Reprenons donc :
Il a fait toute sa carrière au PS, sénateur plusieurs dizaines d’années, puis secrétaire d’État à l’enseignement technique, il n’a rien trouvé à redire à Maastricht ni à Schengen ni le traité d’Amsterdam, peut être même approuva t-il l’acte unique de 1986, sur Bologne et la stratégie de Lisbonne concernant l’enseignement avec les conséquences qu’on sait, il a approuvé, sur la privatisation des services publics de réseau décidée en 2002 à Barcelone, on n’ose regarder dans quelle direction il regardait et ce que ses silences cachaient... qui est-il ?
Attention à la purification éthique, c’est un peu comme les quartiers de noblesse, faut pas remonter trop haut. Par ailleurs les néo-convertis sont souvent ceux qui hurlent le plus fort. (le plus Faure).