Auteur Hugo MOLDIZ MERCADO

Les États-Unis à Evo Morales : « Fasse le Ciel que la Bolivie ne parvienne jamais au point où se trouve le Venezuela » (Cuba Debate)

Hugo MOLDIZ MERCADO
Le Chargé d’Affaires de l’ambassade des Etats-Unis, Peter Brennan, -un expert en questions de subversion idéologique-, s’est chargé de « faire savoir » au président Evo Morales que « Fasse le Ciel que la Bolivie ne parvienne jamais au point où se trouve le Venezuela. » La réponse du leader indigène ne s’est pas faite attendre : « Ni la Bolivie ni le Venezuela ne sont l’arrière-cour de personne ». Il a fallu un peu plus de trois années pour que le chargé d’Affaires des Etats-Unis, Peter (…)

L’ALBA donne le ton, y compris au niveau mondial, et l’Empire tonne

Hugo MOLDIZ MERCADO
L’Alternative [Alliance] Bolivarienne pour les Peuples de notre Amérique (ALBA) est devenue, du fait des gouvernements des États-membres qui la composent comme du haut niveau de conscience sociale de leurs populations, un véritable cauchemar pour les États-Unis, dont le pouvoir impérial est chaque jour davantage remis en cause dans cette partie du monde. Bien que l’Empire ne soit pas en train de s’écrouler, le malaise de la Maison Blanche se fait de plus en plus criant. Le 11 décembre (…)

Bolivie : l’apogée de la lutte des classes

Hugo MOLDIZ MERCADO
Ce premier mai (2008) a été celui où, en Bolivie, on a assisté au paroxysme de la lutte des classes entre un bloc social des indigènes, paysans, travailleurs et pauvres des villes qui ont juré de défendre et d’approfondir le processus révolutionnaire dirigé par Evo Morales - le premier président indigène de l’Amérique latine - et le bloc colonial-bourgeois qui, appuyé par l’impérialisme étasunien, cherche à restaurer son pouvoir politique. Mais le « jour des travailleurs » a été celui où (…)