Dans la colonne de droite de cette page du Grand Soir, José Fort révèle quelques vérités sur le président polonais qui s’est crashé avec sa smala.
On y apprend notamment que ce chef d’Etat avait institué la loi dite de « lustration » visant tous ceux qui avaient travaillé avec les communistes.
Il avait également voulu, « abolir les retraites des anciens brigadistes en Espagne républicaine », c’est-à -dire contraindre à l’indigence dans leur grand âge les héros qui partirent en terre espagnole combattre le sinistre Franco.
José Fort conclut : « Lech Kaczynski est mort. Tristesse pour sa famille. Nous, nous ne le regretterons pas ».
La honte s’abatte sur moi comme un aéronef près de l’aéroport militaire de Smolensk, dans les environs de Moscou mais, allez savoir pourquoi, Pierre Desproges me souffle à l’oreille : « Le jour de la mort de Brassens, j’ai pleuré comme un môme. Alors que - c’est curieux - mais, le jour de la mort de Tino Rossi, j’ai repris deux fois des moules ».
Théophraste.