
Souvent à mauvais chien tombe un bon os en gueule.

« Quelquefois, je regarde la télévision ; c’est terrible ! Parfois, je l’allume ; c’est pire ! » (Patrick Timsit).
J’ai vérifié ce constat hier soir en assistant au numéro des duettistes Juppé/Fillon qui méprisent les sans-dents et veulent être aimés d’eux, qui promettent aux pauvres plus de pauvreté, qui sollicitent leurs suffrages et qui, peut-être, les auront en avril et mai 2017.
Si l’un des deux est élu, cela sera grâce à la division de la gauche boutiquière. Boutiquière et vénale : tous les candidats ont accès aux médias, ils y sèment des fruits qui seront mûrs pour les législatives sous forme de voix qui déterminent le montant des subventions (1). Ainsi sont assurées l’intendance des partis et la subsistance de permanents .
Bien entendu, l’os abandonné par la meute des lécheurs de miettes échoira dans la gueule de la droite.
Bon, contre la sinistrose, ouvrons le tiroir à citations :
André Gide : « Le monde ne sera sauvé, s’il peut l’être, que par des insoumis » (Journal 24 février 1946).
Mon Oreillette : « Et notre pays ne sera sauvé, s’il peut l’être, que par la France Insoumise » (25 novembre 2016).
Théophraste R. (Président du mouvement TSLPS-LLR-LFN(Tout sauf le PS, le LR, Le FN).
(1) Voir :https://fr.wikipedia.org/wiki/Financement_des_partis_politiques_fran%C3%A7ais