Effectivement, "Ce n’est pas pareil".
Les tribuns qui haranguent les foules depuis lémédia "officiels" sont seulement bien pires que ceux qui tentent, preuves à l’appui, de nuancer les propos, ou même, avec courage, de carrément s’élever contre la doxa.
Si, soudain, le vent changeait de côté, je crains qu’alors ces raclures de plateaux télé ne se retrouvent dans la situation qui échut, en 1945, à un Robert Brasillach. Encre celui-ci, qui aurait pu s’enfuir, se livra-t-il pour sauver sa mère : il n’est pas certain que ces aboyeurs d’aujourd’hui auraient ce courage.
Non, "ce n’est pas pareil", ce qui se passe "dans nos démocraties" : c’est vraiment bien pire.