Auteur Ismael HOSSEIN-ZADEH

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Donner un sens aux attaques terroristes de Paris (Counterpunch)

Ismael HOSSEIN-ZADEH
Malgré tous les reportages et commentaires portant sur les attaques terroristes contre les bureaux parisiens de l’hebdomadaire satirique Charlie Hebdo, ni les experts politiques, ni les médias grand public n’ont réussi à dévoiler les raisons cachées ayant conduit à ces odieuses attaques. En effet, les explications simplistes et opportunes sur le plan politiques tels que « l’incompatibilité » de l’Islam avec le monde moderne ou l’affrontement du « bien et du mal » ont mis de l’huile sur le (…)

L’inflation des actifs financiers et les inégalités

Ismael HOSSEIN-ZADEH
Il est maintenant de notoriété publique que l’économie américaine connaît ces dernières années des développements très inégaux. Alors que le secteur financier a connu des taux extrêmement élevés de croissance, le secteur réel est embourbé dans la stagnation ou un taux de croissance médiocre. Par conséquent, tandis que l’oligarchie financière récolte la part du lion de cette croissance fantastique de l’inflation des prix des actifs financiers, l’écrasante majorité des citoyens souffre des (…)

Une guerre mondiale entre classes et non entre pays (Asia Times)

Ismael HOSSEIN-ZADEH
La plupart des experts de l’évolution historique ont tendance à percevoir une nouvelle guerre mondiale par le déploiement à grande échelle de moyens militaires visant la défaite, la destruction ou l’asservissement d’un des belligérants. Bien que l’idée d’un tel scénario sinistre ne peut certainement pas être exclue, il y a des raisons de croire, cependant, que la fameuse Troisième Guerre mondiale dont on parle tant pourrait être d’un type différent : plutôt entre classes qu’entre pays. (…)

L’aspiration à l’indépendance : l’Intifada s’étend au-delà de la Palestine (Counterpunch)

Ismael HOSSEIN-ZADEH
Vous vous souvenez de "l’effet domino" qui selon les néoconservateurs devait suivre le renversement des talibans en Afghanistan et celui de Saddam Hussein en Iraq ? Leur renversement devait entraîner celui d’autres "leaders hostiles d’états voyous" comme ceux d’Iran ou de Syrie qui refusaient de se subordonner aux intérêts israélo-étasuniens au Moyen Orient. L’effet domino n’était pas supposé menacer les régimes "amis" qui régnaient sur l’Egypte, la Tunisie, la Jordanie, l’Arabie Saoudite, (…)