« L’ancienne ministre UMP Roselyne Bachelot siègera au sein de la commission [de 12 membres] sur la rénovation de la vie publique, présidée par Lionel Jospin… ». (Le Figaro, 16 juillet).
Réactions furibardes des lecteurs dont l’un (approuvé par bien d’autres) déplore que la déontologue fuchsia, maman d’un grand garçon (Pierre, diplômé de l’institut supérieur des arts de Paris) ait surtout le sens de la famille :
Pierre « devient l’assistant parlementaire de sa mère alors députée, 10 ans, assistant au ministère de l’écologie lorsque sa mère était ministre de l’écologie 2002, assistant au ministère de la santé lorsque sa mère était ministre de la santé 2007.
Puis nommé par sa mère en 2010 comme chargé de mission au poste de "responsable de plaidoyer de la santé dans toutes les politiques publiques" à l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes), établissement sous la tutelle du ministère de la santé et donc de sa mère Roselyne Bachelot ».
Où est le problème ? La preuve est faite qu’elle sait sur quoi elle va plancher.
Théophraste R. (Billetiste au GS, fils de Viktor Dedaj, gendre de Maxime Vivas, amant de... heu, non, rien).
PS. « Je me retire de la vie politique », qu’il disait.