Le Figaro : démissions massives de journalistes

On craignait le pire dans les entreprises depuis qu’Emmanuel Macron a constaté que « la vie d’un entrepreneur est plus dure que celle d’un salarié ».
Valérie Collet, du Figaro, a mené l’enquête (1) à la SNCF et, sous le titre : « Cheminot, un statut envié », elle nous révèle que, certes les cheminots travaillent le week-end, la nuit et que « les rémunérations restent basses », mais des avantages ahurissants pullulent : jours de congés, retraites (à taux plein avec 166 trimestres seulement, c’est-à-dire 41 ans et demi de travail), facilités de circulation (billets gratuits), garantie de l’emploi, accès aux soins spécifique (centres de soin dans toute la France et mutuelles cheminotes).
Ecoeurée, elle envisagerait de quitter le Figaro (avec une bonne partie de la rédaction) pour aller travailler sur les voies ou pour conduire un RER.
Théophraste R.