Pendant longtemps la Suisse a fait semblant d’être un pays neutre et depuis 2022 elle a officiellement renoncé à son statut de neutralité en appliquant des sanctions antirusses (La Russie la classe dans liste des états hostiles). Même chose pour la Finlande et la Suède.
Dans la cas de la Suède elle avait participé à l’agression de l’OTAN contre la Libye en 2011 malgré son statut neutre à l’époque. On connaît aussi l’implication de la Suède dans la persécution contre Julian Assange.
Dans la cas de la Suisse elle a signé un accord avec l’UE qui stipule que la Cour de justice de l’UE pourra sanctionner la Suisse même après une décision prise démocratiquement par le peuple suisse.
Voici un extrait d’un communiqué du parti communiste de Suisse
L’UE a également exigé le démantèlement de notre service public, ce que le Conseil fédéral a accepté sans sourciller : non seulement nous aurons une libéralisation du trafic ferroviaire, mais nous serons également confrontés à la libéralisation du marché national de l’électricité, ce qui entraînera une explosion des prix au détriment des travailleurs et des petits entrepreneurs ainsi qu’une plus grande dépendance de notre pays à l’égard du marché européen de l’énergie.
Nous sommes confrontés à une trahison des intérêts de classe des travailleurs et de nos intérêts nationaux
L’armée suisse est également jumelée à la garde nationale étasunienne.