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Thème : IRSEM

L’insulte d’une culotte de peau c’est comme la soupe : elle fait grandir.

Jacques-Marie BOURGET

L'IRSEM, un institut kaki qui va encore à l'école (militaire), a décidé, avec l'argent de la République, de s'offrir le scalp de Maxime Vivas. L'inconscient a, dans un livre "Ouïghours, pour en finir avec les fake news" dénoncé ceux qui parlent de cette minorité chinoise sans jamais avoir mis un talon haut dans leur pays. D'où la colère des culottes de peau à la pointe des vérités de l'OTAN qui utilise le sort des Ouïghours contre la puissante Chine. C'est vrai qu'aux USA, pays des assassinats par drone, le bonheur est dans les prés. Le procès fait à Vivas, sans le lire ou l'entendre, discrédite ceux qui participent à cette curée.

En dehors de faire les guerres et de les perdre depuis1918, les militaires français sont utiles. Que ferait notre pays de tout notre bel argent si nous n’avions pas des types en uniforme pour le jeter par la fenêtre ? Je suis injuste. Depuis Kouchner et sa mortelle plaisanterie du « droit d’ingérence », les militaires ne font plus la guerre en bombardant des innocents, des mariages ou des fêtes de village, ils font la paix. En fait les bidasses sont les nouveaux infirmiers de l’univers, et les gradés des toubibs. Parfois, à propos des militaires, dans leur langage usé de gauchistes, citoyens malveillants et attardés, parlent de « torture ». Rien compris les mal lavés. La « gégène » ? Il s’agit d’un acte médical qu’ils ne peuvent comprendre. Que ces anarchistes lisent les thèses du bon docteur Aussaresses. Voilà la pensée d’un praticien exemplaire. Donc l’armée française est maintenant droit-de-l’hommiste, faite de Ghandis ne portant le fusil qu’au 14 juillet. Cette armée forte de bandes velpeau et (...) Lire la suite »