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Les Panama Papers : Opération véreuse pour s’approprier tout l’argent du monde

Une guerre parmi les plus farouches est menée par les cercles qui préparent l’avènement d’un monde dont la population est réduite à quelques millions d’habitants puissants et extrêmement riches. Les Panama Papers en sont un front.

Le fameux chaos constructif ou constructeur n’est pas un « traitement » destiné à être administré au seul Moyen-Orient. Ou, plus généralement, aux pays déclarés officiellement comme ennemis des Etats-Unis.

Déstabilisation

Il est plutôt une étape de la guerre finale. Celle qui est en cours et qui devrait être couronnée par le triomphe non d’une puissance classique, notamment les Etats-Unis, mais d’une puissance sans précédent dans l’histoire de l’humanité : Une puissance qui se sert de tous les puissants du monde, chacun selon ses pouvoirs, et en conséquence tout particulièrement du régime étasunien, pour instaurer le royaume des plus puissants à l’échelle mondiale.

Cette entreprise passe nécessairement par la destruction successive de tous les Etats et de toutes les sociétés pour ne laisser que l’Etat et la société internationaux et idéaux dont les citoyens sont riches et forts au point de ressembler aux anciennes divinités olympiennes qui, en dépit de leur appartenance à la mythologie caduque de quelques millénaires, continuent de coloniser les mentalités des humains, en l’occurrence celles des Occidentaux à l’ère du règne de la raison et des technologies les plus sophistiquées.

Les Panama Papers font partie de cette entreprise qui, au-delà des machinations opaques et des complications juridiques régies par un arsenal qui mobilise les meilleurs avocats et juristes du monde, vise à atteindre deux objectifs.

Le premier est la déstabilisation de l’entourage humain de toutes les personnes désignées par les documents en question comme étant des corrompus et des voleurs puisqu’elles se dérobent au payement des impôts et dirigent leur argent illégalement gagné vers des paradis fiscaux.

Le second est faire en sorte que cet argent illégal, comme d’ailleurs tout autre argent, jusqu’à même les deux shillings et six pences des enfants de Mr George Banks (du fameux ‘‘Mary Poppins’’) se dirige vers les banques étasuniennes.

Etasuniennes ? Oui, dans le sens où elles se trouvent sur le territoire des Etats-Unis et dont beaucoup parmi leurs propriétaires se trouvent être des Etasuniens, mais qui ne sont en vérité que des citoyens parmi les citoyens du royaume international qui est en train de supplanter tous les autres royaumes.

Etant sous l’un de ses aspects un processus d’extermination massive ayant pour but de réduire la population du fameux monde à venir à quelques millions de personnes avant de le ré-réduire encore à un nombre encore plus réduit, le projet du nouveau monde a besoin pour être réalisé d’auteurs en mesure de réussir une telle tâche.

Le lâcheur lâché

Qui donc peut se porter candidat à l’application de cette tâche autre que les descendants de ceux qui, en 1945, ont massacré des centaines de milliers d’âmes humaines en lançant des bombes atomiques sur les villes japonaises ?

Et de ceux qui trois ou quatre siècles auparavant avaient construit leurs Etats-Unis sur les cadavres de dizaines de millions de Peaux-rouges, la quasi-totalité des habitants du nouveau continent, et d’innombrables « esclaves » noirs acheminés d’Afrique pour travailler dans les fermes du Sud des Etats-Unis avant d’être affranchis pour un autre genre d’esclavage dans les usines des Yankees nordistes ?

Et de nos jours, qui peut recenser les victimes des guerres lancées par les Etats-Unis partout dans le monde et tout particulièrement depuis le début de la troisième guerre mondiale lancée à partir de 2001 par les Néoconservateurs étasuniens ?

Ou celles des autres guerres dirigées depuis Washington et New York, par des institutions spécialisées dans les affaires de la santé, de l’éducation, de l’agro-alimentaire et du prétendu développement et qui sont responsables de l’anéantissement de centaines de millions de personnes en Asie, en Afrique et en Amérique Latine ?

Comment expliquer le fait que des personnalités comme le roi de l’Arabie saoudite, l’émir des Emirats Arabes Unis, le monarque du Maroc et le premier ministre britannique, liés, d’une manière ou d’une autre, aux politiques des Etats-Unis, soient parmi les coupables désignés comme corrompus par les documents de Panama Papers ?

Et d’autres personnalités du même calibre et de la même obédience dont les noms n’ont pas été révélés subissent différentes formes de chantage qui les obligent à se plier aux dictats des constructeurs du nouvel ordre mondial ?

Rien n’est plus connu que la manière avec laquelle les Etats-Unis lâchent leurs serviteurs parmi les dirigeants des régimes fantoches. Et tout porte à penser qu’une fois les Etats-Unis en arrivent à atteindre le but direct de l’opération Panama Pappers, à savoir occuper la place de paradis fiscal unique dans le monde, ce sera le tour des Etats-Unis pour perdre leur place au profit du nouvel ordre mondial.

Akil Cheikh Hussein

Jeudi 21 avril 2016

Source : French.alahednews

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