Théo, merci pour la pub sur mon bouquin (La face cachée de Reporters sans frontières), sorti trop tôt (2007). En effet, tous les journalistes que je rencontrais savaient déjà qui était Ménard, et aucun ne pouvait l’écrire. Donc, j’étais officiellement un "vitrioleur".
Je rappelle aussi que j’ai publié en pleine campagne électorale des municipales un opuscule (70 pages, 7 euros) : « L’irrésistible déchéance de Robert Ménard, candidat du Front National » (Editions Arcane 17) où tout était dit sur Ménard, sur son passé, sur ses amitiés politiques. Et, donc, sur ce qui attendait les Biterrois.
A l’invitation d’EELV, j’étais allé en parler à Béziers.
– Ménard avait vivement reproché au secrétaire local d’EELV de m’avoir invité et il avait annoncé le dépôt d’une plainte contre moi sous prétexte (faux) que je l’avais traité de "salaud".
– Le responsable local du PCF m’a remonté les bretelles : écrire sur Ménard c’était le promouvoir, ce n’était pas l’adversaire principal, etc.
– J’ai été approché par la bande par l’UMP (mairie sortante) et j’ai fait le sourd.
– Mon livre a été beaucoup moins médiatisé et diffusé à Béziers que le moindre mensonge de Ménard, élu maire.
Bref, c’est parce que je suis maso que je ne me consacre pas à l’écriture d’un grand (900 pages) roman d’amour.
MV