RSS SyndicationTwitterFacebookFeedBurnerNetVibes
Rechercher

Le clan Sarkozy et comparses : une sacrée bande de fripouilles

Guillaume Sarkozy, le frère de son homonyme célèbre, est aux premières loges pour faire les bons choix qui lui apporteront de substantiels bénéfices à la clef. C’est un secret de polichinel. Ce qui semble plus hazardeux au premier abord, c’est le pari qui est fait sur l’avenir par la famille Sarkozy.
En vérité, la dette de l’Etat grimpe inexorablement et le clan Sarkozy est bien au fait des effets de la loi n°73-7 du 3 janvier 1973 votée sous l’impulsion de Valéry Giscard d’Estaing, alors ministre de l’Économie et des Finances qui interdit au trésor public d’emprunter directement à la Banque de France sans taux d’intérêt. Alors que les comptes étaient en équilibre en 1973, la hausse soutenue de la dette publique atteint aujourd’hui des sommets, de l’ordre de 1500 milliards d’euros. Notre pays est à la limite de la cessation de paiement, entièrement soumis au dictat des marchés financiers. Ce modèle ne pourrait subsister sans apport de nouvelles recettes ponctionnées d’une manière ou d’une autre sur le dos des contribuables. Le durcissement des conditions ouvrant droit à une retraite est l’un de ses credo. Se serait une illusion d’avoir la crédulité de croire que cette réforme ne vise qu’à sauvegarder le système de retraite par répartition. Le gouvernement s’est bien gardé de nous avertir que la réforme des retraites en l’état actuel ne financera qu’un tiers du fond des retraites par répartition. Si la réforme passe, beaucoup de préretraités partiront en retraite à 62 ans avec une côte part bien inférieur au taux plein des 67 ans. La langue de Laurent Fabius s’est emballée le 1er octobre dernier et il prévient qu’à cette énième réforme, d’autres suivront sous peu. Il a confié sur la chaîne parlementaire les déclarations de Nicolas Sarkozy qui prétend que l’avenir de nos retraites est assuré est un « mensonge absolu ».

Certes, faire des affaires en famille est un penchant naturel. Guillaume Sarkozy est le délégué général du groupe Malakoff Médéric, fortement intéressé par le marchés des fonds de pensions qui se profilent dans un avenir proche. Rien de répréhensible en l’état des choses. Mais notre Président aurait abusé de son pouvoir d’influence selon Médiapart qui révèle que "Guillaume Sarkozy a engagé son entreprise dans une politique visant à en faire un acteur majeur de la retraite complémentaire privée. Et il a trouvé des alliés autrement plus puissants que lui, en l’occurrence la Caisse des dépôts et consignations (CDC), le bras armé financier de l’Etat, et sa filiale la Caisse nationale de prévoyance (CNP). Ensemble, tous ces partenaires vont créer, le 1er janvier prochain, une société commune qui rêve de rafler une bonne part du marché qui se profile." "Cette société n’aurait jamais vu le jour sans l’appui de l’Elysée", précise Médiapart, François Pérol, l’ancien secrétaire adjoint de l’Elysée veillant au grain.

"Simple..." conflit d’intérêt ?

URL de cet article 11770
  

CUBA OU L’INTELLIGENCE POLITIQUE - Réponses à un président des États-Unis (Livre format PDF)
Jacques-François BONALDI
365 JOURS APRÈS Aujourd’hui 22 mars 2017, voilà un an jour pour jour que Barack Obama entrait de son pas caractéristique sur la scène du Grand Théâtre de La Havane pour une première : un président étasunien s’adressant en direct et en personne au peuple cubain. Trois cent soixante-cinq jours après, que reste-t-il de ce qui était le clou de sa visite de deux jours et demi à La Havane ? Pas grand-chose, je le crains… Les événements se déroulent maintenant si vite et tant de choses se sont passées depuis – (...)
Agrandir | voir bibliographie

 

"Bon, j’imagine que vous ne pouvez tout de même pas tuer vos subordonnés"

seule réponse fournie par les élèves d’une école de commerce de Philadelphie
lorsque le professeur demanda à ses élèves de lui donner un exemple de
comportement repréhensible dans une entreprise.

Cité par Serge Halimi, dans le Monde Diplomatique de février 2005, page 2

Médias et Information : il est temps de tourner la page.
« La réalité est ce que nous prenons pour être vrai. Ce que nous prenons pour être vrai est ce que nous croyons. Ce que nous croyons est fondé sur nos perceptions. Ce que nous percevons dépend de ce que nous recherchons. Ce que nous recherchons dépend de ce que nous pensons. Ce que nous pensons dépend de ce que nous percevons. Ce que nous percevons détermine ce que nous croyons. Ce que nous croyons détermine ce que nous prenons pour être vrai. Ce que nous prenons pour être vrai est notre réalité. » (...)
55 
Le fascisme reviendra sous couvert d’antifascisme - ou de Charlie Hebdo, ça dépend.
Le 8 août 2012, nous avons eu la surprise de découvrir dans Charlie Hebdo, sous la signature d’un de ses journalistes réguliers traitant de l’international, un article signalé en « une » sous le titre « Cette extrême droite qui soutient Damas », dans lequel (page 11) Le Grand Soir et deux de ses administrateurs sont qualifiés de « bruns » et « rouges bruns ». Pour qui connaît l’histoire des sinistres SA hitlériennes (« les chemises brunes »), c’est une accusation de nazisme et d’antisémitisme qui est ainsi (...)
124 
L’UNESCO et le «  symposium international sur la liberté d’expression » : entre instrumentalisation et nouvelle croisade (il fallait le voir pour le croire)
Le 26 janvier 2011, la presse Cubaine a annoncé l’homologation du premier vaccin thérapeutique au monde contre les stades avancés du cancer du poumon. Vous n’en avez pas entendu parler. Soit la presse cubaine ment, soit notre presse, jouissant de sa liberté d’expression légendaire, a décidé de ne pas vous en parler. (1) Le même jour, à l’initiative de la délégation suédoise à l’UNESCO, s’est tenu au siège de l’organisation à Paris un colloque international intitulé « Symposium international sur la liberté (...)
19 
Vos dons sont vitaux pour soutenir notre combat contre cette attaque ainsi que les autres formes de censures, pour les projets de Wikileaks, l'équipe, les serveurs, et les infrastructures de protection. Nous sommes entièrement soutenus par le grand public.
CLIQUEZ ICI
© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.