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Défuncter ou *« Que diable allions-nous faire dans cette galère ? »…

Qui de toute évidence n’est pas la notre !, (comprenez celle du peuple français, pour une fois !) et bien que les sociaux-démocrates, très discrets (vous avez remarqué ?) dans l’affaire (le mémorable bordel organisé par le quatuor, Fillon-Juppé-Clopé-sarkozy ; la risée (une bouffonnerie nationale) dépassant très largement nos frontières !), n’en pensaient pas moins…, au contraire !

* la première est une contraction verbale inventée de toute pièce, et la seconde, une réplique emprunté à la célèbre comédie héroïque, « Cyrano de Bergerac », d’Edmond Rostand ; elle apparut pour la première fois en 1654, dans « Le Pédant » de Cyrano de Bergerac, (le personnage historique et sa "collection" de lettres, jamais envoyées à aucun destinataire !), et plus tard (en 1671) dans une comédie de Molière, les « Fourberies de Scapin ». Rendons à César ce qui appartient à Jules !

Les irréconciliables (les divisés, les fractionnés, les éclatés et les scindé en deux, trois voire plus si affinité…)

La rupture, n’est pas forcément celle qu’on croit. La rupture, c’est celle entre le peuple français et le personnel politique (je n’évoque même pas le gouffre entre le peuple et l’"Elite qui vaut (tout autant) son « pesant de cacahuètes » !) Il faudrait être aveugle (et totalement demeuré) pour ne pas saisir l’importance de ce qui se passe (hors tartufferies à rallonge…) dans le camp umpiste !, pas seulement la désintégration du système psychorigide (le commandement vertical ou pyramidal…, un chef, un leader ou un (petit, très…) dirigeant de clan, qui décide de tout et pour tout le monde !…), mais le bordel qui se déroule à l’ump fera (immanquablement) « boule de neige », rattrapera et gagnera tout le personnel politique (les soi-disant "recours") et explosera l’appareil d’état lui-même !…, (et à fortiori les sociaux-démocrates !) Avez-vous remarqué « le silence assourdissant » des dirigeants et des membres du gouvernement ?, tétanisés par la trouille… qu’ils sont. Priant leurs dieux (Hypocrisie et Mépris) de les épargner. « Faites que le merdier umpiste, ne nous éclabousse pas trop ! », « Faites que l’effondrement de l’allié objectif (l’ump), ne nous entraîne pas dans la merde ! », « faites que notre "jumélléité" ne nous porte pas la poisse ! »

N’ayez crainte "chers camarades" millionnaires (et sociaux-démocrates à vos heures ?!), apaisez vos inquiétudes…, vous allez en prendre salement plein la gue…poire !, et vous sombrerez corps et bien dans le merdier ambiant (made in France, bien entendu !), aussi promptement que vos chers confrères et alliés objectifs, soyez en certain-nes !...

* Dont le dernier spécimen, l’ancien locataire élyséen, sarkozy, a (malheureusement) échappé de peu (de très peu) à l’effondrement de l’appareil d’état, il était moins deux !..., mais il ne perd rien pour attendre ! Il y aura forcément des suites judicaires aux turpitudes de môssieu-ex… on ne pardonne, ni n’oublie jamais rien !

Allez, portez-vous bien… et à bientôt sans doute ?

sergio

PS : Petites recommandations utiles au personnel politique : « Si vous ne voulez pas absorber trop de merde d’un coup…, bouclez-la ! » Tremblez politicards de tous bords, votre heure est enfin arrivée ! Défuncter fissa !…

Le plus ennuyeux dans l’affaire, c’est qu’il n’y a pas de relève prévue au cas où… (Un puissant mouvement organisé et capable de chasser tous ces faisans !) Pris au dépourvu le peuple français ?!…, à moins que !

Ah, oui ! une chose encore : L’effondrement de "l’entreprise" France, c’est maintenant !

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DETTE INDIGNE ! QUI SONT LES COUPABLES ? QUELLES SONT LES SOLUTIONS ?
Jean-Jacques CHAVIGNE, Gérard FILOCHE
« Euro-obligations », « règle d’or », « gouvernance européenne », « fédéralisme budgétaire »… la crise de la dette qui ébranle la France et l’Europe donne lieu à une inflation sans précédent de termes économico-financiers dans les médias et dans les discours des dirigeants politiques. Pour les citoyens, ce vocabulaire, souvent obscur, dissimule une seule et même réalité : un gigantesque mouvement de transfert des dettes privées (en particulier celles des banques) vers les dettes publiques (…)
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Si j’étais le président, je pourrais arrêter le terrorisme contre les Etats-Unis en quelques jours. Définitivement. D’abord je demanderais pardon - très publiquement et très sincèrement - à tous les veuves et orphelins, les victimes de tortures et les pauvres, et les millions et millions d’autres victimes de l’Impérialisme Américain. Puis j’annoncerais la fin des interventions des Etats-Unis à travers le monde et j’informerais Israël qu’il n’est plus le 51ème Etat de l’Union mais - bizarrement - un pays étranger. Je réduirais alors le budget militaire d’au moins 90% et consacrerais les économies réalisées à indemniser nos victimes et à réparer les dégâts provoqués par nos bombardements. Il y aurait suffisamment d’argent. Savez-vous à combien s’élève le budget militaire pour une année ? Une seule année. A plus de 20.000 dollars par heure depuis la naissance de Jésus Christ.

Voilà ce que je ferais au cours de mes trois premiers jours à la Maison Blanche.

Le quatrième jour, je serais assassiné.

William Blum

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