Igor Sahiri, journaliste de BFMTV a assuré à l’antenne avoir dû faire face à une situation d’extrême violence par une foule haineuse.
C’était le 22 juillet 2021, lors de la manifestation anti-pass, où il a agressé, insulté, un manifestant non belliqueux et lui a cassé son portable. Le seul coup porté, vient de lui. Personne n’a touché Igor Sahiri.
Les manifestants avaient fait une « conduite de Grenoble » à l’équipe de BFM (encadrée par deux gardes du corps) qui avait été reconnue, malgré des bonnettes noires pour masquer le sigle BFMTV sur les micros.
Igor Sahiri, ça ne le gêne pas d’être obligé d’être protégé par des gros bras pour s’approcher des manifestants, ni de mentir en racontant ce qu’il a vécu. Tout ça lui paraît normal. La routine.
En novembre 2018, Jean-Wilfrid Forquès, journaliste toulousain de BFMTV également protégé par des gardes du corps avait raconté le même bobard que son confrère Igor Sahiri. Sans que personne ne le touche.
On parie que le nombre de gorilles à BFMTV est supérieur à celui des « journalistes » de terrain ?
Théophraste R. Lecteur de la Charte des journalistes.