24 février 2017
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Trois règles, trois visions du Monde
Éric Coquerel
Marine le Pen rêve d’un adversaire. Elle l’a même fixé le week-end dernier lors de son entrée en campagne à Lyon : Emmanuel Macron. Il est vrai que Marine Le Pen aime la mauvaise dépression qui souffle depuis l’autre côté de l’Atlantique. Elle s’identifie donc à Donald Trump face à Clinton/Macron. Un protectionnisme xénophobe, haineux et violent contre le symbole du libre-échangisme. Elle aspire évidemment au même scénario. Oui mais voilà, en France Bernie Sanders est toujours en course. Il (…)


