Quel beau cadeau de Noël ! Quatre ans après son départ, Marion Bartoli annonce officiellement son retour.
Bien qu’ils soient honteux et confus les tennismen français qui résident comme elle en Suisse ne se résolvent pas à la suivre. Dame, quitter la mer d’émeraude, les plages de sable blanc, les cocotiers, les aras multicolores, la douceur du climat tropical helvète, c’est dur de chez dur !
Aïe ! on m’annonce dans l’oreillette droite qu’elle revient pour jouer, pas pour habiter ni payer ses impôts.
Remarquez, persifle l’oreillette gauche, si c’est pour jouer, elle aurait pu rester en Suisse où se trouvent pratiquement tous ses adversaires (1).
Théophraste R. (Auteur des tags : « Ne pas confondre : raquette et racket, hernie discale et exil fiscal » et « Marion, on te dit pas Bercy »).
Note (1). Un humoriste observateur n’a-t-il pas prétendu que, pour affronter l’équipe de tennis suisse, l’équipe de France n’a qu’à traverser la rue ?