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Thème : Comores

Les Comores : de la colonisation française à l’indépendance

Sayid
L'archipel des Comores, composé de quatre îles est situé par le travers du canal de Mozambique. Dans un monde où la situation géostratégique est un enjeu permanent, rien n'épargne alors la position des Comores dans l'Océan Indien. Avec une superficie totale de 2235 km2, les Comores comprennent les Grande Comores (1147 km2), Mohéli, Anjouan et Mayotte. La plus vaste des îles, Grande Comores possède un volcan, le Karthala dont les pentes sont difficilement cultivables. Le climat est tropical avec une température moyenne de 26.5 °C. La religion dominante est l'islam, les historiens rapportent que la population adopte une attitude très tolérante vis à vis des autres religions et des étrangers installés dans le pays. L'islam est le vecteur de la cohésion sociale étant donné que la coutume peut parfois amener la population à des divisions classées selon le village ou la région. L'industrialisation du pays s'effectua de plus en plus dans les années 1970, on peut retenir une date, l'année 1975 avec (...) Lire la suite »

COMORES : SOUTIEN AU COMITE MAORE

MCOMORE AHMED
Par Said Hassane Jaffar Un visiteur du blog wongo soutient le Comité Maoré, en écrivant : Je m'inscris tout à fait dans cette démarche de bon sens du Comité Maoré, qui interpelle à juste titre, les candidats des présidentielles du 26 décembre sur le pouvoir de nuisance (déstabilisation, chantages, drames maritimes etc.), de l'occupation illégale de l'île comorienne de Mayotte par la France. J'ajouterais pour ma part, encore plus fermement, à l'adresse de ces candidats : « Etes-vous une fois pour toutes, résolus à cheviller au corps le triptyque, souveraineté, unité et intégrité des Comores et en faire comme il se doit un casus belli non cessible, ni négociable (d'autres pays n'ont guère hésité à aller jusqu'à la rupture des relations diplomatiques pour beaucoup moins que ça), avec comme corollaires : 1. La suppression du visa Balladur mortifère et criminogène, responsable de plus de 7000 morts comoriens qui tapissent les abysses du Canal de Mozambique. 2. La levée immédiate, du blanc seing, accordé par (...) Lire la suite »
Comores

Moroni critiqué pour avoir autorisé le retour des Comoriens refoulés de Mayotte

DIVERS

La décision des Comores de lever l’interdiction faite aux agences de voyage de transporter les Comoriens refoulés de Mayotte vers les trois autres îles de l’archipel, suscite une vive polémique à Moroni, la capitale comorienne.

Cette décision avait été prise à la suite d'une visite aux Comores d'une mission conjointe de la présidence et du ministère français des Affaires étrangères. « En acceptant que des Comoriens puissent être expulsés de Mayotte en tant que clandestins, Sambi (le président des Comores) et les siens valident l'appartenance de Mayotte à la France », a déclaré M. Idriss Mohamed, porte-parole du comité Maoré, une organisation de la société civile qui se bat pour la réintégration de l'île de Mayotte dans l'ensemble comorien. Le même responsable propose de poursuivre en justice le président Ahmed Abdallah Sambi pour « haute trahison ». « Sambi a violé son serment sur le Coran de défendre l'intégrité territoriale du pays et devrait donc être poursuivi pour haute trahison nationale » estime M. Mohamed. (...) Lire la suite »
Comores France

Les Comores qualifient de "honte" l’asile français accordé à des proches de Bacar

DIVERS

Le ministre de la Justice de l’Union des Comores, Mourad Said Ibrahim, a vivement dénoncé la décision de la France d’accorder l’asile politique à deux proches de Mohamed Bacar, président déchu d’Anjouan (Comores), jugeant que "les dés étaient pipés" dans cette affaire.

"Cette décision est celle de la honte", a déclaré jeudi soir M. Said Ibrahim. "Je devine que Mohamed Bacar et son frère bénéficieront de ce grand boulevard que leur ouvre l'Etat français (...) les dés sont pipés" dans cette affaire, a-t-il ajouté. L'Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra) a accordé l'asile politique à deux collaborateurs du colonel Bacar, et l'a refusé à six autres, a annoncé mercredi la préfecture de La Réunion, île française de l'océan Indien. Cependant, l'Ofpra a jugé que ces six personnes ne pouvaient pas être renvoyées aux Comores en raison de risques de persécutions. Elles ont été assignées à résidence jusqu'à ce qu'un pays tiers accepte de les accueillir, a précisé la préfecture. L'Ofpra n'a pas encore statué sur la demande de M. Bacar lui-même et des autres hommes qui l'accompagnaient. "Je lance un appel à ceux qui veulent avoir l'asile en France : il suffira de se rendre à Mayotte avec des armes ; un avion Transall de l'armée française vous amène ensuite à La (...) Lire la suite »
Comores

L’avocat français Jacques Vergès va plaider pour les Comores

DIVERS

Le gouvernement comorien vient de s’attacher les services du célèbre avocat français, Me Jacques Vergès, pour défendre le dossier relatif à l’extradition du colonel Mohamed Bacar vers Moroni, a appris APA ce mercredi auprès du ministère comorien des Relations extérieures.

A Moroni, les autorités judiciaires s'affairent à réunir les preuves, témoignages et autres éléments de justification (photos,…) susceptibles de corroborer les charges qui pèsent aujourd'hui sur Bacar et ses vingt-deux compagnons d'infortune. Pour n'avoir pas suffisamment appuyé sa demande d'extradition, le tribunal de Saint-Denis (La Réunion) a remis en liberté, le vendredi 17 avril, l'ensemble des détenus comoriens. L'Union des Comores dispose donc jusqu'au 4 mai pour apporter toutes les preuves des crimes dont sont accusés le colonel Bacar et ses acolytes qui sont poursuivis pour viols, meurtres, tortures et coups et blessures. Ils risquent, aux Comores, la prison à perpétuité. Selon le procureur de la République, Mohamed Mzé Azad, malgré l'existence de la peine de mort dans le code pénal comorien, Mohamed Bacar ne risque pas d'être exécuté. « Dans le cas précis, il s'agit seulement de meurtre. Pour qu'il y ait assassinat, il faut au moins une préméditation » a-t-il dit. Le Colonel séparatiste (...) Lire la suite »
Comores

Asile politique en France pour deux hommes du colonel Bacar

DIVERS

L’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) a accordé l’asile politique en France à deux hommes du colonel Mohamed Bacar, le président déchu d’Anjouan (Comores), et l’a refusé à 6 autres, a annoncé mercredi la préfecture de La Réunion.

"L'OFPRA n'a pas encore statué sur la demande de Mohammed Bacar", ni sur les autres hommes qui l'accompagnaient, ajoute la préfecture dans un communiqué. Mohamed Bacar a été renversé fin mars par une opération militaire de l'Union des Comores appuyée par des troupes mandatées par l'Union africaine et soutenue logistiquement par la France. Il s'était enfui en territoire français, arrivant sur l'île de Mayotte, avant d'être transféré à La Réunion et placé en détention le 5 avril, avec les 22 hommes qui l'accompagnaient. La chambre d'instruction de la Cour d'appel de Saint Denis avait ordonné vendredi dernier sa remise en liberté, ainsi que celle de ses hommes. Tous sont assignés à résidence à La Réunion. Le gouvernement des Comores demande l'extradition de Mohammed Bacar, qu'il accuse de "détournements de fonds publics, homicides volontaires, viols, tortures et autres violences contre les habitants d'Anjouan". Concernant les six hommes qui n'ont pas obtenu l'asile, l'OFPRA a considéré que "les intéressés (...) Lire la suite »
Comores

L’ex-président d’Anjouan remis en liberté

DIVERS

Mohamed Bacar, le président déchu de l’île d’Anjouan, aux Comores, a été remis en liberté vendredi par la cour d’appel de Saint-Denis de la Réunion.

L'ex-président comorien reste sous le coup d'un arrêté de reconduite à la frontière, qui ne précise pas le pays de destination. L'Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) examine actuellement la demande d'asile politique formulée par le colonel Bacar et ses hommes. La réponse ne devrait pas être connue avant deux semaines. le jdd.fr A lire également : Comores : le parlement comorien accuse la France http://www.grioo.com/ar,comores_le_parlement_comorien_accuse_la_france,13394.html Lire la suite »
Comores - France

Une mission française à Moroni pour régler les points litigieux entre les deux pays

DIVERS

Une délégation française, composée du conseiller pour l’Afrique du président Nicolas Sarkozy, Rémi Maréchaux, et du conseiller délégué à la coopération régionale dans l’Océan Indien, Alain Moreau, est dépêchée aux Comores lundi 14 avril.

Cette visite intervient alors les relations entre les deux pays ont pris un sérieux froid depuis la fuite du colonel Mohamed Bacar, l'ex-homme fort d'Anjouan, à Mayotte, suivie de son exfiltration à la Réunion. C'est surtout la récente mesure du gouvernement comorien interdisant le transport de tout Comorien expulsé de Mayotte vers les autres îles de l'archipel qui a conduit les autorités françaises à vouloir négocier un nouveau type de relations avec Moroni. Selon le ministre comorien des Relations extérieures, Ahmed Ben Said Jaffar, qui a reçu la délégation ce mardi 15 avril, les discussions entre les deux parties ont essentiellement porté sur la question litigieuse de l'île de Mayotte et le cas Bacar. « Les discussions se poursuivent et il est trop tôt pour dire quelque chose », a déclaré le ministre à la presse, à la sortie de son entretien avec les émissaires du président français. M. Maréchaux, s'est quant à lui, refusé à tout commentaire. Quelques heures avant l'arrivée de la délégation (...) Lire la suite »
Comores

Un « baron » français en détention

DIVERS

Un ressortissant français qui se présente comme « le baron de Lasbadias » est détenu depuis au moins un mois sur l’île comorienne d’Anjouan avec des responsables du régime déchu de Mohamed Bacar, a-t-on appris jeudi de source officielle anjouanaise.

« Je confirme que ce Français est en détention. Il a soutenu activement le séparatisme depuis le début. Et il ne s'en cachait pas », a indiqué à l'AFP au téléphone, Ahmed Souf, secrétaire général chargé du département de la Justice et de la Sécurité intérieure de l'île d'Anjouan. Le 8 avril, ce « baron »a été photographié parmi les prisonniers à Ouani (à quel-ques kilomètres de Mutsamudu, la capitale d'Anjouan ) où il avait été transféré depuis la gendarmerie de Domoni, dans le sud-est d'Anjouan. Les autorités jugées illégales d'Anjouan, avec à leur tête le colonel Mohamed Bacar, ont été renversées fin mars par une opération militaire de l'Union des Comores, appuyée par des troupes mandatées par l'Union africaine. La fuite de M. Bacar vers l'île française de Mayotte a suscité la colère de nombreux Anjouanais accusant la France, qui a apporté un soutien logistique à l'opération militaire, de jouer un double-jeu. De sources concordantes, le ressortissant français, âgé d'une soixantaine d'années, devait prochainement (...) Lire la suite »
Comores - Question de Mayotte

Le Comité maoré propose le modèle d’« un Etat, deux systèmes » pour Mayotte

DIVERS

Dans une conférence de presse samedi à Moroni, le Comité maoré, une organisation de la société civile qui milite pour le retour de l’île de Mayotte dans l’ensemble comorien, propose la solution d’« un Etat, deux administrations » pour enfin sortir de cette affaire litigieuse qui empoisonne aujourd’hui les relations entre la France et les Comores.

Cette proposition permettra, selon le comité, « de clore petit à petit, dans une atmosphère gagnant-gagnant, le processus de décolonisation des Comores ». L'organisation se félicite de la position très ferme des autorités comoriennes sur la question de Mayotte, notamment la dernière mesure du gouvernement d'interdire le transport de tout Comorien expulsé de Mayotte vers les trois autres îles. En effet, dans une note publiée à Moroni il y a une semaine, le secrétaire général du ministère chargé des transports met en garde les agences de transport aérien et maritime contre le transport de « clandestins comoriens » à destination de l'Union des Comores. Cette décision intervient au moment où les relations entre Paris et Moroni n'ont jamais été aussi exécrables, et ce suite à la fuite en fin mars dernier à Mayotte de l'ex-homme fort d'Anjouan, Mohamed Bacar, suivie de son exfiltration vers le département français de la Réunion. A Moroni, l'opinion publique accuse ouvertement la France d'avoir organisé cette (...) Lire la suite »
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