Ouest France, 24 juin 2019 : « Quatorze personnes qui participaient à une soirée électro, dans la nuit du vendredi 21 au samedi 22 juin, ont chuté en Loire après l’intervention des forces de l’ordre lors de la Fête de la musique à Nantes. Mais un jeune homme est toujours porté disparu. Des recherches sont en cours ».
Notez que les baigneurs nocturnes ont « chuté » (maladroits, imprudents, avinés…) et que les cops n’y sont pour rien car cela s’est produit « après » l’attaque policière.
Castaner a annoncé une enquête de l’Inspection générale de la Police nationale (IGPN) dont la cheffe vient de dire qu’il n’y a pas eu de violence policière contre les Gilets Jaunes, passants ou vieille dame à sa fenêtre.
Circulez (dans la Loire, ou au fond) y a rien à voir.
Voici un reportage (presque vrai) de BFMTV : « Eh bien, je me trouve sur le quai de Nantes où un bal eh bien y était donné et où des jeunes obstinés eh bien sont venus danser et où le quai s’est écroulé et où eh bien 14 jeunes gens, à l’approche de la police se sont jetés dans les flots noirs de la Seine. Ceux qui ont cru à une arrivée de voyous ont continué à boire tranquillement eh bien leur bière et sont restés secs. L’identité des baigneurs nocturnes eh bien a été relevée et une amende de 135 euros leur a été eh bien infligée en application eh bien de l’arrêté signé par le maire de, heu, de Nantes qui interdit les burkinis dans la Garonne. Un baigneur s’est débrouillé pour ne pas payer. Il est activement recherché par les sapeurs-pompiers, les hommes-grenouilles et les femmes -crapaud qui fouillent le Rhône ».
« Merci Anne-Sophie Bécassine. Retour dans le studio pour notre débat : Faut-il écouter de la musique au bord du Rhin quand on sait que la police risque d’arriver ? Si oui, faut-il rendre obligatoire les gilets, non pas jaunes, mais de sauvetage ? Pour en parler, etc… ».
Théophraste R. Auteur du calembour policier : « Pousse-toi de là que je t’humecte » et de la nouvelle noire (inachevée) : « Chef, ils ont des tronches de Gilets Jaunes mais pas de lunettes de piscine, je les jette à l’eau ? Ben oui, t’as peur de quoi ? De l’IGPN ? Il est con, çui-là ! A croire qu’il est de la BAC ».