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Philippe Val, propagateur de calomnies et docteur ès déontologie, Henri Maler et Mathias Reymond.








Acrimed, mardi 10 avril 2007.


Omniprésent dans les grands médias (pour vendre son journal, son livre, son CD, ses concerts, ses idées...) [1], Philippe Val n’a plus le temps de s’informer avant d’écrire... Mais il n’en a pas besoin pour infliger des leçons de journalisme et multiplier mensonges et calomnies. Ses dernières victimes en date ? L’extrême gauche et Noam Chomsky. (...)

La scène se passe le 7 mars 2007, lors de l’émission « Impertinences » , animée par le très pertinent Bruno Masure, sur « La Chaîne Parlementaire » (LCP-AN). Question impertinente et pertinente du jour : « La télé vote-t-elle à notre place ? » avec comme invités le surprenant Pierre-Luc Séguillon et l’inattendu Philippe Val . Extraits des propos de ce dernier [5] :

Philippe Val : « Il y a quelque chose qui devrait nous faire réfléchir, c’est que vous parliez du référendum européen où le non l’a emporté alors que les médias majoritairement étaient pour lui et d’ailleurs, moi-même à Charlie, j’ai défendu autant que j’ai pu le oui, mais ce qui nous a fait perdre on pourrait dire c’est Internet. Et, les gens font confiance à Internet alors que rien n’y est contrôlé, c’est le domaine de la paranoïa et du complotisme et il n’y a pas d’éthique comme il peut y en avoir dans une rédaction quelle qu’elle soit pratiquement en France. Et bien pourtant, c’est ça à quoi les gens ont adhéré plus facilement encore. [...] »

Passons sur l’explication de la victoire du « non » par le rôle pervers d’Internet : toutes les bêtises ne doivent pas être commentées. Et retenons la phrase soulignée. Sa densité est telle que Philippe Val éprouve le besoin de la préciser quelques temps après : « Je pense qu’il y a du souci à se faire, si c’est le cas [si Internet se substitue aux médias classique] parce que la presse est régie par des lois quand même et Internet c’est la jungle. C’est la jungle où le mensonge le plus hallucinant n’est sanctionné par pratiquement rien ... » [6] Mais ceux de Val dans « la presse » ne le sont apparemment pas non plus... (...)

- Lire l’ article www.acrimed.org/article2596.html




Médias et sondages : la manipulation de l’opinion publique, par La Riposte.






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Informer n’est pas une liberté pour la presse, mais un devoir. La liberté de la presse a bien une limite : elle s’arrête exactement là où commence mon droit à une véritable information.

Viktor Dedaj

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