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Thème : José BOVE
Paroles d’escrocs

Bové, Cohn-Bendit : « L’accord des Verts avec La France insoumise est une escroquerie »

Maxime VIVAS

Il y a quelques années, je discutais, dans le hall d’un hôtel de Toulouse, avec Viktor Dedaj et Ramon Chao (père d’Antoine et Manu Chao), ex-rédacteur en chef du service Amérique latine de RFI, collaborateur du Monde, du Monde Diplomatique, grand connaisseur de Cuba sur lequel il a écrit des articles et des livres. A un moment, il a posé son index sur la table basse et il a dit : « Cuba ! Quand je veux savoir le niveau politique d’un interlocuteur qui me parle des affaires du monde, j’oriente la discussion sur Cuba. Et je sais aussitôt qui il est et ce qu’il comprend de la politique internationale ».

C'est une leçon que je n'ai jamais oubliée. J'ai testé le truc plusieurs fois. C'est un gain de temps terrible : en moins de deux, mon interlocuteur est nu. Dans un article intitulé « Cuba - José Bové savate le tiers monde » publié le 14 mars 2007 sur Le Grand Soir, j'ai ainsi déshabillé José Bové et je l'ai montré (il y a 15 ans !) tel qu'on le découvre aujourd'hui quand il s'acoquine avec Cohn-Bendit pour dénoncer l'accord historique de la « Nouvelle Union populaire écologique et sociale » (NUPES). En deux mots : José Bové s’est rendu à Cuba du 3 au 7 septembre 2001 pour participer au Forum mondial sur la souveraineté alimentaire, avec 400 participants du monde entier à l’appel de Via Campesina. Le 25 Septembre 2003, lors de l’émission « 100 minutes pour convaincre », sur France 2, interrogé sur Cuba par Bernard Kouchner, José Bové esquive en répondant (de mémoire) : « J’ai été expulsé de Cuba par Castro pour avoir dit des choses qui lui déplaisaient ». Cette expulsion, José Bové lui-même l’ignorait une (...) Lire la suite »
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Bové, Fabius, Jouyet, Kouchner, la quadrette vertueuse.

Laurent Fabius à Cuba : « Mais qui a gardé son gosse (1) » ?

Maxime VIVAS

En 1986, le Premier ministre, Laurent Fabius accorde l’asile (pour 8 jours, jure-t-il afin de calmer les cris d’indignation) au dictateur d’Haïti, Bébé Doc, en cavale après avoir fait massacrer 60 000 personnes dont des écoliers de moins de dix ans.

L'assassin est resté un quart de siècle chez nous. Voir : http://www.legrandsoir.info/Laurent-Fabius-a-egare-son-dictateur.html Le 25 Septembre 2003, lors de l’émission de France 2 « 100 minutes pour convaincre », José Bové, classé alors à gauche et proche des mouvements de libération latino-américains, est interrogé sur Cuba. Il répond (de mémoire) : « J’ai été expulsé de Cuba par Castro pour avoir dit des choses qui lui déplaisaient ». Le questionneur, qui cherchait à le mettre en difficulté, était Bernard Kouchner, un éléphant du parti solférinien qui est devenu en 2007 ministre des Affaires étrangères et européennes des gouvernements UMP de François Fillon. Le 29 octobre 2005, dans Libération , Laurent Fabius s'alarme : « Répression à Cuba, il faut agir ». Et de dénoncer les « conditions de détention barbares » imposées là -bas aux « combattants de la liberté » dont plusieurs font « une grève de la faim de plusieurs semaines ». Il invite à se mobiliser contre un régime qui « démontre une fois de plus son (...) Lire la suite »

José Bové, du Larzac à l’Europe

Chien Guevara

Quoi ? J’ai bien lu ? Un leader de l’altermondialisme pourrait devenir le chef de la communauté européenne !

"José Bové pourrait succéder à Barroso à la tête de la commission européenne..."

Feed-back en 2005 : le rassembleur de la gauche de la gauche En octobre 2005, pour faire avancer les revendications portées par le « Non de gauche » à la Constitution européenne, José Bové déclare que selon lui, des alliances entre mouvements seront nécessaires et n'exclut pas, si la tâche lui est confiée, de se porter candidat à l'élection présidentielle de 2007 dans le cadre d'une unité des forces anti-libérales. Le 13 juin 2006, il se déclare candidat à la présidentielle dans un entretien au journal Libération13, s'estimant le plus apte à rassembler la gauche de la gauche. 2007 : le porte-étendard de l'altermondialisme Ancien leader paysan, contestataire et radical dans l’âme, José Bové, 53 ans, vedette de l’altermondialisme, dont la candidature présidentielle sera restée incertaine jusqu’au bout, est un pacifiste, mais capable d’actions musclées. Il s’est notamment consacré à la lutte contre la « logique libérale », la mondialisation et les produits transgéniques. Il devient le porte-étendard de (...) Lire la suite »

Cuba - José Bové savate le tiers monde.

Maxime VIVAS
Mercredi 14 mars 2007. Joseph (de son vrai prénom) Bové est-il homme à utiliser les médias pour savater un pays pauvre (menacé de mort par l'Empire) si cela sert sa carrière ? La réponse est oui. Hésite-t-il à mentir pour justifier l'agression ? La réponse est trois fois non. Démonstration : José Bové s'est rendu à Cuba du 3 au 7 septembre 2001 pour participer au Forum mondial sur la souveraineté alimentaire, avec 400 participants du monde entier à l'appel de Via Campesina, invité par l'ANAP (Associacion Nacional de Agricultores Pequenos de Cuba). Le 25 Septembre 2003, lors de l'émission « 100 minutes pour convaincre », sur France 2, interrogé sur Cuba par Bernard Kouchner, José Bové esquive en répondant (de mémoire) : « J'ai été expulsé de Cuba par Castro pour avoir dit des choses qui lui déplaisaient ». Cette expulsion, José Bové lui-même l'ignorait une seconde avant de l'inventer pour la télé. Le 3 mars 2007 à 14 heures, dans l'émission « chez F.O.G. » sur France 5, Bové s'entend reprocher son « (...) Lire la suite »
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