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Dynamique antisociale, ou l’histoire véritable des affabilités antisociales

Dynamique antisociale, ou l’histoire véritable des affabilités antisociales (seconde partie, faisant suite à  : « Le règne intermédiaire » etc.)

Préambule : Depuis une décennie environ, les citoyennes et les citoyens du monde entier, des Etats-Unis en passant par l’Amérique latine, et quasiment toute l’Europe (en particulier la Grèce, l’Espagne, l’Islande, le Portugal ou bien la France…), de la Russie au Maghreb et au Proche-Orient (en particulier l’Egypte ou la Tunisie… ainsi que la Libye), et dans la plupart des pays africains (par exemple, en Côtes d’Ivoire !, et dans de nombreux pays africains ou des élections truquées furent "organisées"… comme en 2000 aux Etats-Unis !..., après plus d’un mois de décompte des voix… et malgré une confortable avance pour le "perdant" Al Gore - 550.000 voix d’avance - ou en Russie - selon l’opposition de nombreuses irrégularités furent constatées (mais jamais démontrées ?!), mais l’affaire fut promptement classée sans suite… et Vladimir Poutine fut déclaré président avec 63,6% des voix du premier tour !), jusqu’en Orient et en Extrême-Orient (en particulier la Chine, l’Inde, etc.), le système soi-disant "représentatif", ne représente pas (ou plus) grand-chose…, (du moins en ce qui concerne le peuple !), si ce n’est que les intérêts d’une minorité insatiable, cupide jusqu’au trognon…, (le fameux 1%). Un système élitiste, souvent autoritaire, et surtout complètement obsolète, auquel plus personne ne croit vraiment… L’alternance ?, un attrape nigauds bien rôdé, pour que rien ne change !, où les * mêmes (depuis quasiment trente, quarante ou cinquante ans) règnent en maîtres et se passent et repassent les prérogatives et les fonctions à l’infini…

Les plus lucides d’entre-nous-vous savent tout ça explicitement, (par exemple lors des mouvements contestataires d’"indignés" ou plus sérieusement, lors des émeutes en Egypte, en Tunisie, etc.) et l’expriment haut et fort…, et de plus en plus fermement ! Nous ne voulons plus de ce système électoral particulièrement ringard, que traîne nos soi-disant vieilles "démocraties"… depuis le XIXe siècle !, alors que le peuple réclame plus de démocratie réelle, c.-à -d., une système démocratique à l’opposé de toutes ces vieilleries dépassées - issues d’un autre siècle ! -, (à l’heure ou les jeunes, mais pas que…, ont appris à se concerter directement et librement, sans passé par LE filtre du pouvoir politique, et demandent une adéquation des idées et des pratiques plus en "phase" avec le XXI e siècle !), donc PARTICIPATIF (pas le gadget récupéré par une partie du personnel politique… accommodé à la sauce politicarde !, c.-à -d., vidé de sa substance initiale pour être rendu parfaitement inopérant…) ainsi qu’HORIZONTAL (c.-à -d., d’individu à individu, sans hiérarchie et surtout sans rapport de force !), c.-à -d., à l’opposé du système actuel (pyramidal, vertical, de haut en bas… du chef aux sous-fifres !) ou le pouvoir est détenu par un groupe d’individus (les donneurs d’ordres via le personnel politique) de plus en plus restreint et de plus en plus ultra-riche. Hackons et zappons ce système archi dépassé et passons promptement (fissa !) à autre chose !

* Les partis institutionnels (lisez les carriéristes de la politique) et leurs alliés, par le truchement d’un système d’alliances circonstancielles, - voire quasiment obligatoire…, pour soi-disant "exister" - ne trompe plus personne depuis déjà longtemps !
A méditer :
1) Ils ont réussi à ressusciter l’esclavage moderne ?, (mais est-ce vraiment "moderne" ?) D’abord les petits boulots et les stages bidons (pour les jeunes, et souvent non rémunérés), ou comme en Allemagne mais aussi, et surtout aux Etats-Unis, où les salariés pour survivre additionnent les "Jobs" (un, deux, voire trois ou quatre !) qui ne "rapportent" presque rien… d’où leur accumulation exponentielle pour essayer d’obtenir des moyens "décents" !, (lisez, totalement indécents), et si on les laisse faire, la vie humaine n’aura bientôt plus d’importance (pas seulement la fameuse « variable d’ajustement », pour celles et ceux qui sont virés-ées, mais pire encore !)
2) Le souci de la bonne société est de l’améliorer, certes, mais une bonne société, certainement pas !
3) Le pouvoir leur échappe !, (et pour cacher cette évidence) : Les gouvernants des Etats-nation trouve opportun et avisé de rejeter les "disfonctionnements", qu’ils ont eux-mêmes édifiés (en réalité l’impuissance programmée par les ° « donneurs d’ordres » et institutionnalisée par le personnel politique) sur l’Europe, ou mieux…, sur la mondialisation-globalisation ! (° Tout le monde sait qu’il s’agit d’ordres imposés par le FMI, l’OMC l’OCDE et la CE, - organismes éminemment anti-démocratiques, et adeptes de l’autoritarisme débridé ! - relayé par le personnel politique, le tout sous l’emprise des dominants (le fameux 1%) ).
4) Le "court-termisme" : une rentabilité maximum (pour les actionnaires) pour des périodes de plus en plus courtes, opposable à la durée déterminée pour les nouveaux contrats de travail, dans le but de se débarrasser des contrats à durée indéterminée…, (voir plus bas les conséquences sociales et économiques de telles règles !)
5) Question : « Où allons-nous ? », Réponse : « Sans doute vers le pire ! »… (réponse de Noam Chomsky sur la période actuelle… (Sans commentaire !, vous comprenez "sans doute" pourquoi ?)

Pauvreté spirituelle d’une civilisation (?) (on croirait (lire) du Malraux  !)

"La fin du monde" dont plaisantèrent les médias inféodés, étant l’une de ces élucubrations si "spirituelle"…, sans doute pour escamoter l’agonie (bien réelle celle-là ) du capitalisme… : le titre de ce chapitre ainsi que les trois phrases suivantes (apparemment contradictoires, et polémique - du moins en ce qui concerne la troisième et dernière phrase -, « …le versement de ces salaires sociaux aux couches parasitaires et exclus de la production… ») sont extraites d’un article de Mallers, paru sur le site « BELLACIAO », intitulé : « capitalisme pourrissant » ;

première phrase : « …la fin du monde dont se sont tant gaussé les médias à la fin de l’ année dernière était un cache-sexe bien pratique pour éviter de parler de la fin du monde capitaliste qui agonise non pas encore sous les coups de boutoirs de populations révoltées et prêtes à en découdre, mais plutôt des soubresauts de ses contradictions internes. … »,

seconde phrase : « …pour accéder à ce bonheur "à la petite semaine", ne sont-ils pas disposés à se sacrifier au travail en se droguant au prix de leur santé pour atteindre les objectifs remis en question le mois prochain avec des normes plus draconiennes… »,

troisième et dernière phrase : « … Les nouvelles technologies de communication numérique, véritable IIIème révolution industrielle, développées et généralisées en plein coeur de la crise chronique de suraccumulation de valeur dans les années 80/90, ne font plus illusion : elles laissent au rebus davantage de chômeurs que le capital continue bon gré mal gré d’entretenir à seule fin d’éviter les explosions sociales, les plus-values dégagés dans certains secteurs occidentaux encore rentables ou dans les pays émergents (Brésil, Chine, Indonésie, Mexique) permettant pour un temps le versement de ces salaires sociaux aux couches parasitaires et exclus de la production. … »

Dur constat, dure limite !…,

Sans oublier, « la flexibilité et la polyvalence généralisées », cités dans cet article : « … les activités multiples reflets de la flexibilité généralisé et de la polyvalence souhaités par le capital », pourtant si ardemment souhaitées par le Medef et réalisées « aux petits oignons » par les sociaux-démocrates, actuellement au pouvoir en France…, * le peuple (en colère) ne se révolte pas… et se résignerait même, pourquoi ?

Tout simplement par peur (et à cause) du chômage (et ce qui est nouveau à présent, c’est qu’il s’agit de celles et ceux qui ont un emploi (bien qu’ils-elles ne soient pas sûr de le préserver…) mais surtout de leur descendance !), car les diktats et les menaces à peine voilées des organisations internationales telles le FMI, l’OMC, la CE, l’OCDE etc., ou les organisations ou lobbys patronaux font planer sur la tête des salariés-ées, sont on ne peut plus réels !... (dit comme ça, cela peut paraître simpliste et très incomplet, aussi pour celles et ceux qui auraient le temps de jeter un coup oeil sur un article paru dans le dernier « Manière de voir » (N°127), intitulé « La crise a commencé il y a quarante ans », signé de Wolfgang Streeck, leur permettra (sans doute ?) d’aborder de manière plus exhaustive un sujet aussi important, comme par exemple : « Comment la déflation opère pour contrecarrer les droits des travailleurs ? », ou bien, « Comment la hausse des taux d’intérêt agit (à la hausse) sur la courbe du chômage ». Le chômage est l’arme absolue entre les mains d’organisations telles le FMI, l’OMC, la CE, l’OCDE etc., mais aussi du personnel politique…)

* en guise d’hypothèse (symptomatique d’un rattrapage sémantique, sans doute ?), l’auteur apporte cette précision : « L’aiguillon de la nécessité, les contraintes de plus en plus dures de la vie réelle nous contraindront à peupler nos rues de manifestations massives, déterminées, conscientes des sacrifices et des objectifs à mener ; à retrouver le goût passionné de la parole émancipée, des conversations collectives riches, profondes et débridées. »

Comment voulez-vous que : « … Les populations laborieuses d’Occident, celles qui devraient pourtant montrer par de violentes luttes massives la possibilité d’autres voies d’organisation sociale, restent, pour une grande majorité d’ entre elles, fascinées, droguées, ivres de ce confort de pacotille dont les vitrines rutilantes regorgent de subterfuges commerciaux pour assouvir leurs désirs quotidiens. … », puissent peupler massivement les rues de manifestations monstres (c’est d’ailleurs ce qui c’est produit lors des manifestations « contre la réforme des retraites par répartitions », et le mépris affiché du personnel politique, que l’on peut résumer par ce commentaire acerbe : « Ce n’est pas la rue que commande ! », c.-à -d., « votez et taisez-vous ! »), alors que la grande majorité serait fascinée, droguée et ivre de confort de pacotille ? Sans omettre : « … Pauvreté spirituelle d’une civilisation qui ne sait plus s’appuyer que sur des esclaves du sport moderne pour lubrifier la machine spectaculaire du capital !, etc. … »

La richesse de cette "argumentation" personnelle, ne change apparemment pas grand-chose à la réalité, et ne bouscule pas beaucoup les foules… "on" se fait plaisir comme on peut !...

Et si le coeur vous en dit… nous-vous plongerons au coeur de la terrible réalité, (le rata quotidien des populations "fascinées", "droguées" et "ivre de pacotille"…, déjà largement consciente des sacrifices qu’on leur inflige…, pas besoin d’en rajouter, et de les accabler encore et encore !) en lisant les chapitres ci-dessous, qui vous éclairerons sur le détail des agapes patronales, ainsi que sur le nom des principaux initiateurs et introducteurs… (on ne peut mieux dire !…)

Contre-réforme du droit social (ou le "big" bon vers le moyen-âge) :
(ou comment « l’abus d’éléments de langage » nuit gravement à la démocratie…)

La « novlangue » au service du patronat, (via les lobbys patronaux, le Medef et la CGPME) et du Normal (de plus en plus a-normal), sans oublier les amis et les alliés du gouvernement…, des sociaux-démocrates aux affiliés, les membres des groupes parlementaires de l’Assemblée et du Sénat, d’EELV au groupuscule les « Radicaux de gôche », (dits aussi : « ces enfoirés de « social-traitres ! »), pour une arnaque historique… (* ce que sarkozy rêvait de faire, le Normal, le "syndicat" des « jaunes », la CFDT, en tête (c’est Chérèque qui fut le grand inspirateur en chef de cette contre-réforme du "droit social"), CGC et CFTC (ces deux syndicats, selon les nouvelles normes consécutives aux nouveaux textes de loi, ne sont plus « représentatifs », mais qu’importe la loi, puisqu’ils s’assoient dessus !), les lobbys et officines patronaux, le Medef et la CGPME, l’ont fait en pire !
Saluée quasi unanimement par « les postillonneurs accrédités » et « les laudateurs-commentateurs politiques » et par « la presse aux ordres » (aux mains des patrons de groupes financiers), l’accord "historique", qui en réalité n’apporte que des emmerdements aux seuls salariés, un changement radical (certes, mais un « retour historique vers le passé »), et la logique globale permet au patronat un retour en arrière de plusieurs décennies (ou un alignement - régressif - sur le modèle (rétrograde) allemand ; l’Allemagne où le nombre de travailleurs pauvres explose, soi-dit en passant !... (Voir les excellents articles de Martine Bulard et de Florence Lefresne, intitulés : « Droit social à la moulinette », et « Précarité pour tous, la norme du futur », parus sur le site « Le Monde Diplomatique »).

* Déjà la « flexibilité » (transformé par la "magie" de la « novlangue » en « fléxisécurité »), le sous-paiement des heures supplémentaires, le recul de l’âge de départ à la retraite (° et l’humiliation infligée par l’ancien locataire élyséen, sarkozy, aux salariés-es et à leurs familles…), les salariés vont travailler plus et gagner moins, alors que la France est déjà un pays de bas salaires !... C’était sa conception de la défense de la « valeur travail », mais son successeur, le Normal, à fait beaucoup mieux, mais en pire !... (Quoique, le patronat et ses lobbys rêve d’abolir tous les codes et lois qui protègent "encore" les salariés, et pas seulement un ballon d’essai du genre « auto-entrepreneur », non, bien plus infâme encore…)

° il ne fut pas seul à commettre ce genres de turpitudes, car le couple infernal, Notat-Chérèque l’avait grandement aidé en 2003, en acceptant le plan de "réforme" des retraites, et participant de ce fait à l’échec d’un maousse mouvement social (à la dernière manif, ils étaient près de trois millions à défiler dans toutes la France…), et en 2004, ils avaient négocié une révision à la baisse des indemnités chômage, les fameux « recalculés ». Depuis, Notat et Chérèque ont fait du chemin : en récompense de leurs bassesses, Notat est devenue présidente du « Siècle », club de parasites (de l’"élite" autoproclamée), en remplacement de Kessler, (aussi faisandé que les deux mentionnés plus haut…), ex-vice président du syndicat patronal, Medef, et maintenant pdg d’une société de réassurance…, quant à Chérèque, il se coulera douce après que le Normal l’eut nommé à l’Inspection générale des affaires sociales, et tenez vous bien, il aura la charge du « suivit de la politique du gouvernement… (« social-traitre ») contre la pauvreté ! », pour la modique somme de 6.000 euros mensuel, (ça ne s’invente pas !), et la présidence du think tank « Terra Nova », chargé de la propaganda gouvernementale. Décidemment la « social-traîtrise » et la « collaboration », ça le connait bien !…

Un rééquilibrage, pays riches contre pays en voie de développement économique, où la couverture sociale et le droit syndical sont quasi inexistants ; il s’agit plus surement d’un transfert de la masse de travail vers les locomotives de l’économie mondiale, le Brésil, la Russie, l’Inde et la Chine (et leurs voisins proches), et un nivellement vers le bas de la "couverture sociale" (en peau de chagrin !) de la main-d’oeuvre des pays occidentaux.

L’injustice sociale (suite… et sûrement sans fin ?)

Les contrats à durée déterminée (CDD). Actuellement, 80 % des embauches se font en CDD, le reste étant en contrat à durée indéterminée (CDI). En 1981, à la veille de l’arrivée de la gauche au pouvoir, c’était exactement l’inverse.
La baisse du pouvoir d’achat salarial et les plans successifs d’austérité conduiront mécaniquement à une réduction de la consommation, qui conduira elle-même à une baisse de l’activité, etc. même les experts et les doctrinaires du néolibéralisme du Fonds monétaire international (FMI) ont fini par comprendre que cette logique économique serait fatale à l’économie des pays occidentaux, c’est vous dire !...
Ce dispositif est également une machine à fabriquer des travailleurs pauvres. Alors qu’en France, un salarié sur deux gagne moins de 1 675 euros par mois, on imagine le drame quand la paie sera réduite d’un quart ou de moitié. Actuellement, le nombre de travailleurs pauvres dépasse déjà le million (plus de 8 % des ouvriers, et 10 % des employés).
L’expérience de l’Allemagne, qui a inauguré le système dont on nous vante le mérite, est parlante : le nombre de travailleurs « en risque de pauvreté » [sic] a pratiquement doublé entre 2005 et 2010, pour atteindre 7,7 %. Selon le bureau officiel des statistiques, « en 2010, plus du cinquième des employés travaillant dans des entreprises d’au moins dix personnes percevaient des bas salaires, contre 18,7 % en 2006 ». Quant à la croissance dans ce pays, elle vire à la récession ... 7,4 millions de travailleurs pauvres sur 41,5 millions d’actifs (avec moins de 450 euros par mois), ou le taux de pauvreté urbaine (comme-ci la pauvreté pouvait être autre chose que ce qu’elle est…) de 12% à 25% selon les villes allemandes.

Des "arrangements" de ce type ont déjà été signés par la grâce du chantage à la délocalisation et au chômage. On imagine le poids des travailleurs dans les PME... Le temps de travail revient, totalement ou presque, entre les mains du patronat, alors que le code du travail visait justement à l’en déposséder, au moins en partie. En cas de refus du salarié, le licenciement pour « motif personnel » est engagé, sans le minimum du dispositif social lié au licenciement économique (notamment sur le volet formation...).

Corruption et impunité généralisées dans les rangs des partis institutionnels, mais le ministre de l’intérieur et les membres du gouvernement social-démocrate et ses alliés (EELV et les Radicaux de gôche) ont pris les choses bien en main (dans le sac !)  ! (d’ailleurs le successeur des racistes multirécidivistes, Guéant et Hortefeux, n’a plus rien à leur envier !)

1) Intéressante collusion (et soutien réciproque efficace) entre un ministre social-démocrate, Cahuzac (il aura à subir les "affres" d’une enquête préliminaire pour blanchiment et fraude fiscale, diligentée par le proc de la République de Paris, Molins), et Woerth, l’ex-ministre du Budget de sarkozy (très informé au sujet des petits et grands arrangements, concernant son mentor, lui-même ancien ministre du Budget, ainsi que de l’Intérieur et ex-locataire élyséen) ; l’un couvrant les "méfaits" de l’autre, et vis-versa. Son prédécesseur, Woerth, sera-t-il arrangé par successeur, qui a commandé une expertise (neutre cela va de soi) pour contrecarrer celle initiée antérieurement par la Cour de justice de la République, et fait déposer un mémoire devant le tribunal administratif de Paris pour voler au secours de…, Woerth. Touchante démonstration de solidarité entre chers collègues…,
2) Vallskyrie (spécialiste en : fausses déclarations et en fachos de tous poils, par populisme et surement par opportunisme !…) change (la règle) les repères statistiques de la délinquance (entendez la délinquance populaire), en incluant par exemple les délits qui aboutissent à une pollution, ou celui de « saisie de biens des délinquants-es » (sans y inclure, bien entendu, les biens des « délinquants en col blanc », où l’ex, sarkozy, a « nettoyer le terrain au ©Karcher » en supprimant quasiment tous les moyens juridiques et judiciaires pouvant parvenir à coincer les patrons voyous, les financiers et les banquiers véreux, ou les délits fiscaux en touts genres (étant lui-même « conseiller en "optimisation" fiscale », lisez « qu’il aida et conseilla personnellement, quand il était à la tête de divers ministères clés (du Budget à l’Intérieur en passant par la présidence de la république), certain-nes de ses amis-es riches et même très riches, en favorisant "légalement" leur fiscalité - c’est devenu une pratique très répandue parmi les vautours de la classe dominante - l’évasion fiscale - et qui plus est, soi-disant légale ! » A ce jour, lui, ses amis et * la majorité quasiment, du personnel politique (puisque les quelques affaires qui défrayèrent les chroniques politico-judiciaires se déroulèrent avant qu’il n’intervienne directement (et parfois personnellement pour certains dossiers fiscaux concernant ses amis proches, - qu’il qualifiait volontiers de "frères") sur le (textes) législatif, en modifiant les lois - soit en les changeant, soit en les neutralisant - défavorables à ses amis-es les riches et les très riches. Tous ces "braves gens", n’ont plus rien à craindre des conséquences de leurs nombreuses turpitudes devant une quelconque cour de justice…, puisqu’ils-elles sont devenus-es intouchables ! Mais le plus stupéfiant dans ces affaires qui alimente la chronique les affaires d’« évasion fiscale », après le scandale des géants d’Internet, Google, Amazon, ou encore eBay, qui profitent des difficultés à localiser les richesses créées par leurs activités pour transférer leurs bénéfices dans des paradis fiscaux !, l’Etat français n’est pas en reste, car selon le journal néerlandais « Het Financieele Dagblad », 19 groupes français n’ont pas hésité à créer des holdings (sociétés écran) pour réaliser de fructueuses opérations financières… en les domiciliant au Pays-Bas !, ceci pour la bagatelle de plus de 2 milliards d’euros (et parmi ces heureux bénéficiaires, il y a en tête de peloton, EDF, suivit de prêt par, CNP Assurances (via la Caisse des dépôts), GDF suez, France Télécom et le Fonds stratégique d’investissement, Thale, Renault, EADS, Accor, Technip, Schneider, Electric, Vivendi, Alcatel-Lucent, Valeo, Société générale, Danone, Sodexo, CGG Veritas, Lagardère, etc., etc., etc.

(* et ses soi-disant adversaires, entendez l’opposition sociale-démocrate et ses satellites, EELV et les Radicaux de gôche)

La "dépendance" à la mondialisation aux produits intermédiaire contenus dans le chiffre global des exportations (?!) (c’est nouveau… ça vient de sortir !)

Découvert par hasard un article sur le sujet, paru dans « Alternative économique » (N°321), intitulé « L’autre face du commerce mondial », où l’auteur, Christian Chavagneux, écrit : « … Et que les politiques mercantiles sont vouées à l’échec : dans le monde made in world il faut importer beaucoup pour exporter beaucoup. (?) C’est l’interprétation sur laquelle ont lourdement insisté Pascal Lamy et Angel Gurria, le secrétaire générale de l’OCDE, lors du lancement de l’étude dans un vibrant éloge du libéralisme, (en réalité néolibéralisme !), comme on n’en entend plus guère de la part des économistes et d’autres institutions économiques internationales. … », c’est dire le degré de soumission au système !

En écoutant une station de radio publique (« France Intox »), je suis tombé sur Pascal Lamy, (le « social-démocrate par excellence » à la tête de * l’OMC, l’un des organismes le plus virulemment néolibéral, à la fois gendarme du commerce mondial et foire d’empoigne en "négociations"), vendre sa version de la « globalisation » (terme qui peut-être commodément substitué à « mondialisation »), on est sidéré de la stupéfiante argutie usité par cette caste de larbins aux ordres de la classe dominante !...

* les économies émergentes, n’ont pas d’autres alternatives que de négocier avec les pays "développés", (en réalité, ils ont face à eux des multinationales organisées en groupes de pression d’une efficacité redoutable !…), des accords bilatéraux ou régionaux - pour obliger les pays plus faibles économiquement à faire d’avantage de concessions… -, plutôt que des accords mondiaux, sous la houlette d’un organisme indépendant, - c.-à -d., autre que l’OMC (organisation représentant exclusivement les intérêts des pays occidentaux -, et qui seraient beaucoup plus surement à l’avantage des pays émergents.

Dans son intervention, qui traitait principalement de commerce international, d’échanges commerciaux (importations et exportations), et des statistiques afférentes, il soutenait (sans l’air d’y toucher) un de ces raisonnements ultralibéraux de derrière les fagots, en prenant (entre-autres) pour étayer son argutie, l’exemple de l’industrie automobile… Cet exemple n’est certainement pas pris par hasard, puisqu’il est l’un de ceux qui "parle" le mieux à un maximum d’auditeurs-rices-consommateurs-rices… Jugez plutôt !

Externalisation…, délocalisation…, et sous-traitance

Vous connaissez les méfaits de « l’externalisation », pour l’avoir sans doute subie vous-même par contrecoups (le nivellement des salaires par le bas, la remise en cause des acquis sociaux, etc., en sont les conséquences indirectes) ?, dont le principal objectif serait d’"améliorer" le coût et la qualité des "services" jusqu’à là dévolues (à la charge) de l’Etat-nation…, en faisant jouer la "concurrence" - après l’élimination du secteur public… pour cause d’austérité aggravée due à la dette des Etats-nations !… -, et l’ouverture des marchés à ladite "concurrence", c.-à -d., aux redevables figurants dans le carnet d’adresses du personnel politique (aux affaires…, mais pas que, car les « ex-responsables politiques » sont aussi très actifs, recasés à des postes dans les sociétés dont ils-elles avaient la charge et la gestion de leurs dossiers, en tant que « chargé aux relations » avec l’ancienne administration ou le ministère qu’ils-elles viennent de quitter !) - et garantir le dynamisme du (soi-disant) secteur "concurrentiel", (sous couvert de slogans tels, « Modernisme et réformisme (réformes "nécessaires", évidemment !), sont plus performants …, qu’immobilisme et passéisme ! », vous savez « les acquis sociaux » (si durement arrachés au patronat), et si "passéistes" et tellement "ringards" !…)

Pour prendre un exemple concret (et d’actualité), l’aviation civile (ou le transport aérien) connaît depuis l’ouverture à la concurrence, (pas forcément en tant que compagnie aérienne "nationale", mais aussi plus insidieusement avec le secteur de la sous-traitance…), une grave crise (les experts ajoutent pour faire "sérieux", « structurelle »), due en grande partie aux (conséquences) importantes restructurations à répète (entendez par là la recette habituelle : « sous-traitance » et « externalisation » à outrance, qui se traduisent presque toujours par « le non-remplacement de départs à la retraite », « des économies tout azimuts », etc.), et pour en revenir à notre exemple, la compagnie aérienne Boeing connaît de graves déboires sur son dernier-né, (au point de décider le gouvernement US de prendre une décision assez rare, « clouer ses avions au sol » !), mais la presse française c’est montrée (dans l’ensemble) très discrète sur le sujet, et pour cause…, les sociétés sous-traitantes françaises, Safran, Zodiac, et Thales, fournissent à cette compagnie aérienne des équipements pour ses avions, qui s’élèvent à des dizaines de millions de dollar !...

Lamy (des grands groupes financiers et des industriels…l’animateur en chef de l’OMC, et la participation de l’OCDE),
a produit au micro d’une station radiophonique nationale cette "démo", qui laisserait pantois d’admiration n’importe quel pro-néolibéral, tellement le baratin (néolibéral, of course !) qu’il a servi est bien rôdé ! Jugez-en vous-même !…

On reprend l’exemple de la * sous-traitance, mais au niveau mondial (où les bénéfices s’évaporent dans les brumes de sommets financiers, tel le cycle de Doha…) ; des ateliers de sous-traitance… - qui produisent des pièces détachées et des équipements -, aux usines d’assemblages… - le montage et l’assemblage de pièces et équipements produits dans les ateliers de sous-traitance -, jusqu’aux concessionnaires - les magasins de vente où sont écoulés les véhicules neufs. Tout ce chaînage à deux principales fonctions : la première est de diversifier les pays où sont fabriqués les équipements et les pièces détachées, de préférence dans les pays où le coût de la main d’oeuvre est bon marché (et où les organisations syndicales sont, soit à la botte du patronat via un gouvernement autoritaire, soit quasi inexistantes - sous-entendu, la législation sur le travail et le droit syndical totalement exclus !), et le second est de procéder au montage des véhicules dans un pays riverains du dépositaire de la marque, où le taux d’imposition sera (très) avantageux pour le PDG de la marque…

* bien que nous assistions depuis un ans ou deux à un basculement de la part de certaines multinationales qui reviennent sur leur « externalisation » (ou mouvement de relocalisation) à cause d’une poussée soudaine et continuelle du prix du pétrole, (les chaînes d’approvisionnement se font exclusivement par voies aériennes, maritimes et routières, quand le baril de brut était de 20-25 dollars au milieu des années 1990 ça pouvait le faire…, mais actuellement il est monté à 90-100 dollars, donc plus du tout rentable pour le patronat !), le coût des marchandises est lié aux transport entre les différents sites de production et le site d’assemblage-montage… donc ° Lamy à encore tout faux !..., car un professeur d’économie à l’université de Hambourg, Ricardo Meléndez-Ortiz, opérant au sein d’un groupe de réflexion (Centre international pour le commerce et le développement durable, dont le siège se trouve à Genève), et directeur des études économiques à la Conférences des nations unies sur le commerce et le développement (Cnuced), déclare que pour combattre efficacement les inégalité entres pays riches et pays en voie de développement économique, il faut impérativement aborder les sujets dont l’OMC ne veut absolument pas entendre parler, comme par exemple ceux-ci : « Les taux de change sont-ils équitables et la mondialisation est-elle bénéfique pour les pauvres ? », « Nous avons désespérément besoin de nouvelles règles dans ce monde marqué par des inégalités obscènes, mais aussi confronté à une crise économique massive », « …un accès plus équitable au marché international », et conclut par : « Mais si elle refuse de s’emparer de ces sujets, l’OMC risque de perdre sa raison d’être… » J’ajouterai : et de sombrer pour disparaître à jamais !

° l’organisation qu’il dirige, émet des contre-vérités flagrantes, à savoir : « les négociations menées à Genève (durant l’été 2008) ont lamentablement échouées, notamment parce que leur objectif était trop ambitieux : la démarche reposait sur un "engagement unique" en vue d’un accord global intégrant le commerce des produits agricoles, des biens et des services. » (Alors qu’il avait été promis aux économies émergentes, un "traitement spécial et différent"), « Le monde s’agite et entretient la fiction que ce système est efficace et qu’il fonctionnerait encore mieux si l’on supprimait toutes les mesures protectionnistes »..., ben voyons ! Même le FMI (un organisme prônant le néolibéralisme débridé, c.-à -d., moins d’Etat pour une totale liberté d’entreprendre (la libre-entreprise) !…, pas ou peu de contraintes : pas ou peu de réglementations, pas ou peu de barrières administratives et surtout pas de mesures protectionnistes !…), s’interroge aujourd’hui sur les conséquences de l’austérité et les mouvements de capitaux qui limiteraient les flux d’investissements dans les pays transfrontaliers, (comme par exemple, les USA et son "arrière-cour", les pays d’Amérique latine), aux économies fragiles… Contradiction quand tu nous tiens ! (Le système capitaliste produit ses propres contradictions, c’est très certainement ce qui causera sa perte !) Mais à part ça… mâame Lagarde, tout va très bien, n’est-ce pas ?…

Petite démonstration concernant les pratiques doctrinales du néolibéralisme :

Commençons par une définition "basique" (étant entendu que celle-ci a cours depuis des lustres) : Les statistiques actuelles du commerce international mesurent les exportations ou les importations en multipliant le volume des biens échangés par leur prix…, c’est ce que l’OMC et l’OCDE appellent « Les données brute » (de coffrage).

Vient ensuite le baratin doctrinal, usité par les deux officines pro-néolibéral, l’OMC et l’OCDE, pour essayer d’escamoter « Les données brutes », c.-à -d., en les substituant à des statistiques soi-disant plus réelles ; pour ce faire il suffit d’ajouter une dose de « valeurs ajoutées » pour recalculer les importations, les exportations et les soldes commerciaux bilatéraux (?) de chaque état… bien que le solde commercial ne change pas, mais la répartition, (entre les états), quant à elle serait différente. Tout ce bidouillage, (n’a pas d’autre but), que de faire baisser (par exemple) de 25% les déficits commerciaux entre la Chine et les USA ! Un "effet" purement doctrinal, (ni plus, ni moins !) Le but de la manoeuvre est relativement facile à deviner, non ? D’ailleurs, le commentaire suivant est sans équivoque !, « … au final, nos soldes bilatéraux sont relativement peu modifiés par les nouveaux calculs et notre déficit total (il s’agit de celui de la France) reste bien entendu aussi élevé. », et j’ajouterai, que c’est (encore une fois) pour jeter l’opprobre sur la Chine (ou d’autres pays dits "émergents", de préférence !...), « …car que les emplois perdus le soient vis-à -vis de l’un ou de l’autre de leurs partenaires commerciaux ne change pas grand-chose. Bref, ce n’est pas avec des statistiques que l’on empêchera le débat politique. … ». Bien vu m’sieur Chavagneux !

Ce commentaire (mais pas l’analyse… of course !) est extrait de l’article cité plus haut (paru dans « Alternative économique » (N°321)).

…et combines comptables !

La création de sous-sociétés écran (les holdings), (généralement dans les paradis fiscaux ou dans les pays européens qui pratiquent le "mieux disant fiscal"), permet aux sociétés et entreprises de soustraire à l’impôt, (en escamotant - par un jeu d’écritures comptables - l’impôt sur les bénéfices du pays où lesdites sociétés et entreprises travaillent) de la manière suivante : elles rachètent elles-mêmes leur propre production, via les sous-sociétés écran (holding), évitant d’acquitter normalement le taux d’imposition sur les marges bénéficiaires du pays où lesdites sociétés et entreprises travaillent, jugé trop lourd par leurs honorables dirigeants-es…, les pauvres !

L’oraison funèbre d’une société agonisante Des fonctionnaires qui promènent à toutes les inaugurations (tous les hivers) leurs vieux pardingues usés jusqu’à la trame. Aucun (régime) gouvernement ou autres d’aucun pays ne résisterait à la révélation, publication, divulgation, de la vérité…

La loi des grandes fortunes (des plus grands nombres), c’est la loi qui gagne à tous les coups, comme les banquiers et la financiers, sont bien placées, hors d’atteinte, ne craignant plus personne, ni aucune loi. C’est comme chez l’homme, l’instinct de mort, la guerre et l’égoïsme occupent les meilleures places, et il faut être drôlement bouché pour (ne pas en parler) ne pas s’en apercevoir, car ils-elle (la mort, l’égoïsme et la guerre) étendent leurs ramifications, sur terre, sur mer, comme dans les airs, à toutes les époques et partout dans le monde… (mais hors des frontières de la sphère occidentale et de ses satellites !)
Avant pour laisser sa "marque" à la tête de l’Etat, (la plus haute fonction politique), - et donc de laisser une "trace" dans les manuels scolaires, comme « le plus ceci et le plus cela »… - ils construisaient un temple à leur gloire ou un mausolée à leur renommée , maintenant il déclare la * guerre !…, et choisissent un "petit" Etat (ancien gros client en matériels de guerre), mais dont le sous-sol regorge (en quantité astronomique) de ressources naturelles stratégiques (minéraux rares ou précieux, pétroles, gaz, etc.), et mettent toutes les chances de leur côté pour mieux détruire toutes ses infrastructures civiles et militaires (pour mieux le reconstruire via leurs propres sociétés-vautours), ils opèrent soit en bandes organisées (les coalitions circonstancielles), soit "seul" (c’est juste une apparence, car les autres requins ne sont jamais loin et veillent à leurs intérêts en embuscade !)

* Guerre dite "moderne" (les centaines de milliers de victimes civiles innocentes, meurent-elles de manière "moderne" ?), c’est-à -dire des bombardements massifs d’objectifs plus ou moins stratégiques (en tuant ou blessant des centaines de milliers de civils innocents, femmes, enfants vieillards…), envoi de drones, de commandos spéciaux (des tueurs sans foi ni loi, mais surpayés !) et leurs opérations tout aussi spéciales qu’eux !... D’autre part, plus personne ne croit au faux prétexte de la « guerre contre le "terrorisme" » (c’est du même tonneau que le baratin sur "les armes de destruction massive"), car les islamistes armés qui combattent au Mali, sont quasiment les mêmes qui combattent actuellement en Syrie contre le régime du président Assad !... D’ailleurs selon l’hebdomadaire « Marianne : « le mot terroriste traduit l’embarras de Paris, car les mêmes islamistes sont, peu ou prou, nos alliés contre le régime syrien du président Assad, dont la France est bien décidée à provoquer la chute, comme c’était le cas pendant la guerre de Libye en 2011 contre Mouammar Kadhafi ». Et de citer le juge Trévidic (l’un des juges du pôle antiterroriste français), qui " dans l’instruction de ses dossiers sur des cas de terrorisme présumé " se débat au quotidien au milieu de ces ambiguïtés : « Aller combattre le régime de Bachar El Assad, est-ce que c’est du terrorisme ? ». Allez savoir Monsieur le juge !…

Dernière minute : après le matraquage médiatique du « mariage pour tous » (?)…, (qu’on ne vienne pas me chercher…, je suis indécrottablement pour l’Union librement consentie (l’Union Libre) point !, pas besoin d’officialiser l’union de deux êtres (qu’importe le sexe, la nationalité ou le statut social) devant un quelconque pouvoir !...), sans oublier les malades mentaux, les taulards, les « sdf », les "sans papier", etc., etc., et après le matraquage médiatique sur la bidoche faisandée (tout le monde ou presque, sait depuis longtemps que les plats "mitonnés" industriellement, et les restaus où sévit (mal)bouffe "rapide", sont de véritables vacheries (pour ne pas dire « du poison dans l’assiette »), et c’est parce qu’ils sont bourrés de produits chimiques (conservateurs et autres babioles immondes) qu’il n’y a pas trop d’accidents à cours terme (sur le moyen terme et le long terme, c’est une autre histoire…, les cancers de l’estomac ou autres, c’est sur le moyen terme et le long terme qu’ils se déclarerons…, pas avant !... ou encore l’enneigement (en hiver !), soi-disant "historique", sans que personne ne vérifie quoique ce soit ! Pourquoi tant de haine, du moins en ce qui concerne le premier sujet, (même si pour certains-es, cette reconnaissance "officielle" serait un plus…, comme par exemple plus de "normalité" ? * (voir ci-dessous, l’introduction (encadré) d’un article, intitulé « La fabrique des débats publics », paru dans « Manière de voir » N°127), et pour d’autres un choix éthique, importants certes, mais il n’en demeure pas moins que des sujets touts aussi importants ont été évacués illico-presto !, d’autre part, après la création d’une sorte de « comité d’éthique », dont la composition est assez disparate, des femmes, des féministes, des associations (pro et anti), des psychiatres, des sociologue, des représentants de confessions religieuses, des psychologues, etc., qui ont pour objectif de transformer des opinions contradictoires, voire totalement antagonistes, en un discours universaliste !)

* « D’un côté une situation économique et sociale inouïe. De l’autre, un débat public mutilé, réduit à une alternative entre austérité de droite et rigueur de gauche. Comment se délimite l’espace des discours officiels, par quel prodige l’opinion d’une minorité se transforme-t-elle en « opinion publique » ? C’est ce qu’explique le sociologue Pierre Bourdieu dans ce cours sur l’Etat donné en 1990 au Collège de France. »
Alors pourquoi ce tapage médiatique ? Ne serait-pas par calcul politicien (des partis institutionnels et de leurs alliés) ? Attitude parfaitement cynique et pleine de mépris envers celles et ceux qui souffrent des conséquences de la "crise" ! (les conflits sociaux se multiplient (la liste est très longue et parfois ancienne), et le Normal, comme ses prédécesseurs ne tient pas ses promesses !), afin d’escamoter des sujets touts aussi graves et importants, que la guerre du Mali (la capacité de résistance des islamistes armés a intentionnellement été sous-estimée par l’état major français, afin de coller aux exigences médiatiques ("vendre" la guerre à l’opinion publique, c’est une chose, mais faire que ce mauvais deal corresponde au concept de guerre et "victoire" éclaires, en sera une autre ! L’armée française suréquipées a certes remporté une bataille, mais pas la guerre !, car la situation "idyllique" vendue à l’opinion publique, risque de salement basculer pour s’enliser dans le sable du désert…, le réveille pour le Normal et son état major risque d’être dur, très, très dur, car après l’esbroufe médiatique vient la réalité de terrain !, (le théâtre d’opération en l’occurrence), car dès à présent les islamistes armés imposeront leur stratégique, (comme en Afghanistan), et frapperont là ou ils veulent et quand ils le veulent, et ça va faire très mal, très mal ! …), les dernières concessions accordées par le Normal au Medef et aux Lobbys patronaux, le réveil des révolutions au Proche-Orient (en Tunisie et en Egypte), le « Nouvel aéroports de Nantes sud » (projet qui date des années 1970), et les antis qui luttent à NDDL (en Loire Atlantique), dont les Zadistes), l’affaire sarkozy-Lagarde-Tapie (scandale d’Etat !), etc. Pourquoi nous impose-t-on de tels choix éditoriaux alors que le monde bouge comme jamais ? La misère, les conflits ou la vie humaine auraient-ils-elles si peu d’importance ?...
Conclusion provisoire (ou la faiblesse de l’habillage légal)  : quand « la grande truanderie politicarde » affiche des ambitions électoralistes disproportionnées ; sarkozy-Tapie-Berlusconi, et leurs casseroles (sans compter les gamelles !) font irruption sur la scène mérdiatique et prétendent incarner le mécontentement (flou si flou) des électeurs-rices et prétendre défendre les intérêts des honnêtes citoyens-nes ?! On croit rêver !… Comme le chantait Georges Brassens, « quand on est con, on "nait" con ! », oser voter pour une telle engeance !… il faut vraiment en avoir une sacrée couche !

Allez, portez-vous bien… et à bientôt sans doute ? sergio

PS : ils ont rapidement passé sous silence la prise d’otage à IN Amenas par des islamistes armés, alors que de nombreux pays occidentaux étaient impliqués dans cette gigantesque prise d’otages… on attend toujours (et sans doute pour longtemps encore !), « Le bilan "définitif" de la prise d’otage sur le site gazier de IN Amenas… , qui sera rendu public lundi en milieu de journée, pourrait dépasser 80 morts, dont près de 50 otages. (définitif ?, pas si sûr…, saura-t-on jamais qui a fait quoi !…) source : « Le Monde ». Bien que celui-ci devait-être rendu public le lundi en milieu de journée, après la liquidation totale de tous les islamistes armés (et de leurs derniers otages), il n’en est plus question à ce jour… A la trappe !, allez, circulez, il n’y a plus rien à voir ! Mais que font ces m’ssieurs-dames les journalistes, si promptes à tartiner lorsqu’il s’agit d’un fait divers spectaculaire (ou même parfois tout-à -fait anodin), où sur les théâtres d’opération (la guerre quoi !), telle la guerre contre la Libye, ou contre la Côtes d’Ivoire, ou bien contre le Mali… Où êtes-vous m’ssieurs-dames les journalistes ?

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