L’Afrique du Sud a demandé à la Cour internationale de justice de déclarer Israël coupable d’"actes génocidaires" à Gaza. Les architectes de la Convention sur le génocide ont voulu qu’elle soit utilisée pour mettre fin aux massacres de civils avant qu’il ne soit trop tard.
La requête de l'Afrique du Sud (longue et détaillée) a été traduite (traduction automatique) et se trouve en pièce jointe. Voici son introduction. En complément, vous trouverez la réaction (ça secoue) du Ministère des Affaires étrangères israélien.
La diatribe de Wendy Kahn à mon encontre ("Naked Jew-hatred behind Kasrils' feting of Hamas atrocities" - Politicsweb, 28 novembre) n'est pas surprenante. Les sionistes et leurs soutiens dans tout l'Occident, y compris leurs mandataires locaux, ne sont capables de pleurer que pour leur propre espèce. Ceux d'entre nous qui insistent sur la reconnaissance universelle de l'humanité sont désormais régulièrement traités d'"antisémites".
Qu’est-ce que les grèves de Bobby Sands, Nelson Mandela et des prisonniers palestiniens ont en commun ?
Une interview du vétéran de la lutte contre l’apartheid et ami de Nelson Mandela décédé à l’âge de 87 ans.
[Mandela] était un personnage complexe – il était à la fois un aristocrate d‘essence royale et un paysan ; un intellectuel et un homme ordinaire ; Il était une combinaison de tant de caractéristiques différentes ... On ne pouvait pas le cataloguer, on ne pouvait pas le définir en un seul mot. (Ahmed Kathrada)
Cuba. En longs cortèges silencieux, dans la douleur et le recueillement, le peuple cubain en deuil a rendu un ultime hommage, fait de dignité et d’affection, à son Comandante en Jefe
Fidel Alejandro Castro Ruz. Figure de légende moderne. Comme lui, aucun autre. Avec lui, l’humanité entière, ou presque. Depuis ce soir du 25 novembre 2016, par millions, dizaines, sans doute centaines de millions, des hommes et des femmes ont témoigné leur respect, leur admiration pour le leader historique de la Révolution cubaine. Sur l’île bien sûr, et plus loin. Partout dans le monde.
Le départ de Fidel Castro à ses 90 ans a été l’occasion pour les adversaires de la révolution cubaine de reprendre le mantra idéologique en faveur d’une démocratie abstraite, tout en évitant d’aborder ses acquis sociaux et de développement humain. Mais la politique étrangère de Cuba a été d’une cohérence remarquable et son impact a été salué par de nombreuses personnalités, y compris par ses ennemis. Quels sont les principes révolutionnaires qui ont motivé Fidel Castro depuis 1959 et qui restent l’objet d’un féroce acharnement médiatique ? Nous avons posé cette question et beaucoup d’autres à Piero Gleijeses (1), un expert reconnu en politique étrangère cubaine.