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Droit de réponse d’ACRIMED : Une mise en cause injustifiée

Nous publions ici un droit de réponse du CA d’Acrimed que nous avons reçu le 11 juillet 2011.

Cher Grand Soir,

De façon indirecte puis frontale, vous avez mis en cause Acrimed sur la base des écrits de l’une de ses adhérentes, Ornella Guyet - articles publiés sur d’autres sites que le nôtre, sous sa propre responsabilité et sans qu’elle ait à nous demander notre accord préalable. Vous l’avez fait en dénonçant notre prétendue « complicité passive » et en publiant un courrier interne, commenté de façon malveillante, notamment à la une de votre site - sans avoir jamais cherché à nous contacter directement (si ce n’est pour nous demander la liste des membres de notre CA). Sans préjuger de ses suites, une discussion de vive voix aurait été préférable. Une rencontre - que vous dites souhaiter - reste nécessaire, comme nous vous l’écrivions dans un courriel du 26 juin. Or, il s’avère que cette rencontre est désormais improbable, du moins avant le mois de septembre.

C’est pourquoi, mis en cause publiquement sur votre site, nous vous adressons sans attendre ce droit de réponse dans l’espoir de lever notre condamnation par contumace.

1) Acrimed n’est pas seulement un site : c’est une association. Si nous sommes une association, ce n’est pas seulement pour des raisons juridiques, mais parce que nous nous efforçons de faire vivre une action collective. Or l’action collective impose des obligations démocratiques auxquelles on ne saurait se soustraire : Acrimed fait donc prévaloir les positions collectives, librement discutées entre ses adhérents, sur les imprécations individuelles (qui se répandent anonymement sur les forums).

C’est pourquoi nous nous sommes efforcés, avant d’intervenir publiquement, de discuter de vive voix avec Ornella Guyet dans le cadre du CA ouvert (Conseil d’administration pour la Préfecture, Collectif d’animation entre nous) auquel elle participait régulièrement.

Que serait une association qui, publiquement, discuterait, critiquerait ou condamnerait les prises de position individuelles de l’un-e de ses adhérent-e-s, même quand elles n’engagent pas directement la responsabilité de l’association, sans avoir débattu de vive voix avec lui ou avec elle ? La patience démocratique a un coût que nous avons assumé et que nous assumerons, en dépit de toutes les mises en demeure. La patience démocratique, mais aussi les obligations de la camaraderie et même de l’amitié, qui ne sont pas tout à fait étrangères à la notion d’« association ».

C’est pourquoi nous nous sommes bornés, dans un premier temps, à alerter les adhérents d’Acrimed par une mise au point destinée à récuser toute responsabilité d’Acrimed sur le contenu et la publication des articles incriminés, à répliquer aux accusations de l’UPR qui visaient Ornella Guyet et indirectement Acrimed comme agents réels ou potentiels de la CIA, et à rappeler la définition politique minimale de notre association.

La mise au point adoptée par notre CA, et reproduite sur votre site, nous semblait pourtant claire : nous ne sous sommes à aucun moment solidarisés des articles et prises de position d’Ornella Guyet vous concernant, parus sur d’autres sites que le nôtre, notre responsabilité n’étant engagée que par les articles que nous publions nous-mêmes (ceux d’Ornella étant dans ce cadre des articles d’Acrimed) ; nous lui avons en revanche apporté notre soutien face aux accusations grotesques et scandaleuses portées par l’UPR, accusations qui, de surcroît, atteignent, par ricochet, Acrimed.

2) La patience démocratique à un coût, que nous sommes prêts à payer. Mais elle a aussi des limites.

Faute d’avoir obtenu d’Ornella Guyet, malgré notre insistance et plusieurs relances, qu’elle participe à une discussion, nous nous considérons comme déliés de notre réserve, même si notre solidarité associative lui reste acquise face aux accusations et aux menaces de procès émanant de l’UPR, que nous nous gardons de confondre avec la controverse qui vous oppose à elle.

Dès que nous avons estimé que nous étions déliés de notre réserve, nous avons écrit à l’équipe du Grand Soir pour répondre à son souhait de nous rencontrer et le reprendre à notre compte : tout simplement parce que nous sommes convaincus qu’une discussion de vive voix (et amicale, pourquoi pas ?) aurait permis de lever les malentendus et de circonscrire les désaccords quand ils existent, avant toute prise de position publique de notre part. Cette rencontre n’a pas été possible jusqu’à présent.

3) Association de critique des médias, Acrimed sortirait de son rôle en s’engageant dans une polémique politique sur les orientations des sites alternatifs quels qu’ils soient. En revanche, nous ne sortons pas de notre rôle, bien que notre cible prioritaire soit le journalisme dominant, en évaluant leurs pratiques journalistiques et les pratiques journalistiques qui les concernent.

- C’est pourquoi nous récusons les accusations de complaisances négationnistes ou antisémites portées contre Le Grand Soir dans l’article signé Marie-Anne Boutoleau (ainsi que dans ses réponses sur le forum d’Article 11), notamment et précisément parce qu’elles sont fondées sur des pratiques journalistiques que nous critiquons régulièrement (et que vous avez relevées à votre façon) : erreurs factuelles et amalgames confusionnistes, extrapolations et généralisations abusives, etc.

- Partisans inconditionnels de la liberté d’expression, nous réprouvons les « enquêtes » bâclées quelles que soient leurs cibles, médias dominants ou médias alternatifs de toute obédience, et bien sûr, qu’il s’agisse du Grand Soir ou… d’Acrimed.

- Enfin, si nous sommes hostiles aux recours aux procès en diffamation quand ils visent à interdire toute critique, nous sommes attachés au respect du droit de réponse chaque fois qu’il se propose de rectifier des critiques factuellement erronées ou des jugements considérés comme infâmants.

4) Mais ce n’est pas tout, et nous le regrettons. Vous êtes affligés de ne pas avoir lu sous notre plume une condamnation publique et immédiate de l’article paru sous le pseudonyme de Marie-Anne Boutoleau et Rashkounine ? Soit. Mais nous le sommes aussi de constater que vous avez repris, s’agissant d’Acrimed, des procès d’intention et des accusations gratuites que vous condamnez lorsque d’autres y recourent contre vous. Nous le sommes surtout de voir que vous reproduisez sans la moindre prise de distance - au contraire - « l’enquête » de Monsieur Asselineau de l’UPR qui utilise de façon caricaturale ces mêmes méthodes qu’il prétend, comme vous, réprouver.

- Un pseudonyme peut protéger pour des motifs légitimes celui ou celle qui y recourt. La divulgation par Monsieur Asselineau de l’identité véritable de Marie-Anne Boutoleau (rendue possible par le détournement d’une correspondance privée) est un acte indéfendable : il n’est en rien justifié par le droit de réponse que Monsieur Asselineau était en droit d’exiger.

- L’accusation à peine masquée portée contre Ornella Guyet par l’UPR d’être un agent, réel ou potentiel, de la CIA (ou de l’impérialisme américain) sous le prétexte notamment d’une intervention devant quelques étudiants de l’Université américaine de Paris, réalisée au nom d’Acrimed et sur mandat du CA relève de la calomnie, contre Ornella… et contre nous. Si Ornella Guyet (qui n’a pas choisi d’être présentée comme « Professor ») est bien intervenue, en compagnie d’un autre adhérent, auprès des étudiants américains, cela aurait pu être le cas de n’importe quel porte-parole choisi par notre association. Fouiller les poubelles de Google, sans vérification ni recoupement, n’est en rien une enquête. Cela vaut également pour les imputations sans preuve contre Rébellyon et Indymédia… Et, bien sûr, contre Le Grand soir.

Nous condamnons ces méthodes quelles que soient les personnes qu’elles visent et les buts qu’elles prétendent servir.

Vous l’avez compris : nous estimons que la polémique que vous avez engagée publiquement avec Acrimed, et à laquelle nous avions jusqu’à présent refusé de répondre, est sans fondement, et à tous égards regrettable. Peut-être ce droit de réponse et une rencontre permettront-ils d’y mettre un terme, pour peu qu’ils ne soient pas de simples prétextes à poursuivre un procès injustifié. Nous le souhaitons.

Bien à vous

Pour le CA d’Acrimed.

Henri Maler, Olivier Poche, Mathias Reymond et Julien Salingue


Le Grand Soir à ses lecteurs

La raison d’une dispute ? Un article crapuleux et calomniateur écrit le 28 mars sur le site Article XI par une « collaboratrice régulière » d’Acrimed, suivi de la révélation par l’UPR (Union pour la République, de François Asselineau) de sa vraie identité et d’un long silence d’Acrimed, pourtant alerté par LGS, nos lecteurs et les siens.

Dans les échanges qui ont eu lieu entre Acrimed et LGS (articles, commentaires de lecteurs, mails), le ton est monté et la question de fond s’est effacée devant des échauffements d’épiderme.

Le ton paraîtra par endroit polémique (l’épiderme !). Notre réponse qui suit le paraîtra sans doute aussi (toujours l’épiderme !).

Mais peut-être le lecteur notera-t-il l’essentiel : le 11 juillet, Acrimed nous apprend qu’Ornella Guyet, qui se targuait d’être une de ses adhérentes et collaboratrices régulières, refuse désormais toute discussion explicative avec le CA d’Acrimed dont elle est une participante assidue, que l’association se dit déliée de sa réserve à son égard, qu’elle récuse les accusations portées par sa collaboratrice contre Le Grand Soir, qu’elle dénonce ses pratiques journalistiques (« erreurs factuelles et amalgames confusionnistes, extrapolations et généralisations abusives, etc. »).

Par ailleurs, LGS n’a jamais (hormis le cas O. Guyet) mis en cause un seul collaborateur d’Acrimed ou émis la moindre critique sur le travail de cette association (au contraire).

Pour conclure, il semblerait que la calomniatrice aura désormais du mal à étayer ses futurs écrits en exposant le nom d’Acrimed.

Internet n’en sera que meilleur.

Notre réponse à ACRIMED

Cher CA d’Acrimed,

Nous publions, comme demandé, votre droit de réponse (et nous excusons pour le délai, congés obligent) sans pour autant comprendre pourquoi vous vous êtes sentis en devoir de l’adresser au Grand Soir parce que, après tout, nous n’étions pas les seuls à nous étonner de votre silence. Nous nous bornerons donc à répondre ad minima.

En neuf années d’existence, le Grand Soir n’est jamais entré en polémique avec un autre site alternatif, toutes tendances confondues.

Ce n’est pas nous qui avons entraîné Acrimed dans une « polémique » mais votre adhérente/rédactrice/membre du CA qui a constamment cité ou laissé citer votre association (plus de 70 fois selon notre comptage). Au contraire, nous avons bien insisté et demandé à nos lecteurs (y compris lors d’échanges privés) de ne pas confondre Ornella Guyet (ex-Marie-Anne Boutoleau) et Acrimed dont nous n’avons cessé de louer le travail. Vous devriez réexaminer la chronologie des événements.

Nous avons quand même fini par nous étonner de votre silence - non pas rapport aux attaques contre le Grand Soir (nous sommes assez grands pour nous défendre), mais par rapport aux méthodes employées par votre collaboratrice (fausses références, autocitations sous différents pseudos, faux dossiers montés pour l’occasion et se renvoyant les uns aux autres, etc...). - méthodes en totale contradiction avec ce que nous avons toujours perçu comme la raison d’être de votre association.

Si vous avez su promptement dénoncer les écrits de l’UPR contre votre adhérente/rédactrice/membre du CA, nous avons dû attendre le 12 juillet pour que vous vous démarquiez (sans équivoque) de Mlle Guyet (LGS ou pas, car nous n’avons pas été les seuls visés).

Vous écrivez « nous ne sous sommes à aucun moment solidarisés des articles et prises de position d’Ornella Guyet vous concernant, parus sur d’autres sites que le nôtre, notre responsabilité n’étant engagée que par les articles que nous publions nous-mêmes (ceux d’Ornella étant dans ce cadre des articles d’Acrimed)  ».

Comme indiqué plus haut, Ornella Guyet/Boutoleau est une multi-récidiviste, une habituée du genre. Est-ce à dire « Certes, certes, mais lorsqu’elle écrit pour Acrimed, elle n’est plus la même » ? Il nous avait semblé que vous ne pouviez pas accepter que le vertueux docteur Jekyll chez vous devienne mister Hyde au-dehors, que Guyet/Boutoleau vous agrée à tous coups, qu’elle soigne ou qu’elle agresse. Pas de « Right or wrong, my country is my country ».

Nous l’avons déjà écrit : cette attaque contre le Grand Soir s’inscrit dans une stratégie plus large, qui vient de loin, et qui consiste à avancer sous des faux-nez, de faux sites pseudo-révolutionnaires, et des pseudonymes divers se réclamant tantôt d’extrême gauche, tantôt d’extrême droite, selon les circonstances, et destinée à jeter le trouble et neutraliser les critiques contre - notamment - Israël tout en tentant de les dévier vers les pays en « état de résistance ». C’est clair, net et précis.

Si Ornella Guyet et ses comparses nous font rire, ce n’est pas par leur humour : les administrateurs du Grand Soir ont reçu des menaces physiques très précises, à plusieurs reprises, de vive voix, par courrier et par téléphone (peine perdue, faut-il le préciser ?). Au passage, notons par exemple que nous avons été menacés (une fois de plus) dans Article XI de coups de manches de pioche par un des soutiens actifs de votre collaboratrice sans que, dans la centaine de commentaires publiés par cette dernière, elle n’y trouve à redire.

Vous écrivez « Mais nous le sommes aussi [affligés] de constater que vous avez repris, s’agissant d’Acrimed, des procès d’intention et des accusations gratuites que vous condamnez lorsque d’autres y recourent contre vous. Nous le sommes surtout de voir que vous reproduisez sans la moindre prise de distance - au contraire - « l’enquête » de Monsieur Asselineau de l’UPR  ». Nous savons que vous avez d’autres chats à fouetter, mais pouvez-vous nous rappeler où et quand nous aurions « reproduit sans la moindre prise de distance - au contraire - « l’enquête » de Monsieur Asselineau de l’UPR » ?

Il reste que c’est par l’UPR que LGS, ses lecteurs et les vôtres ont appris que le coup venait d’un Judas qui écrivit ensuite à une de ses cibles ne pas vouloir se mêler du différend entre LGS et Boutoleau.

Si l’intervention de représentants d’Acrimed à un colloque de la droite états-unienne à Paris est innocente, tant mieux. Vous écrivez que dire le contraire « relève de la calomnie, contre Ornella… » et soudain, nous voilà émus pour la réputation de la demoiselle.

Nous avons eu l’impression (fausse, sans doute) que le CA d’Acrimed réagissait comme une amicale de pompiers qui ne s’étonnerait guère de la présence en son sein d’une pyromane.

Puisqu’Ornella Guyet a maintes fois démontré le peu de cas qu’elle faisait de la déontologie, ne faudrait-il pas se poser la question de savoir pour quelle raison elle adhère à une association comme la vôtre ?

Si notre interpellation vous a semblé pénible, prenez-la comme le coup de fil d’un ami qui vous appelle à deux heures du matin pour demander « Ca va ? T’es sûr ? ». Le réveil est pénible, certes, mais l’intention est louable.

Cordialement,

Viktor Dedaj, Maxime Vivas.
P/Le Grand Soir

EN COMPLEMENT :

Le Grand soir : analyse des dérives droitières d’un site alter http://www.legrandsoir.info/Le-Grand-soir-analyse-des-derives-droitier...

Chasseurs de rouges-bruns : Analyse de la culture du mensonge et de la manipulation "à la Marie-Anne Boutoleau/Ornella Guyet" sur un site alter. http://www.legrandsoir.info/analyse-de-la-culture-du-mensonge-et-de-la...

Sionisme, antisémitisme, alliés objectifs et « idiots utiles » : Retour sur une offensive téléguidée contre Le Grand Soir. http://www.legrandsoir.info/Retour-sur-une-offensive-teleguidee-contre...

Article XI, Marie-Anne Boutoleau, Ornella Guyet, Judas, tous dans le même sac : Quand Le Grand Soir recevait le baiser de Judas (une histoire croustillante, incroyable mais vraie). http://www.legrandsoir.info/quand-le-grand-soir-recevait-le-baiser-de-...

Dis papa, c’est loin le bac de français ? Tais-toi et triche. http://www.legrandsoir.info/+dis-papa-c-est-loin-le-bac-de-francais-ta...

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