Auteur Mohammed OMER

Gaza : les Palestiniens veulent reconstruire, mais les matérieux nécessaires restent interdits (Middle East Eye)

Mohammed OMER
Alors que des camions de nourriture et d’autres marchandises entrent dans Gaza, les matériaux necéssaires à la reconstruction et promis dans l’accord de cessez-le-feu restent inaccessibles. Rafah - Au moment où Mounir al-Ghalban a entendu parler des conditions du cessez-le-feu, il a appelé tous les membres de son personnel du côté palestinien de la frontière de Kerem Shalom à revenir au travail. Peu après, des camions chargés avec des marchandises et de l’aide humanitaire entraient dans (…)

Gaza : Après la dévastation, l’humiliation (Middle East Eye)

Mohammed OMER
Les soldats israéliens humilient un Imam qui a survécu aux bombardements, en le forçant à se mettre tout nu devant sa famille, puis l'utilisent comme bouclier vivant. KHUZA’A, au sud de la bande de Gaza - Khalil al-Najjar se trouvait chez son frère avec sa mère, ses frères et soeurs, la famille de sa femme et ses enfants - 15 personnes en tout. Ils ont été attaqués toute la nuit par l’artillerie israélienne, craignant pour leur vie à chaque seconde et n’ayant qu’une seule certitude : (…)

En cette fin de Ramadan, les Israéliens se livrent à leur sport favori : tuer ! (Middle East Eye)

Mohammed OMER
Cette année les 170 000 Gazaouis déplacés ne pourront pas fêter l'Eid al-Fitr mais ils ne perdent pas courage vu que c'est la seule chose qui leur reste. GAZA CITY - Amjad Habeeb devait être en train de célébrer l’Eid al-Fitr ce lundi avec ses enfants et sa femme. A la fin du saint mois de Ramadan, les musulmans fêtent l’Eid al-Fitr en échangeant visites et cadeaux. Cette année, l’opération israélienne "Bordure Protectrice" a comme conséquence dévastatrice que cet homme de 33 (…)

Peur de dormir, peur de se réveiller

Mohammed OMER
Alors que les troupes israéliennes pénétraient plus avant dans Gaza, Mohammed Omer, un journaliste gazaoui blessé par la police d’Israël l’an dernier, et actuellement hospitalisé à Amsterdam, joignait par téléphone certains de ses contacts, ainsi que des amis à Gaza. "Nous dormons la peur au ventre et nous nous réveillons dans l’horreur", s’écrie Zahrah Salem, la voix tremblante et bouleversée. Cette femme de 64 ans, qui a 4 enfants et 15 petits enfants, se console en se disant qu’au (…)