusa la photo à 100 000 exemplaires. Elle fut transformée en carte-postale. Elle façonna l’image de « l’homme qui rit dans les cimetières ». Il ne resta plus aux médias éhontés qu’à reprendre les « éléments de langage » : il s’agissait d’un « rictus dû au soleil » (qu’il n’avait pas en face).
Le 5 février 2023 à 20 h, dans l’émission « C politique » la 5 nous donna à admirer sept Poincaré probablement éblouis par les projecteurs, sept pauvres jouets de rires purement nerveux.
Blast, j’y ai cru.
Jusqu’au bout, j’ai essayé de tenir Denis Robert en dehors de la querelle entre un de ses journalistes et nous.
Mais Blast n’accepte pas le dialogue entre camarades.
Blast frappe à l’improviste derrière la nuque et ne tolère pas d’entendre « aïe ! ».
Bref, Blast est solidaire d’un de ses auteurs qui, par allégeance aux Etats-Unis, me diffame.
Finalement, la vigueur de l’attaque de Blast contre moi tient à une divergence fondamentale qui porte sur « la nation nécessaire » et sur la conservation de son leadership qui a semé, sème et sèmera des morts par centaines de milliers à travers le monde.
Pour Blast, il y a les gentils (les Etats-Unis), les méchants (la Chine) et les membres français du Parti communiste chinois (!).
Hélas ! sur le sujet qui dresse Blast contre moi, on trouve des médias états-uniens moins manichéens que Blast. Blast veut ignorer qu’aux Etats-Unis, des médias, des journalistes, des intellectuels, des avocats conseillers de Biden réfutent les bobards sur « le sort des Ouïghours ».
Dans mon livre « Ouïghours, pour en finir avec les fake news » (1), je citais quelques infaux célèbres et quelques exemples de parti pris et manipulations de nos médias.
On se souvient (ou pas) de la volée de bois vert, des calomnies, injures, que j’ai alors reçues de nos médias parmi lesquels : Libération, Arrêt sur Images, France Inter, le Canard enchaîné, le Monde, Télérama, Quotidien, Charlie-Hebdo (qui me traita de « dingo), etc.
Parmi les exemples, de manipulation, je citais le traitement (je veux dire : la condamnation, l’exécution médiatique) de Lula.
Orphelin d’une famille modeste, Pierre Soulages, natif des hauts plateaux de l’Aveyron, est mort le 25 octobre à 102 ans à Sète où il s’était installé.
On dit qu’il est le plus grand peintre français de sa génération. Il était exposé dans le monde entier. Une de ses toiles s’est vendue 20,2 millions de dollars aux enchères à New York. Mais il en reste à voir, au remarquable musée de Rodez qui porte son nom.
Le 26 septembre 2022, dans une émission de Conspiracy watch (observatoire du conspirationnisme) Tristan Mendès France et Rudy Reichstadt ont diffamé avec gourmandise Viktor Dedaj, Maxime Vivas et Le Grand Soir. Ils l’ont fait en présence de leur invité, Romain Badouard, maître de conférences en sciences de l’information et de la communication à l’université Paris II Panthéon-Assas, chercheur au laboratoire CARISM de l’Institut français de presse. Il n’a pipé mot et il a découvert les noms, comme il découvrit les mots « Révolution colorée » (!).
LGS.
Lu dans une interview de Marine Le Pen : « Je ne me sens absolument et définitivement aucun point commun avec la collaboration avec l’Allemagne nazie, et je me permets de vous informer que le chef du réseau FFI du Morbihan vient de témoigner que J.-M. Le Pen, à seize ans, a cherché à entrer dans la Résistance, que ceci lui a été refusé en raison de son jeune âge et du fait qu’il était déjà orphelin de guerre » (Le Point.fr, 10 avril 2007.)
Ceux qui ont prétendu depuis des années que l’ONU condamne les « crimes » chinois au Xinjiang ont un peu anticipé : l’ONU est ACTUELLEMENT en visite d’inspection.
Ceux qui, mensongèrement, l’avaient fait parler sont inquiets.
Tiens, pourquoi ?
Il y a quelques années, je discutais, dans le hall d’un hôtel de Toulouse, avec Viktor Dedaj et Ramon Chao (père d’Antoine et Manu Chao), ex-rédacteur en chef du service Amérique latine de RFI, collaborateur du Monde, du Monde Diplomatique, grand connaisseur de Cuba sur lequel il a écrit des articles et des livres. A un moment, il a posé son index sur la table basse et il a dit : « Cuba ! Quand je veux savoir le niveau politique d’un interlocuteur qui me parle des affaires du monde, j’oriente la discussion sur Cuba. Et je sais aussitôt qui il est et ce qu’il comprend de la politique internationale ».